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UCLouvain (9)


Resource type

film (9)


Language

French (8)

Spanish (1)


Year
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2012 (8)

2010 (1)

Listing 1 - 9 of 9
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Film
Avec les hommes de l'eau
Authors: ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Dans ce film muet, c'est à bord du Berwinne, bateau à vapeur quittant le port de Léopoldville, que le spectateur est invité à découvrir une journée de la vie des "hommes de l'Eau". Vivant essentiellement de la pêche, se déplaçant en pirogue, ils peuplent les rives du fleuve Congo. Le steamer, après une escale pour le chargement du bois qui sert à le faire fonctionner, emmène ses passagers, sous le regard amusé des villageois des bords du fleuve. La caméra suit des piroguiers aguerris, et dévoile diverses techniques de pêche et de chasse (poisson, œufs de crocodile et crocodile, hippopotame découpé et salé ensuite pour sa conservation). La journée s'achève dans un village, où femmes et enfants vaquent à leurs occupations

Keywords

Colonie --- Cinéma --- Sources --- Chasse --- Pêche --- Congo belge --- Belgique --- Congo, --- Léopoldville


Film
Belgisch Congo belge
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2010 Publisher: Bruxelles: Cinémathèque royale de Belgique,

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Abstract

Dans ce film muet, c'est à bord du Berwinne, bateau à vapeur quittant le port de Léopoldville, que le spectateur est invité à découvrir une journée de la vie des "hommes de l'Eau". Vivant essentiellement de la pêche, se déplaçant en pirogue, ils peuplent les rives du fleuve Congo. Le steamer, après une escale pour le chargement du bois qui sert à le faire fonctionner, emmène ses passagers, sous le regard amusé des villageois des bords du fleuve. La caméra suit des piroguiers aguerris, et dévoile diverses techniques de pêche et de chasse (poisson, œufs de crocodile et crocodile, hippopotame découpé et salé ensuite pour sa conservation). La journée s'achève dans un village, où femmes et enfants vaquent à leurs occupations

Keywords

Colonie --- Cinéma --- Sources --- Chasse --- Pêche --- Congo belge --- Belgique --- Congo, --- Léopoldville


Film
Les révoltés d'Alvarado
Authors: ---
Year: 2012 Publisher: [Paris]: Carlotta films,

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Abstract

La misère noire, dans un petit village de pêcheurs, au bord de l'océan, dans l'état de Véra Cruz. Un des autochtones qui vient de perdre son enfant, appelle ses confrères à se révolter et fomente une grève. Bientôt, deux groupes distincts s'opposent...Magnifique portrait de pêcheurs où les acteurs ont été recrutés parmi la population locale.


Film
Paysans noirs sous les tropiques
Authors: --- ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Réalisé à l’initiative des chefferies indigènes du Kivu, ce documentaire est consacré à une présentation des activités agricoles, de l’élevage et de la pêche dans cette région, activités développées grâce aux savoirs et pratiques coloniales. Le documentaire illustre ainsi la collaboration de chefferies indigènes à la création de réseaux d’irrigation indispensables pour l’agriculture et à la surveillance des rizières (Régie des Plantations des chefferies à Madaka). La lutte contre l’érosion et la conservation di sol se réalisent également par l’enfouissement de légumineuses dans la zone de Lubero tandis que la culture de céréales est expérimentée dans des parcelles comparatives du Centre expérimental de Luhotu.Les cultures du quinquina, du blé, du café, des vignes sont présentées comme des productions d’avenir pour la région. De même, la promotion de l’élevage du mouton permet de fournir de la laine aux populations locales tandis que se développent de petites fermes où les paysans pratiquent celui du porc. Dans la région de Rutshuru, le bétail fournit le lait transformé en lait battu et en beurre ; au bord du lac Edouard, la Coopérative indigène de pêche du lac Edouard, organise la pêche du poisson tilapia qui est ensuite séché et transporté par camion vers Goma qui alimente les populations de la région.Grâce au progrès induit par la colonisation, le film a pour objectif de montrer toutes ces pratiques, utilisées à bon escient par des paysans travailleurs et consciencieux, leur permettent d’entrer dans la voie d’une organisation « progressiste » des chefferies indigènes qui conduit à une production agricole rationnelle, une saine pratique de l’élevage, et la fourniture toujours plus abondante d’aliments nutritifs. Ces pratiques permettent finalement d’offrir une meilleure qualité de vie aux populations autochtones sur une « belle et grande terre qui est au service de l’homme », conclut le commentaire


