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-Salam cinéma :Mohsen Makhmalbaf place une annonce dans les journaux pour trouver les cent comédiens du film qu'il va réaliser à l'occasion du centenaire du cinéma. Cinq mille personnes se présentent, les formulaires d'inscription se dispersent, la foule se déchaîne. Le réalisateur organise alors des auditions, des dizaines de personnes défilent devant sa caméra pour un test simple mais redoutable: savoir rire et pleurer... Le metteur en scène pousse ces apprentis acteurs dans leur derniers retranchements, les manipule, et réussit à faire émerger la profondeur de la culture iranienne et l'idéal que le cinéma représente.-Close up, long shot : En 1991, dans "Close-Up" d'Abbas Kiarostami, Hossein Sabzian rejouait à l'écran, avec les véritables protagonistes de l'affaire, le fait divers qui l'avait conduit en prison. Fabulateur fou de cinéma, chômeur démuni et solitaire, il s'était fait passer pour le cinéaste Makhmalbaf afin de parasiter une famille aisée. Cinq ans plus tard, Moslem Mansouri et Mahmoud Chokrollahi rencontrent ce personnage singulier.-Qu'est-ce qu'il voit :Cette oeuvre poétique sans parole montre un vieil homme au visage de rocaille poser comme modèle, là pour des élèves des Beaux-Arts, ici pour un sculpteur. Il est là, immobile, le dos voûté, semblant figé dans un autre temps, un autre espace... jusqu'à ce que l'oeil d'un photographe l'anime. Magnifique.-Le candidat :Téhéran, 1999. Une vieille femme parcourt les rues de la ville et aborde les jeunes filles car elle cherche une épouse pour son fils. Curieuses rencontres...
Cinéma --- Casting --- Années 1990 --- Interview --- Iran
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Les trois longs métrages Où est la maison de mon ami ? (1987), Et la vie continue (1991) et Au travers des oliviers (1994) ont été désignés par la critique de cinéma sous le terme de "trilogie de Koker". Ils ont en effet comme décor commun le petit village de Koker, situé au nord de l'Iran.Si chaque film de la trilogie peut être vu indépendamment, centré sur un noeud dramatique propre, chacun de ses films d'une humanité bouleversante est lié au précédent par un procédé de mise en abyme, brouillant de manière malicieuse la frontière entre le réel et la fiction.Ces trois films ont définitivement installé Abbas Kiarostami comme un réalisateur incontournable du cinéma mondial.- Où est la maison de mon ami ? (1987) :Nematzadeh n'a pas fait ses devoirs sur le cahier prévu à cet effet : au prochain oubli, il sera renvoyé ! Ce soir-là, son camarade Ahmad emporte par mégarde le cahier de Nematzadeh. Ahmad se lance à la recherche de la maison de son ami dans les hameaux voisins pour lui rendre son cahier.. .- Et la vie continue (1991) :Après le tremblement de terre qui a ravagé le nord-ouest de l'Iran en 1990, un cinéaste et son fils tentent de rejoindre le village de Koker, durement touché par le séisme. L'homme s'inquiète de savoir si les deux enfants qui jouaient dans Où est la maison de mon ami ? sont encore en vie.-Au travers des oliviers (1994) :Une équipe de cinéma s'installe parmi les oliviers dans un village du nord de l'Iran qui vient d'être dévasté par un tremblement de terre, pour y réaliser un film intitulé Et la vie continue. Keshavarz, le réalisateur, engage Hossein, un jeune maçon, pour donner la réplique à Tahereh, une lycéenne du voisinage dont il est amoureux.
Miniature --- Littérature --- Enfant --- Années 1980 --- Années 1990 --- Cinéma --- Iran
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