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Philosophy, German --- Philosophy --- Philosophie allemande --- Philosophie
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Dans la pratique philologique, la critique, qui établit l’authenticité du texte et l’herméneutique, qui en dégage le sens, sont deux opérations solidaires. Ce modèle s’est vu élevé à la réflexion, dès la fin du xviiie siècle en Allemagne, par les auteurs de la génération romantique, Friedrich Schlegel, Schleiermacher et Ast. Le projet de réunir "philologie et philosophie" résume leur tentative, originale par rapport aux philosophies postkantiennes. Car ces auteurs cherchent à penser l’antinomie entre la critique et l’herméneutique, la mise à distance dans le jugement et l’expérience d’une appartenance première. Suivant des perspectives distinctes, ils ont conçu une théorie philosophique de l’interprétation, depuis le cadre d’une encyclopédie philologique. Mais cette théorie ne s’est pas préparée à l’écart de tout exercice. Depuis la pratique philologique jusqu’à l’invention d’un nouvel art de la critique littéraire propre au premier romantisme d’Iéna, il s’agit toujours de l’autoréflexion d’une pratique interprétative, de l’effort fourni pour en énoncer les fondements et la portée. Le choix des textes retenus vise à mettre en évidence cette double perspective, en reconstituant ainsi l’arc allant du jugement critique singulier (sur la Lucinde ou le Philoctète) à la recomposition du sens de grands ensembles textuels (Boccace ou Lessing) et menant à la proposition d’une théorie cohérente. Entre le jugement critique et la relation herméneutique partant de la reconnaissance de l’historicité du sens, c’est le projet d’une encyclopédie des sciences de l’esprit qui cherche ici ses fondements théoriques.
Philosophy, German --- Hermeneutics --- Criticism --- German philology --- Philosophie allemande --- Herméneutique --- Critique --- Philologie allemande --- History --- Histoire --- --XIXe s., --- --Épistémologie --- --Esthétique --- --Allemagne --- --Philosophie allemande --- --Philosophy, German --- Herméneutique --- XIXe s., 1801-1900 --- Épistémologie --- Esthétique --- Allemagne --- Philosophy --- romantisme --- herméneutique --- critique
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Mit dem Untertitel »Streitfragen« bringt dieser Band 44 der Fichte-Studien eine zweite Gruppe von Beiträgen, die das Hauptthema »Fichte und seine Zeit« behandeln und es aus unterschiedlichen Gesichtspunkten entfalten. Die erste Gruppe - mit dem Untertitel: Kontext, Konfrontationen, Rezeptionen - wurde im Band 43 der Fichte-Studien bereits veröffentlicht. In überarbeiteter und aktualisierter Form stellen die folgenden Beiträge Materialien dar, die in Bologna auf dem internationalen Fichte-Kongress von 2012 vorgelegt und besprochen wurden. Die ›Fragen‹ bzw. die Themen, um die es ›Streit‹ gab, oder die noch heute als diskussionswürdig anzusehen sind, werden in diesem Band der Fichte-Studien nach vier Schwerpunkten gegliedert und gesammelt: 1. Transzendentalphilosophie und Wissenschaftslehre, 2. Recht und Politik, 3. Geschichte und Geschichtsphilosophie, 4. Körper und Natur. Dem Leser wird somit ein breites Spektrum von gewichtigen Themen, Fragestellungen, Informationen angeboten, die unser Bild von Fichte und dessen Philosophieren in seiner Zeit und in unserer Zeit ergänzen, bereichern und vertiefen.
