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Au milieu de l'âge classique, Spinoza bouleverse les rapports entre État, philosophie et religion. Dans une conjoncture où la révolution philologique remet en cause la lecture des textes sacrés, la philosophie de la puissance pose les questions de la prophétie, du miracle, du canon de l'Écriture sainte et des lois de la Nature. Elle interroge l'origine de l'État : pacte social ou genèse passionnelle ? Elle traite à nouveaux frais les problèmes du tyrannicide, de la place de l'État dans l'histoire et de la liberté de penser : comment sauver l'indépendance de l'État par rapport aux Églises et, en même temps, celle de l'individu par rapport à l'État.
Church and state --- Eglise et Etat --- History --- Histoire --- Spinoza, Benedictus de, --- Philosophy --- Multidisciplinary --- Spinoza --- philosophie --- religion --- politique --- Spinoza, Baruch
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Jean-Louis Rondeau, ancien oratorien, secrétaire de l’abbé Grégoire, a rédigé un journal dans la tradition des Nouvelles ecclésiastiques. Ce manuscrit inédit renouvelle l’historiographie et offre une relecture janséniste et gallicane du Concordat de 1801. Ardent partisan de la politique religieuse de Napoléon, Rondeau bascule dans l’opposition sous la Restauration. C’est alors que se cristallise la légende républicaine de Port-Royal et que se nouent les liens entre jansénisme et libéralisme. Le rôle des polémiques jansénistes dans le long processus de sécularisation est mis en lumière. Ce témoignage inscrit l’histoire du jansénisme dans la dynamique religieuse, culturelle et politique de l’Europe catholique post-révolutionnaire. Partout, Rondeau scrute les deux fronts qui opposent les partisans intransigeants de la papauté, alliés aux anti-révolutionnaires, et les néo-gallicans, alliés à des libéraux qui soutiennent, comme certains souverains, l’idée d’Églises nationales. Il offre ainsi une lecture janséniste qui replace au centre des interrogations politiques de ce premier xixe siècle, le religieux et la foi. Cette lecture repose sur une définition partisane centrée sur l’antiromanisme et le gallicanisme.
Rondeau, Jean-Louis, 1759-1832 --- Jansénisme -- France --- Église et État -- France --- History --- jansénisme --- gallicanisme --- ultramontanisme --- Premier Empire --- Restauration
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The Journal of Church and State is concerned with what has been called the "greatest subject in the history of the West." It seeks to stimulate interest, dialogue, research, and publication in the broad area of religion and the state. JCS publishes constitutional, historical, philosophical, theological, and sociological studies on religion and the body politic in various countries and cultures of the world, including the United States. Each issue features, in addition to a timely editorial, five or more major articles, and thirty-five to forty reviews of significant books related to church and state.
Religious studies --- Church and state --- Eglise et Etat --- Periodicals --- Périodiques --- Church and state. --- Església i Estat --- Revistes. --- 27 <05> --- Kerkgeschiedenis--Tijdschriften --- Arts and Humanities --- Law --- Social Sciences --- General and Others --- Religion --- Public Policy & Administration --- Christianity and state --- Separation of church and state --- State and church --- State, The --- Philosophy and religion --- Political science --- Église et État --- Prawo wyznaniowe --- Law and legislation --- Prawo wyznaniowe.
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La décennie 1250, qui voit la consolidation du processus de reconquête chrétienne avec l'intégration de l'Andalousie bétique au royaume de Castille, passe souvent pour le début d'un déclin des ordres militaires, dont la vocation de lutter contre les infidèles aurait dès lors perdu sa raison d'être. Le présent ouvrage remet en question cette idée reçue. Une analyse détaillée des sources, dont certaines restaient inédites, montre qu'après le milieu du XIIIe siècle les ordres militaires, alors moins étudiés qu'à leurs débuts, n'entrent nullement en décadence. Leur image auprès des contemporains demeure positive et, si leur profil religieux s'atténue au XIVe siècle, une ouverture croissante aux valeurs chevaleresques les rapproche de la noblesse. Inquiète d'une telle communauté d'intérêts susceptible d'entraver ses prétentions absolutistes, la monarchie castillane réagit en s'efforçant d'utiliser les milices pour affermir son propre pouvoir et les soumet à un patronage de fait qui, tout en pérennisant leur position sociale, les réduit bien avant l'époque des Rois Catholiques à une logique nationale étrangère au principe universel qui était le leur.
