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Il s'agit d'une étude comparative visant la mise en évidence des représentations sociales de l'avortement véhiculées dans 2 institutions médicales pratiquant l'avortement de manière différente. Elle contient une approche de ces techniques, de leurs conséquences physiques et psychologiques; ainsi qu'une enquête menée auprès de 100 femmes belges ayant subi une interruption de grossesse. La comparaison entre l'avis de la société et celui de ces femmes prouve que si les représentations individuelles ne sont qu'un conditionnement pratique des représentations collectives dominantes, une femme isolée n'en a pas moins ses propres idées
GROSSESSE --- HOPITAL --- INTERRUPTION VOLONTAIRE DE GROSSESSE --- OPINION INDIVIDUELLE --- REPRESENTATION SOCIALE
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L'expérience du désir d'enfant nécessite de pouvoir créer une nouvelle relation à sa mère. Pour certaines femmes, l'IVG traduit l'impossibilité de réaliser ce nouveau lien. Une nouvelle approche de l'avortement est ainsi possible favorisant une relation en profondeur avec ces femmes.
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INTERRUPTION VOLONTAIRE DE GROSSESSE --- FEMME --- APPARENCE PHYSIQUE --- FANTASME --- TEST PROJECTIF --- VECU PSYCHOLOGIQUE
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Etude qualitative du vécu de l'avortement selon la méthode d'IVG utilisée (Mifégyne ou aspiration). Dix-sept femmes (onze avortées par Mifégyne et 6 par aspiration) ont été rencontrées deux semaines après leur IVG et deux mois plus tard. Ces entretiens sont composés de : un entretien semi-structuré, un questionnaire d'événements de vie (Amiel-Lebigre), une échelle d'impact de l'événement (Horowitz et al.) et une seconde échelle comprenant certains items de l'inventaire abrégé de dépression de Beck et d'autres de l'inventaire d'anxiété trait-état de Spielberger.
INTERRUPTION VOLONTAIRE DE GROSSESSE --- ETUDE DE CAS --- APPROCHE QUALITATIVE --- VECU PSYCHOLOGIQUE --- OPERATION CHIRURGICALE --- PHARMACOLOGIE --- LEGISLATION
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L'objectif de cette étude de cas est d'explorer l'expérience masculine de l'avortement avec une perspective psychodynamique. Un test projectif, le TAT, et un entretien semi-directif sont utilisés auprès de quatre hommes. Nous observons une identité masculine altérée et un vécu ambivalent de l'avortement. De plus, l'expérience de l'IVG n'est pas élaborable pour tous les sujets. Les couples ne sont pas toujours caractérisés par un manque de communication, de confiance ou de sentiment de responsabilité partagée face à la contraception. En effet, les couples paraissent hétérogènes.
Homme --- Vécu psychologique --- Test projectif --- Interruption volontaire de grossesse --- Couple --- Etude de cas --- Entretien clinique
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Cette étude avait pour objectif d'explorer le vécu de jeunes filles qui ont subi un avortement. Pour ce faire, nous avons utilisé un entretien semi-structuré et un TAT. Nous avons ainsi mis en évidence les fonctions de la grossesse et le sens de son interruption.
Adolescent --- Grossesse --- Interruption volontaire de grossesse --- Vécu psychologique --- Séquelle --- Test projectif --- Etude de cas --- Entretien clinique
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Jusqu’à peu, l’interruption volontaire de grossesse (IVG) était régie par la loi du 3 avril 1990 , qui prévoyait une dépénalisation partielle de l’avortement. Cette législation frôlant la trentaine, elle ne manqua pas de susciter de vives critiques, en vue notamment d’un élargissement des conditions d’accès l’IVG (à l’image des modèles suédois, hollandais et anglais). C’est dans ce contexte que, suite à plusieurs tentatives infructueuses, la loi du 15 octobre 2018 relative à l’interruption volontaire de grossesse, abrogeant les articles 350 et 351 du Code pénal et modifiant les articles 352 et 383 du même Code et modifiant diverses dispositions législatives fût adoptée. D’autre part, on observe depuis quelques années un courant tendant vers une plus grande liberté personnelle en Belgique. Ainsi, tant la jurisprudence que la législation belge convergent vers une centralisation sur l’individu et son autonomie, au détriment de certaines valeurs. Cette autonomie de la personne ne se limitant pas uniquement à la libre disposition de son patrimoine, elle s’étend également à la libre maîtrise de son corps. Le droit à l’avortement s’inscrit donc parfaitement dans ce courant du droit à l’autodétermination, étant entendu qu’il s’agit de l’une des consécrations ultimes de la libre disposition de son corps par la femme. L’objet de cette contribution constituera donc en une analyse méticuleuse de la loi du 15 octobre 2018, qui permettra de dégager les principales critiques émises à son encontre, ainsi que ses éventuels points forts. Nous tâcherons à cet égard de cibler les différents points de comparaison avec d’autres législations relatives à la liberté personnelle en Belgique, afin d’avoir un aperçu complet de cette loi. Ceci nous permettra de voir dans quelle mesure la loi du 15 octobre 2018 s’inscrit dans la tendance du droit à l’autodétermination, ainsi que d’évoquer l’hypothèse d’éventuelles modifications de celle-ci.