Philosophy, German --- Philosophie allemande --- Fichte, Johann Gottlieb, --- Influence --- Philosophers --- German literature --- Philosophers - Germany - 19th century --- Fichte, Johann Gottlieb, - 1762-1814
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W. von Humboldt est peu connu et, quand il l’est, c’est en tant que spécialiste du langage, c’est-à-dire en fonction de recherches, pour l’essentiel, postérieures à 1820. On ignore généralement que la détermination du sens de son entreprise est bien antérieure, avant même qu’il ne découvre le problème du langage. Ces deux écrits, inachevés, restés à l’état de brouillons et publiés seulement au début de ce siècle, peuvent être datés de 1796 et 1797. Ils sont intéressants à bien des égards. Ils constituent l’achèvement d’une réflexion menée depuis 1790, sur fond d’une assimulation du criticisme, dans plusieurs champs du savoir et d’importantes dimensions de l’expérience humaine (politique, histoire, esthétique, etc.). Ils se donnent comme un effort, mené d’une manière certes encore spéculative, pour thématiser ce qui apparaît à Humboldt comme l’exigence de l’époque, savoir ce qu’il en est de l’homme, et cerner les contours d’une anthropologie philosophique d’un type nouveau. Mais, s’ils condensent le passé d’une pensée, ces textes valent aussi comme première formulation relativement claire de ce qui s’accomplira bien plus tard sous les traits d’une philosophie du langage. Le sens de la tentative est désigné : élaborer le concept de science humaine, ici essentiellement à travers la recherche d’un fondement de la psychologie, saisir l’articulation de cette nouvelle connaissance de l’homme avec la philosophie et ainsi, à partir de la prise de conscience du chemin parcouru et de la caractérisation du siècle qui s’achève, comprendre la tâche assignée à l’humanité par la modernité.
Philosophy, German --- Philosophical anthropology. --- Eighteenth century. --- Philosophie allemande --- Anthropologie philosophique --- Dix-huitième siècle --- Dix-huitième siècle --- 18th century --- Anthropology, Philosophical --- Man (Philosophy) --- Civilization --- Life --- Ontology --- Humanism --- Persons --- Philosophy of mind --- Philosophy --- philosophie --- anthropologie --- sciences humaines et sociales --- psychologie
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Paul Ricœur a toujours entretenu un rapport passionné avec la philosophie allemande, jusqu’à entreprendre la traduction des Idées directrices de Husserl en captivité dans un stalag. S’il est connu pour son rôle clé dans l’acclimatation de la phénoménologie husserlienne en France, sa lecture de la philosophie allemande antérieure à Husserl a été non moins intense et influente. Lui-même a parfois défini sa position comme un « kantisme post-hégélien ». Mais il a su également mobiliser les pensées de Marx, de Nietzsche et de Freud comme des moments critiques indispensables à son projet intellectuel. Enfin, il a reconnu toute l’importance de Schleiermacher et de Dilthey en tant que fondateurs de la philosophie herméneutique. Le présent ouvrage se propose d’examiner comment Ricœur s’approprie l’héritage de la philosophie allemande du XVIIIe et du XIXe siècle, et comment, à travers elle, il crée une œuvre extraordinairement originale. Quelles sont les règles implicites auxquelles ses lectures obéissent ? En quoi lui permettent-elles d’explorer ses propres intuitions ? Qu’ont changé ces lectures dans la réception de la philosophie allemande en milieu francophone ? Telles sont les questions auxquelles cet ouvrage entend répondre.
Philosophie --- Ricoeur, Paul --- Critique et interprétation. --- Philosophy, German. --- Philosophy, French --- Ricœur, Paul, --- Critique et interprétation --- Philosophy, French - German influences --- Ricœur, Paul, - 1913-2005 --- Philosophy --- Kant --- Dilthey --- philosophie allemande --- herméneutique --- idéalisme --- Ricœur, Paul --- Knowledge
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La philosophie allemande a toujours eu en France une réelle influence. Toutefois, celle-ci a varié en intensité selon les époques et s’est exercée parfois avec un décalage important, mais elle a pu aussi se manifester dans des dimensions de la culture en général moins connues du public philosophique. Un colloque international, tenu à Lille en 1991 dans le cadre des accords entre les universités de Halle et de Lille et organisé par le Centre Éric Weil, s’est donné pour objet d’approfondir ce thème en retenant trois grandes périodes, le début du xixe siècle, la fin du xixe et le début du xxe, la période contemporaine. Ce volume rassemble les contributions, de façon interdisciplinaire, d’éminents spécialistes, étrangers et français, de la culture allemande. Ces études analysent la manière dont la pensée allemande, sur une durée de deux siècles, a été approchée, assimilée, interprétée. Elles présentent différentes facettes d’une réception souvent positive, parfois négative et examinent comment se sont effectuées, de la lente prise de contact des Idéologues avec une pensée, celle de Kant, qu’ils étaient peu préparés à comprendre jusqu’à l’irruption de Heidegger dans le contexte français, différentes modalités de ce rapport, du simple contact à une véritable réappropriation.
