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Du XVe au XVIIe siècle, la mise en valeur des implications concurrentes de philosophies venues de l'Antiquité, la découverte du Nouveau Monde, l'établissement de multiples réseaux de spiritualité, l'application de nouveaux principes dans la vie politique et sociale semblent imposer le pluriel des interprétations. Le recours collectif ou individuel aux textes fondateurs, à l'autorité des récits de fondation, permet l'appropriation ou la réappropriation des savoirs et des pouvoirs, l'affermissement ou la stabilisation, qui n'est jamais dénuée de violence, de nouveaux milieux de savoirs et de pouvoirs. Les différentes analyses présentées ici permettent, à partir d'études de cas bien circonscrites, de saisir quelques modalités et quelques enjeux importants de la fondation/refondation des savoirs et des pouvoirs aux XVe-XVIIe siècles.
Knowledge, Theory of --- Literature, Modern --- Renaissance --- Philosophy, Modern --- Politics and literature --- Théorie de la connaissance --- Littérature --- Philosophie moderne --- Politique et littérature --- History --- Congresses --- History and criticism --- Histoire --- Congrès --- Histoire et critique --- Civilization, Modern --- European literature --- Théorie de la connaissance --- Littérature --- Politique et littérature --- Congrès --- Congresses. --- Modern civilization --- Modernity --- Civilization --- Renaissance - Congresses. --- Civilization, Modern - 17th century - Congresses. --- European literature - Renaissance, 1450-1600 - Congresses. --- European literature - 17th century - Congresses. --- XVIIIe siècle --- pouvoir --- XVIIe siècle --- critique littéraire --- XVe siècle --- XVIe siècle --- savoir
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La pratique des ouvrages miscellanées ou de « mélanges » n'est pas propre à la Renaissance, mais elle se développe à cette époque en même temps que naît la philologie et qu'apparaissent, avec les nouvelles interprétations des textes canoniques - bibliques, philosophiques, théologiques, politiques, etc. - comme avec la découverte du nouveau monde, de nouvelles constructions de sens et de connaissance, la réorganisation des savoirs. Les miscellanées ressortissent ainsi à des théories de la connaissance. Le développement de l'imprimerie joue un grand rôle dans la diffusion de ce type d'ouvrages. Sans prétendre à l'exhaustivité sur cette question, la journée d'étude de l'École des chartes a eu pour finalité de montrer quelques enjeux d'ouvrages miscellanées majeurs de la Renaissance.
82 "15/16" --- 09 <063> --- 09 <063> Handschriften. Oude en merkwaardige drukken. Curiosa--Congressen --- Handschriften. Oude en merkwaardige drukken. Curiosa--Congressen --- 82 "15/16" Literatuur. Algemene literatuurwetenschap--?"15/16" --- Literatuur. Algemene literatuurwetenschap--?"15/16" --- Anthologies --- French literature --- Knowledge, Theory of --- History and criticism --- Curiosities and wonders --- Renaissance --- Curiosités et merveilles --- Théorie de la connaissance --- History --- Congresses --- Histoire --- Congrès --- Anthologies - History and criticism - Congresses --- French literature - 16th century - History and criticism - Congresses --- Knowledge, Theory of - Congresses --- Language & Linguistics (General) --- Literature (General) --- connaissance --- littérature --- miscellanée --- théorie --- Mélanges --- Savoir et érudition --- Connaissance, Théorie de la --- Dans la littérature
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Si les alchimistes se désignaient eux-mêmes sous le nom de « philosophes », cette qualité leur fut déniée dès le Moyen-Âge par bien des représentants plus officiels de la « philosophie ». Aujourd’hui, l’importance des doctrines alchimiques dans l’histoire des idées n’est plus guère contestée. Pourtant, les rapports entre la « philosophie hermétique » ou « chymique » et la philosophie au sens habituel restent mal étudiés. C’est afin d’apporter des éléments de réponse à cette question que s’est tenu le colloque dont ce volume constitue les Actes. L’originalité des contributions est de présenter l’alchimie de la Renaissance (xve-xviie siècles) non comme un tout cohérent, donné une fois pour toutes dans la dimension anhistorique d’une « secrète science », mais comme un corpus théorique traversé par une multiplicité de tendances. Cette multiplicité est ici illustrée par l’analyse d’œuvres ou de courants particuliers ayant contribué au développement des doctrines alchimiques, comme la Summa perfectionis de Geber, les traités attribués à Arnaud de Villeneuve, les œuvres de Guillaume Sedacer, Paracelse, Gérard Dorn, Evangelista Quattrami, Jacques Gohory, Michel Maier, Pierre-Jean Fabre, etc. Elle l’est aussi à travers l’étude de la représentation de l’alchimie et de son influence chez des philosophes ou savants eux-mêmes non alchimistes, tels Michel Savonarole, Marsile Ficin, André Thevet, Tycho Brahé, Giordano Bruno, Campanella, Naudé, ou Mersenne.
Philosophy --- Medieval & Renaissance Studies --- Renaissance --- philosophie --- alchimie
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