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Ce républicain, avocat, journaliste, parlementaire et écrivain, issu des couches nouvelles, est l’un des fondateurs de la démocratie française. Ami et conseiller de Gambetta, compagnon du voyage en ballon pour échapper aux prussiens et organiser la Défense nationale en 1870, membre du « grand ministère » en 1881, sa biographie permet de renouveler l’histoire des gambettistes de l’Union républicaine. Hostile au cléricalisme, promoteur dans la presse et à la tribune des grandes lois laïques, ce déiste, adversaire des intolérances et des sectarismes, évolue vers l’apaisement religieux et préconise à la fin de sa vie « l’esprit nouveau » qui s’imposera trente ans plus tard.
Statesmen --- Spuller, Eugène, --- Gambetta, Léon, --- Friends and associates. --- France --- History --- Politics and government --- Gambetta, Léon --- Spuller, Eugène --- Spuller, Jacques-Eugène --- histoire --- Ralliement --- républicain --- Spuller, Eugène (1835-1896) --- Gambetta, Léon (1838-1882) --- Biographie --- 1870-1940 (3e République)
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Paul Ramadier est le type même du parlementaire français de la IIIe et IVe République. Il bâtit sa carrière depuis le bassin houiller d’Aubin-Decazeville (Aveyron), où le socialisme s’est implanté, alors que le département lui-même est dans son ensemble conservateur. D’abord simple militant dès 1910, il s’appuie sur le triptyque parti-syndicat-coopérative, et est élu maire de Decazeville en 1919; il devient en 1928 député de l’arrondissement de Villefranche-de- Rouerge après avoir élargi scs soutiens aux radicaux, et enfin conseiller général. Il s’est ainsi constitué un fief qui le réélit fidèlement jusqu’en 1940; il est plusieurs fois ministre de 1936 à 1938. Démis de ses fonctions par le gouvernement de Vichy, auquel il s’est opposé le 10 juillet 1940, il maintient pendant la guerre des contacts avec ses amis politiques. A la libération, personnalité non compromise, il devient Ministre du Ravitaillement puis Président du Conseil (1947), Ministre de la Défense Nationale (1948-1949) et Ministre de l’Économie et des Finances (1956-1957). C’est un des pères fondateurs et une personnalité de premier plan de la IVe République. Mais rassembleur de la gauche avant 1940. il s’aliène définitivement l’électorat communiste, qui a grossi depuis la guerre, à cause de ses choix gouvernementaux. Sa carrière politique s’achève en 1958 avec le régime lui-même, et quelques mois plus tard les Decazevillois le rejettent comme maire. Paul Ramadier représente bien les hommes politiques dont l’action s’est déroulée tant sur le plan local que national. Il permet donc de mieux procéder à la radiographie d’une carrière politique, et d’en faire apparaître, comme exemple, les fils conducteurs et les structures. C’est aussi un social-démocrate convaincu, qui défend la République et les avancées sociales mesurées, mais qui se trouve aussi aux prises avec les contradictions de l’exercice du pouvoir. Une carrière toute d’actualité! Dans un style alerte qui procure un grand plaisir de lecture…
Ramadier, Paul --- --1888-1901, --- France --- --IVe République, --- IVe République, 1944-1958 --- History --- socialisme --- biographie --- homme politique --- parlementaire --- IIIe République --- IVe République --- électorat --- plan local --- FRANCE --- GUERRE MONDIALE (1939-1945) --- HISTOIRE POLITIQUE --- 19E-20E SIECLES --- BIOGRAPHIES --- HISTOIRE --- 1870-1940 (3E REPUBLIQUE) --- 1946-1958 (4E REPUBLIQUE) --- 20E SIECLE
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L’État, en la personne de son souverain, a depuis toujours entretenu avec l’art un rapport privilégié. L’histoire de l’art qui traite des artistes et de leurs œuvres et l’histoire qui exalte la gloire du Prince se rencontrent aisément autour des Princes-mécènes qui ont encouragé les arts et honoré les artistes. Mais quand le Prince est devenu l’Etat républicain, depuis 1875 donc, tout devient beaucoup plus complexe. Comment définir un style, juger l’action, ou évaluer le rayonnement d’un « Prince » collectif, anonyme et changeant ? L’État républicain se veut respectueux de la liberté de création (intellectuelle, artistique), des goûts et des opinions de tout un chacun : peut-il avoir une politique de l’art, voire une esthétique qui inspire son mécénat ? Au-delà des simplifications habituelles sur « l’art officiel » et l’oppression des artistes d’avant-garde, Marie-Claude Genet-Delacroix montre que la gestion du patrimoine, la politique éducative en matière d’art, le soutien de la création s’intégrent dans un véritable système des Beaux-Arts qui, loin d’être un supplément d’âme accessoire, joue un rôle capital dans le triomphe et la pérennisation du modèle républicain français, libéral et démocratique.