History of philosophy --- anno 1800-1999 --- Germany --- France --- Philosophy, German --- Philosophy, French --- Philosophers --- Philosophie allemande --- Philosophie française --- Philosophes --- Influence --- Congresses. --- Philosophie française --- Philosophy [German ] --- 19th century --- 20th century --- Philosophy [French ] --- German influences --- Philosophy, French - 19th century - Congresses. --- Philosophy, French - 20th century - Congresses. --- Philosophy, German - Influence - Congresses. --- German philosophy --- French philosophy --- philosophie --- réception
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La philosophie de Nietzsche est une philosophie perspectiviste. Elle l’est, d’abord, par son contenu interprétatif, puisque les volontés de puissance qui constituent indéfiniment les significations du monde, sont des centres d’interprétation et que ces interprétations centrées sont autant de perspectives qui s’affrontent les unes les autres. Mais elle l’est, aussi, en ce qu’elle s’offre elle-même, conformément à son perspectivisme assumé, à une multiplicité de commentaires, tous légitimes à condition de s’ouvrir, de manière forte, aux autres, et de les laisser se déployer pour les dépasser dans le jeu indéfini des herméneutiques. Ce livre sur la philosophie de Nietzsche part d’une hypothèse selon laquelle la perspective d’interprétation morale de cette philosophie est sans doute celle qui permet le mieux, d’une part, de rendre compte de son développement et de sa méthode propre et, d’autre part, de s’ouvrir aux autres perspectives interprétatives sur elle, en les comprenant sans les réduire, tout en les subordonnant ou hiérarchisant de façon rigoureuse. Ayant d’abord mis à l’épreuve cette hypothèse du point de vue d’une lecture interne de la genèse et la structure méthodique du questionnement de la morale par Nietzsche dans nos deux premières parties, notre propos est ensuite d’entendre « le questionnement moral de Nietzsche » au sens d’un génitif objectif de l’expression, par suite de reconstruire, dans notre troisième partie, « trois mises en questions morales de Nietzsche », pouvant émaner de trois perspectives philosophiques majeures sur le problème moral : kantisme, fichtéanisme (auquel le questionnement weilien est largement associé), matérialisme. La meilleure manière de présenter ces mises en questions nous a semblé consister dans l’introduction d’une sorte de dialogue entre des pensées philosophiques toujours vivantes, de sorte que cette troisième partie se termine par un essai d’envisager comment et jusqu’où Nietzsche aurait pu répondre à ces objections…
Ethics. --- Philosophy, German --- Morale --- Philosophie allemande --- Nietzsche, Friedrich Wilhelm, --- Criticism and interpretation. --- Ethics --- Nietzsche, Friedrich Wilhelm --- Criticism and interpretation --- Morale. --- German philosophy --- 19th century --- Criticism --- Deontology --- Ethics, Primitive --- Ethology --- Moral philosophy --- Morality --- Morals --- Philosophy, Moral --- Science, Moral --- Philosophy --- Values --- Nietzsche, Friedrich --- Nietzsche, Friederich --- Nietzsche, Friedrich (1844-1900) --- Critique et interprétation
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La question de la légitimation de la philosophie est l’un des fils conducteurs de l’idéalisme allemand. Dans la première génération des successeurs de Kant en effet, certains ont pour ambition explicite de reprendre ses résultats, mais d’une manière suffisamment justifiée pour répondre aux objections sceptiques. D’autres, en revanche, décident de s’installer dans le renoncement à la fondation systématique, accusant la raison discursive d’être incapable de saisir la vie et la liberté. Quels sont, chez les auteurs de l’idéalisme allemand, les arguments qui plaident en faveur d’un fondement du discours philosophique ? Un tel principe est-il théorique ou pratique, inaugural ou terminal, intuitif ou discursif, tel qu’il adopte la forme d’une proposition singulière ou tel qu’il se confond avec le tout du discours ? En somme, l’enjeu est d’examiner, sous un point de vue nouveau, le thème de la raison dans l’idéalisme allemand. La question est ici abordée dans une perspective historique autant que systématique. La variété et la richesse des études témoignent de la vitalité des recherches actuelles sur l’idéalisme allemand.
