Listing 1 - 10 of 66 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Choose an application
Religion and state --- Religions --- Religion et Etat --- History --- Histoire
Choose an application
Comment faire vivre ensemble des individus égaux en droits et différents par leurs convictions ? Pour répondre à ce défi venu de l'avènement de la modernité et de la déconstruction de l'unité de foi qu'elle a impliquée, la France a instauré, à partir de 1789, un régime "laïque" d'existence politique : l'Etat se plaçait hier au service de la vérité religieuse ; on lui assigne désormais de simplement assurer, dans l'ordre, la liberté de conscience de ses assujettis. Ce régime de sécularité ne s'est pas fixé toutefois dans un modèle unique d'articulation de la relation entre le pouvoir politique et les communautés de croyances. Au cours des deux siècles qui viennent de s'écouler, tout en s'adossant, continûment, au double principe de neutralité de l'Etal et de liberté de conscience, la politique religieuse de la France a épousé des formes variées, sous la pression des conjonctures politiques, et, plus encore, des transformations de la figure même de la modernité. Le présent ouvrage se propose de rendre compte de ces mutations, en repérant, depuis la Révolution, trois grands moments dans l'agencement de la laïcité. La première étape, qui court du régime napoléonien à la Troisième République, laisse apparaître, selon la logique concordataire, un modèle d'alliance officielle de l'Etat et des cultes. Avec la Troisième République s'inaugure le moment de la séparation, qui trouve son point de cristallisation dans la loi du 9 décembre 1905. La logique qu'il dessine se trouve remise en cause à partir des années 1960 : s'impose alors un système inédit de reconnaissance, fondé sur un partenariat implicite entre l'Etat et les forces religieuses, dans un contexte marqué par l'expansion croisée des revendications identitaires et des angoisses sécuritaires. Cette approche aboutit à questionner fortement les théories pérennalistes qui entendent penser la laïcité hexagonale dans la stabilité de son concept originel. Elle rappelle, à l'inverse, qu'en France même, la politique des cultes s'est toujours construite de manière vivante, dans l'interaction sans cesse renouvelée du culturel, du social et du juridique.
Religion and state --- Laicism --- Religion et Etat --- Laïcité --- History --- Histoire --- Laïcité
Choose an application
Processions --- RELIGION ET ETAT --- Manifestations --- France --- FRANCE --- 19e siècle --- 19E SIECLE
Choose an application
Il est d’usage de dire que nous appartenons à un « âge séculier ». Nous, c’est-à-dire les membres des sociétés occidentales modernes, dont, qu’on s’en félicite ou qu’on le déplore, les églises se vident. Comment est-on passé d’un temps, pas si lointain, où il était pratiquement inconcevable de ne pas croire en Dieu, à l’époque actuelle, où la foi n’est plus qu’une possibilité parmi d’autres et va jusqu’à susciter la commisération ? L’une des explications les plus courantes de cette évolution consiste à affirmer qu’à la faveur des progrès de la science, la vérité aurait finalement triomphé de l’illusion, nous poussant à ne chercher qu’en nous-mêmes notre raison d’être et les conditions de notre épanouissement ici-bas. En révélant les impensés de ce récit classique de la victoire de l’humanisme qui fait du « désenchantement du monde » la seule clé de l’énigme, Charles Taylor entreprend une relecture intégrale de la modernité. Loin d’être une « soustraction » de la religion, la sécularisation est un processus de redéfinition de la croyance qui a vu se multiplier les options spirituelles. Si plus aucune n’est en mesure de s’imposer, les impasses du « matérialisme » et les promesses déçues de la modernité continuent d’éveiller une quête de sens.
