Listing 1 - 10 of 21 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Alcuin, --- Alcuin --- Alcuinus, Flaccus,
Choose an application
Le clerc anglo-saxon Alcuin d’York (730?-804), conseiller de Charlemagne et figure majeure de la Renaissance carolingienne, fut, une vingtaine d’années après sa mort, le héros d’un texte hagiographique, la "Vita beati Alcuini", qui vit en lui un saint homme. De cette "Vita", portée par une très riche intertextualité biblique, le présent ouvrage propose, pour la première fois, une édition fondée sur le texte transmis dans son intégralité par le manuscrit Reims, BM 1395 ( K784), ainsi qu’une première traduction, amplement annotée. Texte latin et traduction française sont précédées d’une riche étude textuelle thématique, en cinq parties respectivement intitulées: "Deux manuscrits pour une Vie: le texte dans son contexte codicologique" ; "Pour une nouvelle approche de la Vita Alcuini" ; "Une Vie aux multiples enjeux" ; "La mise en oeuvre de la figure sainte" ; "La place de l’hagiographe". L’ouvrage entend montrer, à tous ceux qu’intéresse l’univers du Haut moyen Age, l’importance des enjeux historiques, culturels, littéraires et spirituels de cette "Vita" méconnue d’un homme connu.
Biographies chrétiennes --- Histoire et critique --- Alcuin --- Chrétiens --- Biographies --- Alcuin / (0732?-0804) --- Biographies chrétiennes / Histoire et critique --- Histoire et critique. --- Alcuin, --- Vita beati Alcvini. --- Alcuinus
Choose an application
Riche de près de 300 pièces, la correspondance d’Alcuin, conseiller de Charlemagne et, à partir de 796, abbé de Saint-Martin de Tours, est sans équivalent à cette époque. Recueillie par son ami Arn, archevêque de Salzbourg, la première collection, comprenant vingt pièces, est ici éditée avec un nouveau texte critique et traduite pour la première fois en français. Datable de 799, c’est la seule qui ait été établie du vivant du maître d’oeuvre de la réforme carolingienne.Adressées à Arn, à des moines, à des élèves ou à d’anciens élèves, à Charlemagne lui-même ou à la reine Edilthrude, ces vingt lettres illustrent divers genres : consolation, précis exégétique, manuel pastoral, miroir du prince ou de l’évêque, et même « tombeau ». Le clerc anglo-saxon y fait la part belle à la Bible, à la poésie, tout en s’inspirant de Jérôme, d’Augustin, bien sûr, de Grégoire le Grand plus encore.Mais c’est surtout sa capacité à réagir à une situation nouvelle – la résurgence d’une hérésie, l’apparition de certaines pratiques – et à être un homme de son temps, soucieux d’une évangélisation pacifique des païens, de l’éducation des enfants, de la promotion des laïcs et des prêtres, de l’intégrité des évêques, du rôle majeur qu’un souverain comme Charlemagne peut jouer, qui fait l’attrait principal de ces Lettres.
Alcuin, --- Latin letters, Medieval and modern --- Theology --- Manuscrits latins --- Édition critique. --- Alcuin --- Correspondance. --- Theologische teksten (Middeleeuwen) --- Alcuin, - 735-804 - Correspondence --- Alcuin, - 735-804
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Christian hagiography --- Christian saints --- Hagiographie chrétienne --- Saints chrétiens --- History and criticism --- Biography --- Histoire et critique --- Biographies --- Alcuin, --- Church history --- 235.3*35 --- Westerse hagiografische bronnen --- 235.3*35 Westerse hagiografische bronnen --- History --- Critique et interprétation --- Criticism and interpretation --- Alcuin --- Hagiographie chrétienne --- Saints chrétiens --- Criticism and interpretation. --- Critique et interprétation. --- Critique et interprétation. --- Christian saints - Biography. --- Church history - Primitive and early church, ca. 30-600 - Sources. --- Church history - Middle Ages, 600-1500 - Sources. --- Alcuinus --- Willibrordus ep. Ultraiectensis --- Vedastus ep. Atrebatensis --- Richarius ab. Centulensis
Choose an application
Pendant près d'un siècle, de 741 à 829, des auteurs proches des souverains carolingiens, Pépin III le Bref, Charlemagne et Louis le Pieux, ont écrit et réécrit, pour chaque année, des textes relatant les évènements qu'il leur paraissait important de confier à la mémoire. Ces Annales permettent de suivre comment Pépin, maire du Palais du dernier roi mérovingien, obtint la royauté des Francs en 751/754, comment son fils Charles put être reconnu et couronné empereur d'Occident en 800, fonction et dignité que son fils Louis exerça après sa mort en 814. Il s'agit donc d'une histoire officieuse, sinon officielle, du gouvernement et des efforts d'unification des pays francs, des luttes pour la soumission des peuples lombard, bavarois et saxon, des affrontements avec les Slaves et les Avars à l'est, avec les Scandinaves au nord et avec les Maures au sud, sans négliger les relations avec le pape de Rome, l'empereur de Byzance et le calife de Bagdad. Le tout inscrit dans une perspective d'histoire universelle chrétienne, scandée par le retour annuel des fêtes de Noël et de Pâques. Les éditeurs ont distingué deux versions. D'abord une version brève couvrant les années de règne de Pépin III et de Charlemagne jusqu'en 801. Cette version brève a ensuite été réécrite et continuée en une version longue jusqu'à l'année 829. Ce sont ces deux versions des Annales du royaume des Francs qui sont ici présentées et traduites séparément dans les volumes I et II aux fins de comparaison.