Idealism, German --- Philosophy, German --- Principle (Philosophy) --- Idéalisme allemand --- Philosophie allemande --- Principe (Philosophie) --- --Raison --- --Principe (Philosophie) --- Raison --- Idéalisme allemand --- Philosophy, German 18th century --- Philosophy, German 19th century --- Reason --- Idéalisme allemand. --- Raison. --- Idéalisme allemand. --- Philosophy & Religion --- Philosophy --- raison --- Kant --- idéalisme allemand
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Edmund Husserl (1859-1938) a fondé une discipline nouvelle, la phénoménologie, où il développe une analyse descriptive des actes de la conscience intentionnelle (perception, imagination, souvenir, conscience d’autrui, etc.). Avec le premier livre des Idées directrices pour une phénoménologie pure et une philosophie phénoménologique (1913), Husserl définit la phénoménologie transcendantale comme « science des phénomènes ». Il expose la méthodologie de la pratique phénoménologique et conçoit un ambitieux programme de recherche : la description des actes de conscience doit permettre de révéler les structures essentielles de la subjectivité transcendantale. Ce faisant, Husserl ne crée pas seulement une nouvelle discipline philosophique. Il ouvre aussi la voie à une ambitieuse « refondation » des sciences empiriques et réaffirme la nécessité d’un certain rationalisme, tout à la fois théorique et éthique. Cet ouvrage explicite et interroge ce projet d’une « science des phénomènes », en examinant un à un chacun des paragraphes des Idées directrices. Commentaire de cette œuvre majeure, il constitue aussi une introduction à l’œuvre d’Edmund Husserl et à la phénoménologie elle-même.
Phenomenology --- Philosophy, German --- Phénoménologie --- Philosophie allemande --- Husserl, Edmund, --- Phénoménologie --- Husserl, Edmund --- Husserl, Edmond --- Phenomenology - Congresses --- Husserl, Edmund, - 1859-1938 - Allgemeine Einführung in die reine Phänomenologie - Congresses --- Husserl, Edmund, - 1859-1938 - Congresses --- Philosophy & Religion --- Philosophy --- phénoménologie --- Husserl --- conscience --- Husserl, Edmund, - 1859-1938 - Allgemeine Einführung in die reine Phänomenologie --- Husserl, Edmund, - 1859-1938
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Si la philosophie vise bien une vérité, elle ne peut être indifférente à sa communication. Le vrai doit être dit pour tous, car il vaut pour tous. Telle est la conviction des siècles démocratiques, héritiers des idéaux des Lumières. Mais comment être assuré qu’il sera compris ? Les études ici réunies, consacrées aux Lumières et à l’ensemble romantique et idéaliste allemand, présentent plusieurs tentatives et reviennent sur leurs apories. Dans la lignée d’un rationalisme triomphant, les Lumières ont cherché à « populariser » la philosophie, privilégiant la clarté du discours. Mais cette pédagogie rencontre une double limite, qui tient à la simplification des contenus et à l’impossibilité d’éviter tout malentendu. En réaction aux illusions d’une communication accomplie sous le signe de la raison universelle, des stratégies alternatives ont vu le jour. De Kant à Fichte, de Hegel à Schlegel, Schelling ou Schleiermacher, les formes les plus diverses ont pu être essayées, trahissant la tension entre l’individualité de la forme et l’universalité de la prétention au vrai. On analysera ici le poème didactique, le fragment, le dialogue et le récit à partir de cas exemplaires où la philosophie s’approprie des genres hétérogènes comme le poème de Lucrèce, la maxime des moralistes français, le dialogue platonicien ou l’épopée homérique. Entre le désir de science et la tentation de la littérature, la philosophie a exploré, des Lumières au romantisme, de multiples voies pour assurer sa communication. Réfléchissant sur les apories d’une pédagogie de la clarté autant que d’une réduction de la philosophie à l’écriture, l’ouvrage plaide pour un pluralisme des formes qui engage l’activité du lecteur.
Enlightenment. --- Idealism, German --- Philosophy, German --- Siècle des lumières --- Idéalisme allemand --- Philosophie allemande --- History --- Histoire --- Enlightenment --- Philosophy --- Enlightenment - Germany --- Idealism, German - History - 18th century --- Philosophy - Germany - History - 18th century --- Philosophy, German - 18th century --- philosophie --- partage --- idée --- Mouvement des Lumières --- Idéalisme allemand --- Forme (philosophie) --- Écriture --- Philosophie
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