Secularism. --- Secularization (Theology). --- Religion and culture. --- Religion and state. --- Sécularisation --- Sécularisation (Théologie) --- Religion et culture --- Religion et Etat --- Secularism --- Religion and culture --- Sécularisation --- Sécularisation (Théologie) --- Religion et état --- Sécularisation (théologie) --- Sécularisme
Choose an application
Pluralisme religieux --- Minorites religieuses --- Administration locale --- Religion et Etat --- Administration municipale --- Histoire --- Aspect politique --- Pluralisme religieux - France - Histoire - 20e siecle - Congres --- Minorites religieuses - Aspect politique - France - Congres. --- Administration locale - France - Congres --- Religion et Etat - France - Histoire - 20e siecle - Congres --- Administration municipale - France - Congres --- Administration communale --- Congrégations religieuses (droit) --- Religion et État --- Église et État --- Sociologie religieuse --- France --- Congrès --- Congrégations religieuses (droit) --- Religion et État --- Église et État --- Congrès
Choose an application
Communication in politics --- Democracy --- Political science --- Religion and state --- Multiculturalism --- Communication politique --- Démocratie --- Science politique --- Religion et Etat --- Multiculturalisme --- Philosophy --- Philosophie --- Political philosophy --- Political science - Philosophy
Choose an application
Le mythe, le rite, deux objets privilégiés de l'anthropologie culturelle, ou plutôt deux concepts dont l'origine est censée remonter aux Anciens. Si en fait il n'en est rien, les Grecs se sont par contre montrés des maîtres dans la manipulation de ces récits que nous, modernes, nous appelons mythes et de ces pratiques culturelles que nous nommons rites. Mais c'est dans sa dimension historique que la culture grecque constitue à cet égard un domaine d'enquête privilégié. Dès la fin du VIe siècle, à l'aube de l'âge supposé être celui de la raison, ne voit-on pas les Athéniens s'approprier la figure du jeune Thésée pour en faire, sous les apparences du néo-initié, le modèle du futur citoyen ? Du même coup, on développe la célèbre légende du combat contre le Minotaure pour la centrer sur Athènes ; notamment en réglant les relations du héros avec les dieux. Présentés comme des gestes premiers, les actes légendaires du jeune homme permettent de reformuler la signification des cultes dédiés aux divinités tutélaires de la cité avant qu'on ne rende des honneurs héroïques à Thésée lui-même. Cet exercice pratique de création religieuse s'inscrit dans un processus de production symbolique qui nous en révèle les tenants et les aboutissants : pour donner l'impulsion déterminante, les grands événements qui ont marqué l'histoire d'Athènes dès le VIe siècle en orientant peu à peu les intérêts politiques et économiques de la cité vers la mer ; en conclusion, le dessin d'un nouvel espace, fait de réalité et d'imaginaire, par la transformation discursive et gestuelle d'une représentation politique. C'est bien l'histoire qui se trouve à l'origine de la légende et du culte, mais pour y être transposée par la spéculation symbolique.
--Athènes --- --Mythologie grecque --- --Thésée --- --Anthropologie culturelle --- --Grèce ancienne --- Grèce ancienne --- Mythologie grecque --- Thésée --- Athènes --- Anthropologie culturelle --- Mythe --- Religion et État --- Mythologie grecque. --- Héros (mythologie) --- Société --- Culte. --- Thésée,
Choose an application
La place de Dieu dans la cité, si ce n'est dans la société, est un sujet largement débattu dans diverses enceintes et sur la placepublique, d'où des laïcistes impénitents voudraient l'exclure. Afin de ladéfinir correctement, l'AES s'efforcera d'en rechercher les fondementsphilosophiques, anthropologiques, politiques, juridiques, historiques. Depuisles origines de l'humanité, l'homme, être spirituel, a su distinguer le sacrédu profane ; il a su prendre en compte le fait religieux. Et les sociétés se sontorganisées en conséquence. Différents domaines d'illustration seront examinés : l'écoleet l'université, l'hôpital, les armées, où les choses ont plus ou moins évoluédepuis la fameuse loi de séparation des églises et de l'Etat de 1905. La question de l'Islam enfin ne peut être éludée. Laneutralité chère à la laïcité républicaine ne risque-t-elle pas d'être vainelorsque la distinction entre les domaines politique et religieux est niée ? Dieu doit-il alors acquérir une place nouvelle dans la cité ? Les chrétiens savent bien qu'il s'agit de la distinction duspirituel et du temporel, de Dieu et de César. L'expérience et les suggestions de responsables de l'Eglise aideront enfin l'Académie à tirer le meilleurbénéfice de cette réflexion.
Laicism --- Secularism --- Religion and state --- Religious observances on public property --- Congresses. --- Laïcité --- Sécularisation --- Religion et Etat --- Expression religieuse dans l'espace public --- Congrès
Choose an application
Nombreux sont les ouvrages consacrés à la laïcité et plus généralement à la place des religions dans un État démocratique, mais leur vision est trop souvent parcellaire ou orientée. À la lueur du droit international privé, du droit européen et du droit comparé cet ouvrage tente de démontrer l'originalité des réponses juridiques françaises confrontées aux problématiques actuelles. Avec un regard critique les différentes études, à la fois théoriques et pratiques, s'interrogent sur les nouvelles interprétations des concepts tels que la laïcité, la neutralité du service public, le vivre ensemble... et sur l'opportunité de certaines solutions. Elles dénoncent également les dérives de la radicalisation normative et jurisprudentielle perceptible dans toutes les branches du droit et proposent des accommodements raisonnables pour y remédier.
Laïcité. --- Religion et droit --- Religion et État --- Religion et droit. --- Religion et État. --- Laïcité --- Bioéthique --- Signes et symboles. --- Liberté religieuse. --- Droit et morale. --- Famille --- Droit. --- Aspect religieux --- France. --- Laicism --- Religion and state --- Religion and law --- Comparative aw --- Droit comparé --- Freedom of religion --- Liberté religieuse
Listing 1 - 10 of 66 | << page >> |
Sort by
|