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Les biais cognitifs amènent l'être humain à croire ce qui confirme ses croyances plutôt que ce qui les infirme. Ces comportements irrationnels influent de manière conséquente sur le maniement des probabilités, la compréhension du hasard et les prises de décision. Or, certains acteurs les exploitent pour en tirer profit, parfois aux dépens des autres. [Electre]
Choix rationnels, Théorie des. --- Théorie de la connaissance. --- Sciences cognitives. --- Prise de décision. --- Cognition. --- Rationalité. --- Heuristique. --- Irrationalisme. --- Sciences cognitives --- Rationalité --- Irrationalisme --- Aspect politique --- Choix rationnels, Théorie des. --- Théorie de la connaissance. --- Prise de décision. --- Rationalité. --- Decision making. --- Psychologie. --- Psychology. --- Philosophie. --- Philosophy. --- Erreurs logiques. --- Rationalité --- Aspect politique.
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Prédire l'avenir permet d'agir de façon optimale au présent. Aujourd'hui, les prédictions les plus précises proviennent d'algorithmes, qui permettent d'anticiper aussi bien une maladie que le départ d'un employé. Mais cette prédiction algorithmique atteint également l'État dans ses fonctions les plus régaliennes, comme la sécurité. Que ce soit en justice pénale (pour estimer le risque de récidive d'un détenu), au sein de la police (afin de connaître les probabilités d'occurrence d'un crime dans un certain lieu), ou dans la lutte contre le terrorisme (afin de détecter les menaces potentielles), les algorithmes prédictifs sont largement mobilisés en matière de sécurité intérieure et extérieure. Ces nouveaux oracles marquent-ils l'avènement de Minority Report version 2.0 ? S'ils charrient la promesse d'une efficacité accrue, ces algorithmes pourraient aussi bien agir, en cas de biais importants, comme des "armes de destruction massive". Nos valeurs nous enjoignent à nous prémunir de l'émergence d'un Big Brother que nos moyens technologiques rendent désormais possible. Le panoptique à ciel ouvert, tel que déployé par la Chine, par exemple, en constitue un exemple inquiétant. Il faut donc trouver la ligne de crête, le fragile équilibre qui doit permettre d'éviter le double écueil de l'impuissance publique et de la dystopie totalitaire. Au fond, les algorithmes sont solubles dans la démocratie s'ils la servent plutôt que s'y substituent.
Crime prevention. --- Crime forecasting --- Criminal behavior, Prediction of --- Algorithms --- Artificial intelligence --- Electronic surveillance --- Democracy --- Criminalité --- Algorithmes --- Intelligence artificielle --- Démocratie --- Prédiction du comportement criminel --- Predictive justice --- Justice prédictive --- Informatique et liberté --- Surveillance électronique --- Law and legislation. --- Law and legislation --- Prévention --- Prévision --- Droit --- Criminal justice, Administration of --- Technological innovations. --- Social aspects. --- Moral and ethical aspects. --- Évaluation du risque --- Identification biométrique --- Justice prédictive --- Informatique et liberté --- Surveillance électronique --- Évaluation du risque --- Identification biométrique
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URBAIN --- DEVELOPPEMENT LOCAL --- DEMUNIS --- ETAT --- FINANCEMENT --- THEORIE MICROECONOMIQUE --- THEORIE MACROECONOMIQUE
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Dans les années 1970, les travaux de Daniel Kahneman et Amos Tversky ont montré que le jugement humain et la prise de décision reposent souvent sur des heuristiques (raccourcis mentaux) pouvant donner lieu à des biais cognitifs (déviations systématiques par rapport à une norme rationnelle). Par exemple, nous avons tendance par excès de confiance à surestimer nos chances de réussite lorsque l'on démarre un projet. Le biais de disponibilité fait que nos jugements sont influencés par l'information la plus disponible en mémoire. Le biais de confirmation nous amène à privilégier les informations qui confortent nos croyances plutôt que celles qui les infirment. Ces travaux, qui ont valu à Kahneman le prix Nobel d'économie en 2002, ont eu une portée considérable en sciences sociales. Ils montrent les limites de la rationalité humaine et l'importance de les considérer pour éviter les erreurs de décision. Longtemps confinée à la recherc he fondamentale, la thématique des biais cognitifs commence à franchir les murs des laboratoires de recherche pour trouver écho sur le terrain de la pratique. Dirigeants, managers, médecins, juristes, financiers, les biais cognitifs sont une réalité susceptible d'impacter les décisions de tous ces professionnels dans leur pratique quotidienne. Ce livre a un double objectif : présenter de façon vulgarisée les principaux biais cognitifs et fournir les clés pour éviter qu'ils impactent les décisions. L'enjeu est de permettre aux managers et aux professionnels d'être conscients des biais susceptibles d'influencer leurs décisions et de disposer d'outils permettant de maîtriser cette influence. Dans un monde marqué par une complexité informationnelle et technologique croissante, savoir éviter les erreurs de décision devient une compétence clé. Pour cela, cet ouvrage présente le premier test psychométrique pour évaluer les biais cognitifs : le ^CBI (Cognitive Bias Inventory).
Biais cognitifs. --- Prise de décision (statistique) --- Biais cognitifs --- Decision making --- Semantic differential technique
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URBAIN --- DEVELOPPEMENT LOCAL --- INTERCOOPERATION --- COLLECTIVITE LOCALE --- FRANCE --- CANADA --- CHILI
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Au cours du siècle dernier, l’étude des différences individuelles en psychologie a pu être jugée comme secondaire et considérée comme de la « science mineure ». L’emprunt de méthodes en vigueur dans les sciences expérimentales se fixait pour objectif de mettre en évidence des lois générales, les différences entre individus étant perçues comme des variables parasites qu’il s’agissait de neutraliser car rendant trop complexes les phénomènes à analyser. Les nouveaux outils conceptuels et méthodologiques développés par les différentialistes permettent de traiter cette complexité. On assiste à une intégration croissante des différences individuelles dans les recherches sur la cognition, les émotions, le développement, du handicap, le vieillissement, les conduites sociales. De façon symétrique, les études de psychologie différentielle, prennent de plus en plus en compte la variabilité intra-individuelle. Ces recherches placent la psychologie différentielle à l’articulation d’autres disciplines. D’une rencontre biennale lors des « Journées de psychologie différentielle ». Les XIXe Journées organisées par l’université d’Aix-Marseille en 2010 ont été consacrées à l’inscription de l’étude des différences individuelles dans les différents champs de la psychologie et dans des sciences avec qui elle interagit fortement (neurosciences et génétique). Trois conférenciers de renommée internationale, Andreas Demetriou, Dorett Boomsma, et Robert Vallerand ont participé à ce débat. Les recherches présentées ici, adossées aux modèles et méthodes les plus récents, attestent de l’apport de cette discipline à tous les domaines de la psychologie et à ses applications.
Difference (Psychology) --- Identity (Psychology) --- Personal identity --- Personality --- Self --- Ego (Psychology) --- Individuality --- Differential psychology --- Psychology, Differential --- Differentiation (Developmental psychology) --- Psychology --- psychologie --- cognition --- émotion --- psychologie différentielle
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