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Folklore --- English literature --- Drama --- anno 1600-1699 --- anno 1500-1599 --- Festivals in literature --- Festivals --- Fêtes dans la littérature --- Fêtes --- History --- Histoire --- Shakespeare, William, --- Criticism and interpretation --- Contemporary England --- Knowledge --- Sports --- Critique et interprétation --- Angleterre contemporaine --- Connaissances --- England --- Angleterre --- Social life and customs --- Moeurs et coutumes --- Fêtes dans la littérature --- Fêtes --- Critique et interprétation --- Criticism and interpretation. --- Contemporary England. --- Sports. --- Shakespeare, William --- Holidays --- 16th century
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Génie universel, qui traverse le temps, Shakespeare est pourtant indissociable de son époque, la Renaissance anglaise, brillant spectacle dont le souverain est le centre et la raison d'être. Professionnel de la scène, maître d'œuvre accompli, il reflète avec brio la comédie humaine qui se joue partout autour de lui. En historien autant qu'en analyste du théâtre, François Laroque présente le monde de bruit et de fureur des tragédies, Hamlet, Othello, le Roi Lear, Macbeth, le monde de charme et de fantaisie des comédies, Comme il vous plaira.
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En marge des pays d’Europe continentale, la Renaissance anglaise a sans nul doute favorisé l’essor d’une culture du repli et de l’oblique. Dès lors, le symbole du labyrinthe, parfaite incarnation de l’idéal de la discordia concors, ou harmonie des contraires, se retrouve souvent au centre des préoccupations et des mentalités comme elle intervient dans le cadre des réalisations artistiques (architecture, jardins) et de la production littéraire et dramatique de l’époque. Les contemporains de Shakespeare ont, semble-t-il, pris plaisir à façonner une esthétique du détour et de la perte pour mieux se retrouver, puisant ainsi à l’instar de Pline, d’Ovide ou de Virgile dans le riche réservoir mythologique des Anciens, tout en faisant fructifier leur héritage médiéval. Le motif polymorphe et polysémique du dédale a d’abord été privilégié au sein des emblèmes avant de se voir remodelé par les jardiniers puis repris par les poètes, les musiciens, les danseurs ou les dramaturges. Les grands thèmes existentiels de l’époque, relus et réappropriés avec ferveur, sont en effet souvent abordés par le biais des arabesques crétoises : détours amoureux, ambages rhétoriques et méandres religieux sont ainsi devenus des sources d’inspiration puissantes qui ont donc relancé et renforcé l’attrait et la multiplicité des voies dramatiques. La légende du « maze » ou du « labyrinth » allait même générer des mises en scène surprenantes et subversives, comme celle du Songe d’une nuit d’été, aujourd’hui révélatrices de représentations mentales d’une richesse et d’une audace insoupçonnées. Cette monographie s’est donc attachée à les retrouver et à faire comprendre leur singularité grâce à une lecture de type à la fois mythographique, historique et littéraire qui, faute de donner accès à toutes les vastes pièces encore secrètes de l’Angleterre de Shakespeare, s’efforce néanmoins de fournir des clés pour ouvrir quelques portes trop longtemps demeurées closes.
English literature --- Thematology --- anno 1600-1699 --- anno 1500-1599
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King Richard II, pièce historique qui ouvre la seconde tétralogie de Shakespeare, est joué pour la première fois en 1595, par la troupe « The Chamberlain’s Men », sans doute dans le théâtre de James Burbage. Si la pièce a attiré de nombreux metteurs en scène britanniques depuis l’époque élisabéthaine jusqu’à nos jours, ce n’est qu’en 1947 qu’elle a été représentée en France sous la direction de Jean Vilar à Avignon - dans ces deux pays, cependant, les représentations de King Richard II se sont multipliées depuis. Les diverses études et entretiens de cet ouvrage permettent de jeter un éclairage sur les mises en scène anglaises et françaises de la seconde moitié du XXe siècle jusqu’à la production récente de Trevor Nunn à l’Old Vic Theatre, à Londres (2005). Riche d’une rhétorique étincelante, d’un langage qui n’en finit pas de se mettre en scène, de métaphores optiques dont la célèbre anamorphose de Bushy, King Richard II se prête particulièrement à des jeux de mises en perspective. Ainsi sont également étudiés les rapports complexes du pentamètre iambique originel et de la traduction en français, du texte et de la scène, du texte et de l’image, de la métaphore et de sa littéralisation visuelle, de la littérarité textuelle et de ses prolongements imaginaires. Mettant en regard articles, entretiens et table ronde, cet ouvrage propose d’aborder la pièce historique de Shakespeare sous l’angle double de la mise en scène et de la mise en perspective, avec les contributions de Jean-Michel Déprats, Paul Desveaux, Pascale Drouet, Michael Earley, Cécile Falcon, Carole Guidicelli, Wilhelmina L. Hotchkiss, François Laroque, Edouard Lekston, Marie-Madeleine Martinet, Nathalie Rivère de Caries, Estelle Rivier, Isabelle Schwartz-Gastine, Clotilde Thouret et Kate Wilkinson.