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This book, like many other things to do with abortion, is a product of long controversy. Though carried out with cooperation, it was conceived in conflict. The conflict between the coeditors has per sisted for years-in fact, for at least half of their thirty-year marriage. One, Sidney, is prolife; the other, Daniel, is prochoice. Ever since the topic of abortion became of professional interest to us, in the 1960s, we have disagreed. At one time, while Daniel was writing a book on the subject, Abortion: Law, Choice and Morality (1970), we talked about the subject every day for the four years of the book's gestation. On many occasions during the 1970s, prolife articles writ ten by Sidney were passed out at Daniel's lectures in order to refute his pro choice views. Over the years, every argument, every statistic, every historical example cited in the literature has been discussed by the two of us. As Eliza Doolittle says about "words" in My Fair Lady, "There's nota one I haven't heard. " And yet we still disagree. How can it be, we ask ourselves, that intelligent people of goodwill who know all the same facts and all the same arguments still come down on different sides of the con troversy? As we well know, it is possible to agree about many things and have great love and respect for an opponent, and still differ.
Abortion --- Pro-choice movement --- Pro-life movement --- Social values. --- abortus (vrijwillige zwangerschapsafbreking) --- waarden --- avortement (interruption volontaire de grossesse, IVG) --- valeurs --- Social values --- Values
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La grossesse à l'adolescence est un phénomène qui existe depuis toujours.Il pose plus de questions aujourd'hui et dans notre société depuis l'évolution du statut de la femme et du libre accès à la pilule.Depuis lors,la femme peut décider du moment où elle désire avoir un enfant.Pourquoi une adolescente tombe-t-elle encore enceinte de nos jours?Cette grossesse est-elle plutôt la résultante d'un accident comme de nombreuses personnes le pensent ou est-ce une volonté réelle d'enfant? La dépénalisation de l'avortement a permis aux femmes de disposer de leurs propres corps.Si elle le désire,une adolescente peut interrompre sa grossesse sans le consentement parental.Nous avons voulu nous intéresser à l'origine de ce phénomène et étudier plus amplement les facteurs d'influence dans le processus de décision de garder ou non un enfant à cet âge.Ce désir d'enfanter ou ce souhait d'interruption de grossesse est-il la résultante d'un choix personnel ou plutôt une décision prise sous pressions diverses?Si les influences existent,quelles sont-elles?Lesquelles sont les plus importantes dans la prise de décision?Une adolescente peut-elle vraiment prendre ce genre de décision,seule?
Grossesse --- Adolescent --- Interruption volontaire de grossesse --- Facteur socio-culturel --- Etude de cas --- Comportement sexuel --- Influence sociale --- Statut socio-économique --- Contexte environnemental
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Introduction : Des études relatent qu’il est préférable pour de multiples raisons d’effectuer les interruptions volontaires de grossesse (IVG) le plus tôt possible durant la grossesse. Cependant, de nombreuses femmes se présentent pour réaliser un avortement à un âge gestationnel (AG) avancé et parfois même au-delà du délai légal de 14 semaines d’aménorrhée (SA). Comparer les caractéristiques des femmes avortant au début ou à la fin du délai légal permettrait l’élaboration d’actions de promotion de la santé ciblées sur celles se présentant plus tardivement afin de réduire les délais et minimiser les coûts sociétaux. Méthode : Cette étude unicentrique quantitative, de type descriptive transversale, a été réalisée au sein de l’institution hospitalière de Sainte-Rosalie à Liège de janvier à mars 2018. Les critères de participation de l’étude étaient les suivants: être une femme se présentant pour une IVG au centre, accepter de participer à l’étude et avoir eu une échographie pour confirmer une grossesse intra-utérine ainsi que pour évaluer l’AG. Les critères d’exclusion étaient : être mineure, ne pas parler français, avoir un AG ≥ 13 SA le jour de la consultation pré-IVG et effectuer un avortement pour des raisons médicales. Le questionnaire auto-administré comprenait quatre parties: données sociodémographiques, données obstétricales, raisons ayant potentiellement influencé le délai et temps pris pour les différentes étapes du processus d’IVG. Des tests t de Student et U de Mann-Whitney ont été réalisés pour les moyennes. Les proportions ont été comparées à l’aide d’un test chi-carré ou de Fisher. Des régressions logistiques binaires ont été réalisées en uni et multivarié. Résultats : L’étude a été effectuée auprès de 116 femmes et le taux de participation était de 84.1%. Deux groupes ont été formés pour comparer les participantes se présentant de façon précoce, soit < 10 SA (72.4%), et celles se présentant de façon tardive, soit de 10 à 14 SA (27.6%). Cette étude a mis en évidence que les deux groupes sont homogènes sur le plan sociodémographique et obstétrical. Les femmes ont 3.14 fois plus de risque d’avorter tardivement si elles sont « non belges ». Celles qui ont un diplôme primaire ont 4.8 fois plus de risque de réaliser une IVG tardive par rapport aux femmes ayant un diplôme secondaire et 4.24 fois plus de risque que celles ayant un diplôme d’enseignement supérieur. Il existe une augmentation du risque de 1.19 de réaliser une IVG tardive pour chaque jour supplémentaire avant la consultation pré-IVG. Les raisons qui ont engendré le plus de retard dans les deux groupes concernent la dimension « connaissance du corps ». Enfin, concernant le temps pris pour chaque étape, les patientes ayant eu une IVG tardive prennent significativement plus de temps pour les quatre premières phases du processus de l’IVG. Conclusion : Cette étude a permis de mettre en évidence certains facteurs associés au délai de réalisation d’IVG en concordance avec d’autres études. Des actions devraient être entreprises visant à la fois les femmes (ex : campagne d’éducation dans les écoles pour améliorer la littératie en santé), les professionnels (ex : fournir dans le cursus de soins infirmiers une formation complète sur les IVG) et les politiques (ex : mener et répéter à intervalles réguliers des études épidémiologiques sur les IVG).
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