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Ancient commentaries on poetry - due to their heteronomous nature, their miscellaneous character, and the fact that most of them are transmitted in abridged and anonymous form - are usually not considered 'authorial' texts in the same way as poems or literary prose are. On the other hand, as didactic texts, they rely on authority to convey their interpretation, and they also often seem to have been perceived as products of authorial activity, as paratexts, references and pseudepigraphic attributions demonstrate. The aim of this volume is to explore this tension and to examine commentaries and scholia on poetry in terms of authorship and 'authoriality'. The contributions use several Latin and Greek corpora as case studies to shed light on how these texts were read, how they display authorial activity themselves, and how they fulfil their function as didactic works. They provide reflections on the relationship of author, authorship, and authority in 'authorless' traditions, explore how authorial figures and authorial viewpoints emerge in an implicit manner in spite of the stratified nature of commentaries, investigate the authorial roles adopted by commentators, compilers and scribes, and elucidate how commentators came to be perceived as authors in other exegetic traditions.
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Le latin survit à la chute de Rome. Il demeure pendant un millénaire (au moins) la langue de la philosophie, de la religion, du droit, des sciences, de la poésie. Ce livre célèbre la rencontre de la poésie et du latin, sur plus de deux mille ans. Il propose des poèmes de Lucrèce et d’Érasme, de Virgile et de Pétrarque, d’Ovide et de Politien, de Thomas d’Aquin et de Pascal Quignard. Le temps passe, la langue évolue peu. Le Moyen Âge invente de nouveaux systèmes rythmiques, la rime apparaît, la métrique classique ne disparaît pas. Quand il compose Ver erat..., l’élève Rimbaud utilise le mètre qui règne en latin depuis deux mille ans, l’hexamètre dactylique. Les premiers vers de l’œuvre poétique qui va tout emporter sont un condensé de l’héritage latin.Rien de tout cela n’eût existé si le latin n’avait été que la langue d’un passé aboli. C’est une langue faite pour la poésie. Sa douceur, sa musique, dulcedo et sonoritas, enchantaient le jeune Pétrarque avant même qu’il ne la comprenne. Sa souplesse favorise le libre jeu des mots dans le vers, qui deviendra la marque du parler poétique. « Dans certaines langues, il n’est même pas possible de vouloir ce qui a été réalisé ici », déclare Nietzsche parlant d’Horace. Beau défi lancé aux traducteurs. Il s’ajoute à d’autres : bien des poèmes ne sont pas datables, et nous ne savons rien de bon nombre d’auteurs. Mais l’essentiel est ailleurs, dans le pouvoir qu’a la poésie de faire basculer le langage vers autre chose que la simple signification. Un archéologue n’a que faire d’un objet non situé. Un poème sans date, dont l’auteur n’est qu’un nom, si sa beauté nous transporte, que perd-il ? Textes de Plaute, Térence, Cicéron, Lucrèce, Catulle, Virgile, Horace, Tibulle, Properce, Ovide, Sénèque, Lucain, Pétrone, Martial, Stace, Juvénal, Priapées anonymes, choix d’épitaphes ; les poètes païens des IIIe et IVe siècles, dont Ausone et Claudien ; les poètes chrétiens de l’Antiquité et du Moyen Âge, Lactance, Hilaire de Poitiers, Ambroise de Milan, Prudence, Sidoine Apollinaire, Boèce, Venance Fortunat, Paul Diacre, Alcuin, Raban Maur, Adalbéron de Laon, Fulbert de Chartres, Pierre le Vénérable, Geoffroy de Monmouth, Alain de Lille, Hélinand de Froidmond ou Thomas d’Aquin ; des hymnes liturgiques, dont le Salve Regina, les poèmes satiriques, moraux ou religieux des Carmina burana, la poésie érotique du Chansonnier de Ripoll ; les poètes de l’humanisme et de la Renaissance, notamment Pétrarque, Boccace, Politien, Érasme, Bembo, l’Arioste, Scaliger ou Giordano Bruno ; les Français Théodore de Bèze ou Joachim Du Bellay ; les Anglais Thomas More ou John Owen ; puis Baudelaire, Rimbaud, Giovanni Pascoli et Pascal Quignard.
Poésie latine. --- Poésie latine. --- Latin poetry. --- Classical Latin literature
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Août 1542. La puissante armée du fils aîné de François 1er, le Dauphin de France, entre dans le Roussillon qui faisait alors partie des territoires espagnols, et met le siège devant Perpignan où des troupes de Charles Quint ont eu le temps de se retrancher. C'est cet épisode des guerres entre le roi de France et l’Empereur que raconte la tragédie néolatine de Satorres, professeur de l’université de la ville et témoin direct des événements. Delphinus est un document historique aussi précieux qu’inédit, ainsi qu’une expression originale et réussie de l’humanisme qui fleurit au XVIe siècle dans toute l’Europe. La longue introduction d’Olivier Rimbault constitue la première grande présentation en français de ce phénomène intellectuel, littéraire et culturel pour les territoires catalans.
History --- Poetry --- Medieval & Renaissance Studies --- poésie latine --- Moyen Âge
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Latin poetry --- Inscriptions, Latin --- Épigraphie latine --- --Poésie latine --- --Inscriptions, Latin. --- Latin poetry. --- Latin literature --- Latin inscriptions --- Latin language --- Latin philology --- --Latin poetry --- Inscriptions, Latin. --- --Inscriptions, Latin --- Poésie latine
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Latin poetry --- History and criticism --- Latin poetry - History and criticism --- Poésie latine --- Histoire et critique
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Latin poetry --- Poésie latine --- Anthologia Latina --- Poésie latine --- Anth. Lat. --- Criticism, Textual.
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Latin poetry --- Poésie latine --- History and criticism. --- Histoire et critique --- Latein --- Lyrik --- Poésie latine
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