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Ce mémoire a pour but de parler de l'architecture de l'entre-deux-guerres à Bruxelles mais également des différents facteurs, extérieurs à celle-ci, qui de près ou de loin l'influencent. Il a été conçu de manière à ce que le lecteur puisse s'imprégner des quatre dimensions qui constituent l'oeuvre architectural. En effet, selon Willy Serneels (ancien directeur de l'institut supérieur d'architecture Saint-Luc), pour parler d'architecture, il faut nécéssairement prendre en compte, sans hiérarchie : La situation, la production, l'"espace-forme", l'usage. Le mémoire sera donc subdivisé en quatre dimensions qui, en ayant pris connaissance de leur contenu et des articulations qui les nouent, nous procureront le moyen d'analyser les édifices et de les comprendre. Dans chacune de celles-ci, différents thèmes seront abordés. Ils seront accompagnés de cartes, plans, photo,... qui permettront de visualiser, de mieux comprendre leur contenu. La démarche suivante est d'aller au coeur du sujet en allant se promener à travers les rues de Bruxelles. Avec l'aide de la carte, qui répertorie une série d'édifices séléctionnés et considérés comme représentatifs, il sera assez aisé de se retrouver par rapport à une oeuvre analysée. L'intérêt de cette démarche est de réellement s'imprégner du contexte. Mais le plus intéressant est de se promener et d'essayer de repérer d'autres oeuvres architecturales de la même période et de les analyser par rapport à ce qui aura été observé dans le mémoire.

Architecture entre deux guerres --- Bruxelles

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À compter de 1916, les « paradis artificiels » chers à Baudelaire relèvent en France d’une loi pénale adoptée sous la pression du mouvement prohibitionniste international et d’une opinion publique devenue réticente. Désormais, les produits définis comme « stupéfiants » (opium et ses dérivés tels la morphine et l’héroïne, cocaïne et haschich) sont étroitement contrôlés, réservés aux usages strictement thérapeutiques, tandis que leur commerce illicite est sévèrement réprimé. C’est donc dans la période de l’entre-deux-guerres que s’élaborent les enjeux contemporains de « la question des drogues » : « clandestinisation » des pratiques, mise en place d’un marché parallèle, répression des fraudeurs, marginalisation de certaines catégories d’usagers. Fondé sur le dépouillement minutieux des archives judiciaires, que complète une ample documentation médicale, journalistique et littéraire, ce travail adapté d’une thèse de doctorat analyse les modalités et les conséquences de cette mutation majeure. Étudiant successivement le mouvement de l’opinion publique, la sociologie et les pratiques des usagers, leur sort judiciaire et thérapeutique, il interroge les effets et l’efficacité du modèle répressif dans la genèse de son élaboration. À travers le devenir du consommateur de stupéfiants, ce sont aussi toute une série d’évolutions anthropologiques et culturelles qui se trouvent abordées : celles du rapport dialectique entre progrès de l’hygiénisme et redéfinition des frontières somatiques, progrès parallèle du contrôle social et de la liberté individuelle. La question des drogues jette ainsi un éclairage original et novateur sur une période qui fut, à bien des titres, un laboratoire de la modernité.

History --- drogues --- stupéfiants --- délinquance --- toxicomanie --- marginalité --- entre-deux-guerres

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MODERNIST-MAP.BRUSSELS 1910-1940 est une carte regroupant pas moins de 200 bâtiments et ensembles urbanistiques modernistes depuis les prémices du Mouvement moderne en Belgique jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. Elle a pour but de faire redécouvrir un pan de l’architecture de Bruxelles moins connu du grand public que l’Art nouveau ou l’Art-Déco. Le projet invite à l’exploration de la ville par la balade en observant la richesse et la diversité des constructions tout en questionnant son urbanisme. La carte regroupe par exemple les cités jardins comme le Logis-Floréal, la Cité Moderne et le Kappeleveld ainsi que les principales productions des grands noms du modernisme local comme Victor Bourgeois, Louis-Herman De Koninck, Antoine Pompe ou Henry van de Velde. Les joyaux de l’architecture moderniste de l’entre- deux-guerres y sont donc répertoriés ainsi que de nombreuses constructions moins connues mais tout aussi dignes d’intérêt. Un soin a été apporté aussi dans la variété présentée. Sont ainsi présents dans la carte autant les maisons particulières, que les immeubles à appartements ou encore les bâtiments publics et industriels. La publication a la forme d’une carte papier dépliable dont le graphisme réinterprète autant les codes graphiques des publications modernistes de l’époque que les plans des rue de Bruxelles type De Rouck. La carte est imprimée sur le papier innovant Armen Paper. Un papier solide, imperméable et écologique dont la fabrication à partir de résidus de pierre résonne avec les matériaux utilisés par les modernistes. Le recto de la carte est un plan de la ville comprenant des points numérotés correspondant à des bâtiments ou des zones d’intérêt. Au verso, une liste reprenant ces points numérotés détaille le nom des architectes, les années de construction des bâtiments et les adresses de ceux-ci. Des photos d’illustration et des textes explicatifs en Anglais mettent en exergue certains d’entre eux. Sur cette face, un contextualise également l’émergence du modernisme en Belgique, en particulier à Bruxelles. Un Qr-code donnera également l’accès à une page internet comprenant les textes en version française, des photos et autres bonus.

Cartographie --- Mouvement moderne --- Entre-deux-guerres --- Cité ouvrière --- Bruxelles

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"Examining theories advanced by El Lissitzky, Moisei Ginzburg, and Nikolay Ladovsky, this illuminating study demonstrates how Soviet architects of the interwar period sought to mitigate Fordist production methods with other, ostensibly more human-oriented approaches that drew on the biological and psychological sciences"

Architecture and science --- Architecture --- Modern movement (Architecture) --- Human factors --- Mouvement moderne --- Entre-deux-guerres --- URSS

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Ce mémoire étudie les structures, rapports, mouvements sociaux qui ont débouché sur l'époque entre-deux guerres et qui l'ont influencée. Il analyse sa situation politico-économique et son résultat au point de vue culturel et architectural en s'appuyant sur un cas concret: le quartier de l'Altitude 100 à Bruxelles. (V. dJdM)

Analyse architecturale --- Architecture entre deux guerres --- Quartier de l'altitude 100 (forest)