Film
Pêcheurs Wagenia

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Abstract

Précédé d’une courte introduction sur le Stanleyville moderne, ce documentaire est consacré aux Wagenia, peuple de pêcheurs vivant à proximité des Stanleyfalls.Aux vues générales du port, de l’aéroport, des villas, avenues et monument Stanley qui illustrent la ville coloniale, se superposent celles du port indigène qui abrite une flottille de pirogues et où vivent les Lokele.La caméra se porte ensuite sur le mode de vie traditionnel des Wagenia, organisés sur base d’une autorité coutumière : un groupe de notables règle les questions importantes du village. Leur activité principale est la pêche qu’ils pratiquent en posant d’énormes nasses dans les rapides du fleuve afin d’y capturer les poissons. L’œil du cinéaste se porte principalement sur l’impressionnant combat mené entre l’homme et les eaux puissantes, en pirogues d’abord, puis sur les échafaudages de perches et de traverses qu’ils construisent pour y coincer les nasses. A la beauté du geste que le cinéaste désire transmettre, s’ajoute l’admiration de ce dernier pur la force et l’adresse de la « fière race des Wagenia ». A travers ce film proche de l’ethnographie, Gérard De Boe s’inscrit dans une nouvelle tendance qui marque le cinéma colonial belge à partir des années 1950 et qui se caractérise par une reconnaissance des cultures africaines dans leurs spécificités propres


Film
Luapula-Moëro
Authors: --- ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Le Luapula est l'affluent du fleuve Congo qui prend sa source le plus au sud, sur les hauts plateaux du Katanga, aux environs de Kabunda. Ses eaux délimitent la frontière entre le Congo et la Rhodésie du Nord.Égrenant des paysages très variés selon l'endroit, le fleuve est longé par la caméra qui fixe ses éléments les plus remarquables. Ainsi, après les rapides de Johnston, les eaux deviennent plus paisibles, rendant la navigation possible. Cette zone peu boisée « met en valeur l'immensité des deux», le commentaire osant un parallélisme avec les paysages de Flandres, clin d’œil aux origines du cinéaste. Ses rives, calmes d'apparence, sont très poissonneuses et infestées de crocodiles. En remontant vers le nord, jusqu'aux falaises de Kasanga, le paysage change une fois encore. La rivière déborde bientôt de son lit et se transforme peu à peu en un gigantesque lac: le lac Moero.Le film se concentre alors sur la pêche lacustre. Grâce aux intenses activités artisanales et industrielles, les populations clairsemées de la région se sont regroupées dans des grands centres urbains en expansion qui se développent autour d'elles. La pêche dans le Moero est intense, qu'elle soit pratiquée selon les méthodes traditionnelles ou modernes. Les nasses sont relevées deux fois par jour tandis que les baleinières ne rentrent au port qu'une fois leurs cales remplies par les principales espèces du lac: tilapia, poisson tigre et silure. Une fois nettoyés, ceux-ci sont étalés sur des claies puis séchés et fumés dans des fours. Des milliers de tonnes de poissons en provenance du Moero sont chaque année fournies aux grandes agglomérations du Katanga


Film
Ngiri

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Abstract

Gérard de Boe opère dans ce documentaire une distinction très nette entre deux Congo: celui des villes, le Congo colonial auquel la civilisation blanche a apporté confort et modernité, et celui de la brousse, sauvage et primitif. Entre les deux, le Blanc, tant bien que mal, s'efforce de lutter contre certaines traditions tenaces et ténèbres de l'ignorance. La Ngiri (au nord de la Coquilhatville) est l'une des régions marécageuses dans laquelle cette vie primitive s'exprime encore plus avec le plus de force et de vigueur. Les "gens de l'eau", qui la peuplent, vivent sur des petits îlots isolés, dans le dénuement le plus total. Ils entretiennent de pauvres contacts commerciaux avec leurs voisins agriculteurs. Grâce à al médecine occidentale, toutefois, la maladie du sommeil a pu progressivement éradiquée de ces contrées. c'est ce que tend à montrer ce documentaire, dont les images, au demeurant fort esthétique (des contre-plongées expriment la majesté des corps dans de très belles séquences de villages lacustres), font l'apologique résumé des activités menées dans ce sens en brousse. Comme en témoigne, en effet, la conclusion sous forme de prises de vie de grandes fêtes et réjouissances organisées lors de la visite du médecin blanc, signe de la reconnaissance de la population pour son action qui lui rend la vie et, grâce à laquelle, elle connaîtra "la douceur de vivre dans leur pays merveilleux"


