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The White Indians of Mexican Cinema theorizes the development of a unique form of racial masquerade—the representation of Whiteness as Indigeneity—during the Golden Age of Mexican cinema, from the 1930s to the 1950s. Adopting a broad decolonial perspective while remaining grounded in the history of local racial categories, Mónica García Blizzard argues that this trope works to reconcile two divergent discourses about race in postrevolutionary Mexico: the government-sponsored celebration of Indigeneity and mestizaje (or the process of interracial and intercultural mixing), on the one hand, and the idealization of Whiteness, on the other. Close readings of twenty films and primary source material illustrate how Mexican cinema has mediated race, especially in relation to gender, in ways that project national specificity, but also reproduce racist tendencies with respect to beauty, desire, and protagonism that survive to this day. This sweeping survey illuminates how Golden Age films produced diverse, even contradictory messages about the place of Indigeneity in the national culture.This book is freely available in an open access edition thanks to TOME (Toward an Open Monograph Ecosystem)—a collaboration of the Association of American Universities, the Association of University Presses, and the Association of Research Libraries—and the generous support of Emory University and the Andrew W. Mellon Foundation. Learn more at the TOME website, available at: https://www.openmonographs.org/. It can also be found in the SUNY Open Access Repository at: http://hdl.handle.net/20.500.12648/7153

Mexico; cinema; golden age

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Decifrando aspetti ancora scarsamente analizzati del pensiero e dell'opera di Bataille, e portando alla luce alcuni testi finora inediti (e dei quali si ignorava perfino l'esistenza, come Le Château, programma per una società utopica), Marina Galletti analizza l'evoluzione del senso di "comunità" sullo sfondo delle esperienze vissute da Bataille tra il 1933 e il 1945, anni nei quali egli giunge a elaborare una visione medita della letteratura. Il libro evidenzia inoltre la lucidità politica di Georges Bataille, il suo sguardo radicalmente nuovo, su un nodo portante della storia del ventesimo secolo: la questione del rapporto tra fascismo e comunismo.

Film Radio Television --- cinéma français --- cinéma --- Georges Bataille --- cinema --- French cinema --- Französisch Kino --- Kino --- cine --- cine francés --- cinema francese

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Gosses de Tokyo, Le Fils unique, Récit d'un propriétaire, Été précoce, Voyage à Tokyo et Bonjour constituent le cœur de cette étude dédiée au cinéaste japonais Yasujirô Ozu. La singularité remarquable de son œuvre – sa virtuosité formelle, sa cohérence thématique – est bien souvent abordée à partir d’une dissociation entre son style et son intérêt persistant pour la famille dans le Japon qui lui était contemporain. Confronter la profondeur de la pensée du cinéma par le cinéma dont témoigne la réalisation d’Ozu au traitement de la précarité des communautés familiales permet de saisir la portée éthique de ses films. On y retrouve autant l’attention d'Ozu pour la vie collective que le soin qu'il porte aux potentialités expressives du cinéma, à commencer par sa disposition emblématique à (re)produire le mouvement. Procédant au désœuvrement de l’expressivité de son médium, Ozu révèle la capacité du cinéma de donner lieu à des mondes à partir de leur teneur sensible : c’est cette figure de l’impuissance du cinéma que retrace ce livre.

Film Radio Television --- cinéma --- cinéma japonais --- désœuvrement --- philosophie

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L'oeuvre écrite et filmique de Sergueï Mikhaïlovitch Eisenstein demeure un continent encore partiellement inexploré faute de traductions et de publications complètes, notamment en France. L'ouvrage collectif consacré au film inachevé Que viva Mexico ! sous le titre Eisenstein - Leçons mexicaines se propose de revenir à ce chantier fondateur et aux 14 mois passés par le cinéaste soviétique à sillonner le Mexique, à s'en imprégner, entre décembre 1930 et mars 1932. Les "leçons mexicaines" concernent d'abord l'empreinte dont attestent ces "débris" qui, selon Barthélémy Amengual, "respirent un autre air et une autre force que ses films achevés". Mais d'autres formes documentent ce point de fracture dans l'oeuvre d'Eisenstein et sont analysées : l'activité graphique (ses dessins érotiques sur les motifs de la mort du roi Duncan dans Macbeth, sur la corrida et sur la crucifixion), les écrits sur le montage, sur la composition du plan et sur le cadre, la réflexion sur l'extase, les fulgurants écrits autobiographiques qui reviennent constamment à la "rencontre" avec le Mexique. Resitué dans la vaste dynamique de fracture anthropologique qui, à partir des travaux de Lucien Lévy-Bruhl, W. Frazer, Aby Warburg nourrit les avant-gardes des années 1930 et inspire Georges Bataille, Antonin Artaud, David Herbert Lawrence, le face à face d'Eisenstein avec les stratifications et la puissance d'une civilisation autre, participe de la même énergie transgressive. Mais si les "leçons" qu'il en tire et qui l'occuperont jusqu'à sa mort intéressent en premier lieu le cinéaste échappé pour quelques mois au stalinisme, elles impliquent d'autres cinéastes, à d'autres époques et dans d'autres lieux, dans leur lien hypothétique à ce "second" Eisenstein et dans leur propre rapport documentaire et créatif à l'altérité violente et irrationnelle, "primitive" et historique du réel : Orson Welles, Maya Deren,Pier Paolo Pasolini, Glauber Rocha, Cécilia Mangini, Raymonde Carasco. Et parce qu'elles…

Anthropology --- Mexique --- Eisenstein --- cinéma --- Artaud

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"Semio-pragmatics, an approach to the study of film and audiovisual media first proposed by Roger Odin in the early 1980s, shifted the focus from textual analysis to the interaction of text and context and to the institutional modes of framing and reading which shape the viewer’s engagement with the film. A response to an impasse in post-1968 film semiotics and psychoanalytical approaches to film spectatorship, semio-pragmatics contributed significantly to the further development of film studies alongside Cultural Studies, neo-formalism, historical reception studies and the phenomenology of film.Spaces of Communication offers a concise introduction to semio-pragmatics and condenses the intellectual trajectory of one of the foundational figures of film studies into a relatively short and accessible volume. It is a book which testifies to the author’s deep and rich intellectual engagement with a vast array of objects ranging from the classics of"

Communication, pragmatics, media, arts, cinema