Empire carolingien --- Royaume des Francs --- Carolingians --- Franks --- History --- Pepin, --- Charlemagne, --- Louis --- France --- Merovingians --- 944.01 <093> --- 944.01 <093> Geschiedenis van Frankrijk--(tot 987)--Historische bronnen --- Geschiedenis van Frankrijk--(tot 987)--Historische bronnen --- Carlovingians --- Carolinians --- Ethnology --- Germanic peoples --- Charlemagne --- Pepin --- Pépin --- Pippin --- Karl --- Carolus Magnus --- Karel de Grote --- Charles le Grand --- Karl der Grosse --- Charles --- Annales regni Francorum --- Kronieken van het Frankische Rijk --- Annales Laurissenses majores --- Royal Frankish annals --- Annals of the Frankish realm --- Annales Laurissenses maiores --- Bro-C'hall --- Fa-kuo --- Fa-lan-hsi --- Faguo --- Falanxi --- Falanxi Gongheguo --- Faransā --- Farānsah --- França --- Francia (Republic) --- Francija --- Francja --- Francland --- Francuska --- Franis --- Franḳraykh --- Frankreich --- Frankrig --- Frankrijk --- Frankrike --- Frankryk --- Fransa --- Fransa Respublikası --- Franse --- Franse Republiek --- Frant︠s︡ --- Frant︠s︡ Uls --- Frant︠s︡ii︠a︡ --- Frantsuzskai︠a︡ Rėspublika --- Frantsyi︠a︡ --- Franza --- French Republic --- Frencisc Cynewīse --- Frenska republika --- Furansu --- Furansu Kyōwakoku --- Gallia --- Gallia (Republic) --- Gallikē Dēmokratia --- Hyãsia --- Parancis --- Peurancih --- Phransiya --- Pransiya --- Pransya --- Prantsusmaa --- Pʻŭrangsŭ --- Ranska --- República Francesa --- Republica Franzesa --- Republika Francuska --- Republiḳah ha-Tsarfatit --- Republikang Pranses --- République française --- Tsarfat --- Tsorfat --- Γαλλική Δημοκρατία --- Γαλλία --- Франц --- Франц Улс --- Французская Рэспубліка --- Францыя --- Франция --- Френска република --- פראנקרייך --- צרפת --- רפובליקה הצרפתית --- فرانسه --- فرنسا --- フランス --- フランス共和国 --- 法国 --- 法蘭西 --- 法蘭西共和國 --- 프랑스 --- France (Provisional government, 1944-1946)
Choose an application
Choose an application
Le Codex Carolinus fait l’objet d’un regain d’intérêt depuis quelques années. Celui-ci, témoin de l’idéologie royale de Charlemagne, est une source immensément complexe et les raisons de la mise en compilation de la correspondance pontificale en 791 ne sont que partiellement élucidées. Ce travail se consacre à un questionnement sur l’intérêt de compiler les deux dernières lettres du Codex dont la présence est étonnante puisque leur auteur, Constantin II, avait été jugé « usurpateur du siège apostolique » en 769. Pour cela, nous nous sommes d’abord attachés à une réévaluation de son pontificat dont l’histoire était trop dépendante des sources qui l’ont condamné. En croisant les divers témoignages et en accordant un œil attentif aux écrits de l’usurpateur, nous avons pu déterminer que, si son pontificat n’a pas fait l’unanimité, il eut un soutien suffisamment important pour se maintenir une année entière et il a déployé des efforts conséquents dans sa quête de légitimité. Nous avons ensuite confronté le contexte idéologique de constitution du Codex au contenu des lettres dans lesquelles nous avons relevé une série d’éléments attestant que leur contenu relevait d’un intérêt suffisamment important pour qu’elles soient incorporées dans la collection, et ce malgré leur caractère illégitime.
Choose an application
Listing 1 - 10 of 21 | << page >> |
Sort by
|