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Du cinéma qui naît à la fin du XIX? siècle à celui qui s'expose aujourd'hui au musée s'est jouée une histoire en trois temps, dont chacun est venu décrire un usage théorique et social du signifiant « cinéma ». Le premier consacre un appareil d'enregistrement et de projection des images en mouvement qui, parmi d'autres, a réussi à imposer un modèle technique et industriel de production des films. Point d'arrivée d'une culture visuelle façonnée par les panoramas, la photographie, le chemin de fer, la lanterne magique et les jouets optiques, le cinématographe consigne une vaste iconographie documentaire avant de s'ouvrir aux formes divertissantes du spectacle. C'est le moment Lumière. Pourtant, dès le début des années 1910, ce premier moment historique est contrarié par une demande d'art qui va profondément modifier son profil culturel et social.

Films, cinema

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Motion pictures --- Cinéma

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The White Indians of Mexican Cinema theorizes the development of a unique form of racial masquerade—the representation of Whiteness as Indigeneity—during the Golden Age of Mexican cinema, from the 1930s to the 1950s. Adopting a broad decolonial perspective while remaining grounded in the history of local racial categories, Mónica García Blizzard argues that this trope works to reconcile two divergent discourses about race in postrevolutionary Mexico: the government-sponsored celebration of Indigeneity and mestizaje (or the process of interracial and intercultural mixing), on the one hand, and the idealization of Whiteness, on the other. Close readings of twenty films and primary source material illustrate how Mexican cinema has mediated race, especially in relation to gender, in ways that project national specificity, but also reproduce racist tendencies with respect to beauty, desire, and protagonism that survive to this day. This sweeping survey illuminates how Golden Age films produced diverse, even contradictory messages about the place of Indigeneity in the national culture.This book is freely available in an open access edition thanks to TOME (Toward an Open Monograph Ecosystem)—a collaboration of the Association of American Universities, the Association of University Presses, and the Association of Research Libraries—and the generous support of Emory University and the Andrew W. Mellon Foundation. Learn more at the TOME website, available at: https://www.openmonographs.org/. It can also be found in the SUNY Open Access Repository at: http://hdl.handle.net/20.500.12648/7153

Mexico; cinema; golden age

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Benjamin Christensen’s Häxan (The Witch, 1922) stands as a singular film within the history of cinema. Deftly weaving contemporary scientific analysis and powerfully staged historical scenes of satanic initiation, confession under torture, possession, and persecution, Häxan creatively blends spectacle and argument to provoke a humanist re-evaluation of witchcraft in European history as well as the contemporary treatment of female “hysterics” and the mentally ill. In Realizing the Witch, Baxstrom and Meyers show how Häxan opens a window onto wider debates in the 1920s regarding the relationship of film to scientific evidence, the evolving study of religion from historical and anthropological perspectives, and the complex relations between popular culture, artistic expression, and concepts in medicine and psychology. Häxan is a film that travels along the winding path of art and science rather than between the narrow division of “documentary” and “fiction.”

History --- Anthropology. --- Cinema.

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D’où vient l’engouement jamais démenti pour les cinémas d’Asie ? Quelles pistes de réflexion esthétiques, historiques ou théoriques posent-ils ? Quels en sont les problématiques et les enjeux principaux ? Tels sont les axes qui structurent cet ouvrage évoquant des cinématographies aussi riches que celles du Japon, de la Chine, de Taiwan ou encore de la Corée du Sud et du Nord, de la Malaisie ou des Philippines... Tout en questionnant la relation cinématographique entre l’Orient et l’Occident, et plus particulièrement les rapports des cinémas d’Asie entre eux, les spécialistes réunis dans cet ouvrage analysent les nombreuses interférences esthétiques qui se nouent par le cinéma. Qu’il s’agisse de repenser des notions cinématographiques telles que la perspective ou la profondeur de champ, de rejouer le conflit entre classicisme et modernité, ou de mettre en scène des mémoires et des événements historiques, les cinémas d’Asie continuent d’interroger notre regard. Enfin, au-delà des émotions et des réflexions esthétiques, ce sont aussi les mutations contemporaines qui sont disséquées avec force.

Film Radio Television --- animation --- contemporain --- cinéma asiatique --- cinéma --- histoire