Art patronage --- Art and State --- France --- Mécénat --- Art et Etat --- History --- Cultural policy --- Histoire --- Politique culturelle --- geschiedenis --- kunstgeschiedenis --- politiek --- kunsteducatie --- 1870 - 1940 --- 19de eeuw --- 20ste eeuw --- Frankrijk --- Art --- -Art --- -Art and state --- Arts --- Politics and art --- State and art --- Art and society --- Education and state --- Art, Occidental --- Art, Visual --- Art, Western (Western countries) --- Arts, Fine --- Arts, Visual --- Fine arts --- Iconography --- Occidental art --- Visual arts --- Western art (Western countries) --- Aesthetics --- Political aspects --- -History --- -Political aspects --- -Government policy --- Government policy --- Conseil superieur des beaux-arts (France) --- France. --- CSBA --- -Conseil superieur des beaux-arts (France) --- Mécénat --- Art and state --- Conseil supérieur des beaux-arts (France) --- Art, Primitive --- administration --- art --- Troisième République --- politique publique --- artiste --- geschiedenis. --- kunstgeschiedenis. --- politiek. --- kunsteducatie. --- 1870 - 1940. --- 19de eeuw. --- 20ste eeuw. --- Frankrijk. --- FRANCE --- ART FRANCAIS --- HISTOIRE --- 1870-1940 (3E REPUBLIQUE) --- CULTURE POPULAIRE --- 19E-20E SIECLES
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De la chute de Napoléon III en 1870 à la césure de la Première Guerre mondiale, la caricature politique des premières décennies de la troisième République va se déchaîner. Par opposition au discours républicain constitutionnel et institutionnel, elle a eu largement recours au vocable du corps pour personnifier et dénoncer. Le corps et ses métamorphoses ont ainsi été le lieu, dans la sphère de ľimage satirique, d’un contre-pouvoir efficace et percutant, essentiellement fondé sur le principe d’une dégradation déclinée sous de multiples formes, en regard et en dérision du culte du grand homme. La personnification des scandales, les déformations physiques, les régressions végétales ou animales et les insectisations ont constitué l’arsenal graphique et symbolique par lequel les caricaturistes antirépublicains ont attaqué le régime. On y retrouve en arrière-plan les théories scientifiques contemporaines — physiognomonie, phrénologie, morphophysiologie… —, les combats esthétiques et politiques et l'idéologie républicaine même, récupérée et détournée. Le « corps » politique reprend ici ses droits, à ses dépens, avec une outrance qui nous surprend. L’ouvrage comprend un ensemble d’annexes et un dictionnaire des caricaturistes et dessinateurs de presse, comportant de nombreuses données inédites.
Political satire, French
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France
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Politics and government
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Caricatures and cartoons
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Political Cartoons - Press - History
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Political satire, French.
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French wit and humor, Pictorial.
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Satire politique française
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Humour français par l'image
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Caricatures
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Satire politique française
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Humour français par l'image
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French wit and humor, Pictorial
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#BIBC:ruil
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