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dissertation (6)


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2020 (1)

2017 (1)

1997 (1)

1988 (3)

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Dissertation
The enteric nervous system in the ruminant stomach of the sheep (ovis aries)
Authors: ---
Year: 1988 Publisher: Rotterdam : s.n.,

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Abstract

Keywords

Stomach --- Ruminant --- Innervation.


Dissertation
The enteric nervous system in the ruminant stomach of the sheep (ovis aries)
Authors: ---
Year: 1988 Publisher: Rotterdam s.n.

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Abstract


Dissertation
The enteric nervous system in the ruminant stomach of the sheep (ovis aries)
Authors: ---
Year: 1988 Publisher: Rotterdam s.n.

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Abstract


Dissertation
Compétition alimentaire entre l'homme et les ruminants
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2020 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Dans le cadre de ce travail de fin d’étude, la problématique portait sur la compétition alimentaire entre l’homme et les ruminants. L’objectif poursuivi, au cours de ce travail, était de pouvoir quantifier cette compétition au moyen d’indicateurs. Pour se faire trois approches ont été mises en place. La première étudie les flux d’aliments observés entre l’alimentation humaine et l’alimentation animale (FF_Flux). La seconde approche s’intéresse à la capacité d’extraction d’énergie métabolisable de l’homme et du ruminant des aliments (FF_EM & EM_2). Enfin, la dernière approche évalue le rapport entre la production et la consommation de protéines par le ruminant d’un point de vue qualitatif (PQR) et/ou quantitatif (heFCE & PROT). Parmi ces 6 indicateurs, les indicateurs FF_Flux, FF_EM et PQR ont été calculé sur une série d’aliments ainsi que sur des mashs formulés pour la production bovine. Les indicateurs EM_2, heFCE et PROT ont été appliqués sur les mashs uniquement. À l’instar des indicateurs FF_Flux et FF_EM, l’indicateur PQR d’un aliment n’est pas additif avec l’indicateur PQR d’un autre aliment. Contrairement aux deux indicateurs FF_Flux et FF_EM, il ne peut dès lors pas être utilisé directement pour un mash sans adaptation. Les résultats obtenus pour chaque indicateur montrent que de manière générale, les mashs proposés aux ruminants sont peu en compétition avec l’homme tant d’un point de vue massale, énergétique que protéique. L’indicateur PQR place le ruminant comme un transformateur performant en terme de protéines produites versus ingérées. Cet indicateur affiche des valeurs comprises entre 6,7 et 13,1 en faveur du ruminant. Les autres indicateurs illustrant les meilleurs performances sont les indicateurs protéiques, heFCE et PROT avec des valeurs comprises entre 4879 et 36203, pour l’indicateur heFCE et 33394 et 474518, pour l’indicateur PROT. Quant aux valeurs pour les indicateurs FF_Flux, FF_EM et EM_2, elles évoluent respectivement entre 0,1% et 4,6%, 67% et 90% et 14 et 118. En conclusion, le ruminant peut être un fournisseur d’énergie tout comme un producteur net de protéines en faveur de l’homme.


Dissertation
Impact d'un supplément de fourrage frais ligneux sur une alimentation basée sur des résidus de cultures pour des chèvres laitières au Bénin durant la saison sèche
Authors: --- --- --- ---
Year: 2017 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

En période de sécheresse, l’Afrique de l’Ouest fait face à un déficit fourrager. Pour pallier cela, l’exploitation des fourrages ligneux et des résidus de cultures sont des stratégies essentielles.
L’objectif de cette étude était d’évaluer l’impact d’un supplément de fourrage ligneux sur une alimentation basée sur des résidus de cultures. Cet impact a été déterminé sur le comportement alimentaire des chèvres laitières en stabulation, sur leur niveau d’ingestion, total et par espèce, ainsi que sur leur niveau de production laitière. Ces paramètres ont également été mis en lien avec la valeur alimentaire des aliments des régimes. De plus, la valeur alimentaire et la composition chimique d’espèces ligneuses supplémentaires (Afzelia africana, Gliricidia sepium, Sphenostylis schweinfurthii, Pterocarpus erinaceus, Adenolichos paniculatus, Vitex doniana, Prosopis africana) ont été déterminées. 
Durant deux périodes de trois semaines, de mars à avril 2017, 12 chèvres laitières ont été réparties équitablement en deux groupes : seul un ayant accès à quatre espèces de fourrages ligneux (Leucaena leucocephala, Daniellia oliveri, Hannoa undulata, Parinari curatellifolia) en plus de trois types de résidus de cultures (Oriza sativa, Vigna unguiculata et Arachis hypogaea) disponible pour les deux groupes. Le comportement alimentaire des chèvres laitières en stabulation a été enregistré, les quantités de lait produit par chaque chèvre ont été pesées et les quantités de fourrage consommées ont été déterminées et échantillonnées. Finalement, la composition chimique et la valeur alimentaire des aliments ont été évaluées.
Le supplément de fourrage ligneux n’a pas généré d’impact sur le niveau d’ingestion, la production laitière et le comportement alimentaire. En effet, bien que les ligneux fourragers représentent un apport d’azote supplémentaire et ce, principalement, grâce au Leucaena leucocephala, les deux régimes ne se différencient pas statistiquement par rapport à leur apport en énergie nette et en matière azotée digestible et ils sont tous les deux déficitaires en énergie nette. En outre, l’accès à des fourrages ligneux à générer une substitution indistincte des quantités ingérées de résidus de cultures par des fourrages ligneux. L’ordre de préférence déduit des quantités ingérées pour chaque espèce semble correspondre aux valeurs alimentaires des aliments attestant du caractère hautement sélectif des chèvres. Enfin, les espèces ligneuses ont révélé différents potentiels nutritifs : ils ont été les plus élevés pour Leucaena leucocephala, Afzelia africana et Gliricidia sepium et le plus faible dans le cas de Vitex doniana.
En conclusion, pour un tel apport en énergie, les fourrages ligneux et les résidus de cultures incluant des légumineuses représentent tous les deux de bonnes opportunités pour la nutrition des animaux de production en saison sèche.

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