Film
Yambo Katanga
Authors: ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Réalisé à l'initiative du Comité Spécial du Katanga, ce documentaire vise à mettre en évidence les actions entreprises par les Européens auprès des populations katangaises. En introduction, des archives photographiques anciennes servent à illustrer l'histoire de la découverte par les Occidentaux du continent africain et du Congo, louant, à cet égard, la « bravoure» de plusieurs explorateurs et le travail gigantesque du roi Léopold II, dans le domaine de l'industrie, notamment.Après le générique suivent alors les images et les commentaires qui alimentent l'argumentaire: le Katanga, plateau désert, peuplé d'envahisseurs sauvages, comme Msiri qui s'enrichissait grâce au commerce de l'ivoire et des esclaves, est présenté en opposition avec un Katanga sécurisé et prospère depuis l'arrivée de Belges, conditions que « l'humanité noire n'avait jamais connues». Le film développe dès lors les arguments alléchants qui prouvent tout ce qui a été accompli depuis pour la « promotion de l'homme noir». Sur fond d'images et de décor sonore de très belle qualité, le cinéaste passe en revue tous les aspects de la modernité occidentale: Élisabethville, cadre de vie idyllique et digne des cités européennes avec ses avenues calmes, ses grands édifices et son climat tempéré. Le Katanga se trouve au cœur de l'économie moderne où une population, chaque jour plus nombreuse, y apprécie « la sécurité d'y trouver un travail stable et agréable, ainsi qu'un logement décent», de même que tout ce que compte le confort actuel (magasins, élégance, distribution d'eau potable, logement pour tous, marchés bien achalandés). S'y développent également des écoles qui répondent à la hausse de la natalité et à la chute de la mortalité infantile. Ainsi, les enfants de l'Afrique nouvelle n'auront «connu ni la faim, ni la misère, ils auront ignoré les terreurs ancestrales, ils n'auront vécu ni dans des paillotes, ni dans des taudis». En périphérie urbaine, le développement de l'alimentation rationnelle, notamment grâce à la station bovine de la ferme Droogmans, ainsi que l'emploi plus structuré de la mécanisation et des engrais dans l'agriculture favorisent l'alimentation de la ville et lutte contre la pénurie en viande.La seconde partie du documentaire est fictionnelle et se base sur l'histoire de Jean, employé au Comité Spécial du Katanga qui envoie son fils Edmond dans sa famille au bord du lac Tanganyika. Ce récit est l'occasion de faire observer par un Congolais qui parle à la première personne (les dialogues sont dus à Roger Bolamba), et à la manière d'un «touriste» dans son propre pays, les progrès réalisés par le Comité dans le domaine de la pêche, de l'agriculture et des transports. Il met aussi l'accent sur la possibilité d'exporter la modernité citadine (véhiculée par le fils) vers les régions rurales où de nombreuses actions peuvent également être réalisées au bénéfice de la population actuelle et future


Film
Hautes terres d'Afrique

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Abstract

À destination du voyageur potentiel, ce film délivre un message d'information pour le moins orienté sur le Ruanda-Urundi et sur les réalisations qui y ont été faites depuis l'installation des Belges. Le commentaire qui accompagne les prises de vue est systématiquement basé sur une comparaison édifiante de la situation de la région avant et après l'arrivée des Européens. Entrée en matière : la région dans ses aspects physiques (paysages, faune et flore). Sont ainsi abordés différents sites, parmi lesquels plusieurs endroits particulièrement touristiques : volcans des Virunga, lac Kivu, Usumbura (prise en vues aériennes), Ciangugu, Nianzana, etc. À ce stade, c'est avant tout le «modernisme» du Ruanda-Urundi, familier et rassurant, que le documentaire cherche à mettre en avant à l'attention du futur voyageur européen. Assez rapidement, les « problèmes» liés au manque de ressources (sol ingrat, bétail faible) sont cependant abordés. Après une brève note concernant les populations de la région (Hutu, Tutsi, Twa), vient l'occasion de dresser le bilan des réalisations coloniales entreprises et réalisées par les Belges depuis leur arrivée.C'est à ces dernières que la seconde partie du film est consacrée, dans des domaines variés: aménagement du réseau routier, agriculture (manioc mais surtout coton et café; exportations; création de coopératives), élevage (introduction de la vache européenne, «amélioration «delà race bovine locale à grandes cornes), lutte contre l'érosion (aménagement de cultures en terrasses), reboisement des forêts, sauvetage médical, enseignement, christianisation des populations. Ainsi, en moins de quarante ans, commente le film, nombre de problèmes ont été solutionnés par le progrès et la civilisation. Au Parc National de la Kagera pourtant, parmi les antilopes, les buffles et les zèbres à la robe chatoyante, le touriste, bien éloigné de ces réalités, jouit tranquillement du spectacle de la nature. C'est sur cette note légère et un peu décalée - et des images de danseurs Intore et de tambours burundais - que se conclut le propos

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