Shakespeare, William --- Shakespeare, William, --- Criticism and interpretation --- Shakespeare, William, - 1564-1616 --- Shakespeare, William, - 1564-1616. - King Richard II --- English --- Languages & Literatures --- English Literature --- mise en scène --- dramaturgie --- adaptation --- théâtre
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King Richard II, pièce historique qui ouvre la seconde tétralogie de Shakespeare, est joué pour la première fois en 1595, par la troupe « The Chamberlain’s Men », sans doute dans le théâtre de James Burbage. Si la pièce a attiré de nombreux metteurs en scène britanniques depuis l’époque élisabéthaine jusqu’à nos jours, ce n’est qu’en 1947 qu’elle a été représentée en France sous la direction de Jean Vilar à Avignon - dans ces deux pays, cependant, les représentations de King Richard II se sont multipliées depuis. Les diverses études et entretiens de cet ouvrage permettent de jeter un éclairage sur les mises en scène anglaises et françaises de la seconde moitié du XXe siècle jusqu’à la production récente de Trevor Nunn à l’Old Vic Theatre, à Londres (2005). Riche d’une rhétorique étincelante, d’un langage qui n’en finit pas de se mettre en scène, de métaphores optiques dont la célèbre anamorphose de Bushy, King Richard II se prête particulièrement à des jeux de mises en perspective. Ainsi sont également étudiés les rapports complexes du pentamètre iambique originel et de la traduction en français, du texte et de la scène, du texte et de l’image, de la métaphore et de sa littéralisation visuelle, de la littérarité textuelle et de ses prolongements imaginaires. Mettant en regard articles, entretiens et table ronde, cet ouvrage propose d’aborder la pièce historique de Shakespeare sous l’angle double de la mise en scène et de la mise en perspective, avec les contributions de Jean-Michel Déprats, Paul Desveaux, Pascale Drouet, Michael Earley, Cécile Falcon, Carole Guidicelli, Wilhelmina L. Hotchkiss, François Laroque, Edouard Lekston, Marie-Madeleine Martinet, Nathalie Rivère de Caries, Estelle Rivier, Isabelle Schwartz-Gastine, Clotilde Thouret et Kate Wilkinson.
English --- Languages & Literatures --- English Literature --- Shakespeare, William, --- Shakespeare, William, - 1564-1616 - Criticism and interpretation --- Shakespeare, William, - 1564-1616. - King Richard II --- mise en scène --- dramaturgie --- adaptation --- théâtre --- Shakespeare, William, - 1564-1616
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English drama --- Théâtre anglais --- Théâtre anglais --- 16e siècle
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Cet ouvrage est le fruit de travaux interdisciplinaires où les auteurs apportent un éclairage original sur ces questions complémentaires que sont à la Renaissance l'Histoire et le Secret, la Mémoire et la Dissimulation, également abordées à partir de leur face visible ou cachée, l'ostentation, le silence ou l'oubli. L'entrelacs de ces diverses notions permet d'interroger l'histoire politique et idéologique, l'organisation de l'activité économique, le domaine de l'esthétique mais aussi l'imaginaire et la production littéraire et dramatique des années 1580-1640. De Shakespeare à Hobbes, de l'art des emblèmes aux Masques de Cour, en passant par l'analyse des stratégies de pouvoir ou encore par le questionnement de la démarche critique connue sous le nom de “New Historicism”, école de pensée venue d'une Californie à l'écoute des sciences sociales françaises, ces études souhaitent contribuer au décloisonnement des disciplines et interroger un champ de savoir principalement axé sur l'Angleterre et ses relations avec l'Europe, au cours de la période allant de la Renaissance aux débuts de l'ère baroque.
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