Church and state --- Military religious orders --- Eglise et Etat --- Ordres militaires religieux --- History --- History. --- Histoire --- Spain --- Espagne --- Église et État --- Castille (Espagne) --- Mediaeval Spanish history --- 13th-14th century --- Military orders --- Chivalry --- Ordres militaires (religion) --- Religion --- Eglise --- Etat --- ordre militaire religieux --- Castille --- XIIIème siècle --- XIVème siècle
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L’histoire de la Cappadoce, région rurale et isolée de l’Anatolie orientale que ses Pères de l’Église ont fait connaître dès l’Antiquité tardive et que ses églises rupestres continuent de faire connaître aujourd’hui, éclaire, tout au long des ive, ve et vie siècles, le fonctionnement de l’Empire romain d’Orient. Y a-t-il eu acceptation ou rejet des institutions qui, promues depuis le ive siècle pour assurer son unité, fondent la nouvelle identité de cet Empire ? Quelles furent les modalités d’intégration, civiles et ecclésiastiques, d’un ensemble provincial donné à un système de gouvernement hautement centralisé ? Analysant la position de la région et de ses élites face notamment à la fondation de Constantinople comme capitale de l’Empire romain d’Orient et la christianisation de l’Empire, l’auteur propose une lecture politique et provinciale de la société de l’Antiquité tardive.
Eglise et Etat --- Histoire --- Cappadocia (Turkey) --- Byzantine Empire --- History --- Church history --- Politics and government --- History of Turkey --- Église et État --- Église et État --- Roman empire --- 4th-6th centuries. --- Histoire. --- Cappadoce (Turquie) --- Empire byzantin --- History. --- Church history. --- Politique et gouvernement --- 949.5 CAPPADOCIE --- 949.5.01 --- 949.5.01 Geschiedenis van Byzantium: Constantinus tot Theodosius III--(323-716) --- Geschiedenis van Byzantium: Constantinus tot Theodosius III--(323-716) --- Geschiedenis van Byzantium en Griekenland--CAPPADOCIE --- 4th-6th centuries --- Église et État - Empire Byzantin - Histoire --- Cappadoce --- Cappadocia (Turkey) - History --- Byzantine Empire - Church history --- Byzantine Empire - Politics and government - To 527 --- politique --- gouvernement --- religion --- empereur --- administration --- Antiquité byzantine --- Turquie
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Comment se sont cristallisés, au XIXe siècle, un certain nombre de bastions catholiques à caractère emblématique ? De l'Irlande au Québec, de la Pologne à la Vénétie, des cantons suisses du Sonderbund à l'Ouest armoricain, semblent s'observer des trajectoires peu ou prou apparentées. Tout se passe comme si un processus de rétroaction religieuse suivait un traumatisme majeur dans l'ordre social et culturel : Grande Famine irlandaise, insurrections de 1837-1838 au Québec ou de 1863 en Pologne et, bien entendu, choc de la Révolution dans l'Ouest français. À y regarder de plus près cependant, la comparaison appelle des interrogations, à la fois sur nos instruments de mesure de l'énergétique religieuse et sur la nature des phénomènes qu'ils révèlent, à la jonction de l'événement et des structures de longue durée. Ce qui est en cause en effet est la capacité du facteur religieux à créer du lien social, de l'identité collective, au sein même du processus de modernisation. Il a donc paru opportun de confronter sur ces questions les approches d'historiens venus d'horizons divers. Tel était l'objectif du colloque international organisé à Rennes, les 1er et 2 juillet 1997, par le CRHISCO (Centre de recherches historiques sur les sociétés et cultures de l'Ouest) et dont on trouvera ici les résultats.
Catholic Church and world politics --- Church and state --- Church history --- Politique mondiale --- Eglise et Etat --- Eglise --- History --- 18th century --- 19th century --- Aspect religieux --- Eglise catholique --- Histoire --- Religion --- Église catholique --- révoltes --- sociologie religieuse --- religion et politique --- histoire religieuse
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Familiar accounts of religious freedom in the United States often tell a story of visionary founders who broke from centuries-old patterns of Christendom to establish a political arrangement committed to secular and religiously neutral government. These novel commitments were supposedly embodied in the religion clauses of the First Amendment. But this story is largely a fairytale, Steven Smith says in this incisive examination of a much-mythologized subject. The American achievement was not a rejection of Christian commitments but a retrieval of classic Christian ideals of freedom of the church and of conscience. Smith maintains that the First Amendment was intended merely to preserve the political status quo in matters of religion. America's distinctive contribution was, rather, a commitment to open contestation between secularist and providentialist understandings of the nation which evolved over the nineteenth century. In the twentieth century, far from vindicating constitutional principles, as conventional wisdom suggests, the Supreme Court imposed secular neutrality, which effectively repudiated this commitment to open contestation. Instead of upholding what was distinctively American and constitutional, these decisions subverted it. The negative consequences are visible today in the incoherence of religion clause jurisprudence and the intense culture wars in American politics.
Freedom of religion --- Church and state --- Liberté religieuse --- Eglise et Etat --- Church and state -- United States. --- Freedom of religion -- United States. --- Constitutional Law - U.S. --- United States --- American religious freedom --- Christian-Paganism --- the First Amendment --- religion
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L’État et l’Église, l’État ou l’Église, ce titre en forme de diptyque, qui peut aussi se lire comme une interrogation, ou comme l’expression d’un choix dont on ne sait qui l’a tranché ou si même il a un jour été tranché, évoque un ensemble de problèmes qui occupent toujours une place considérable dans l’historiographie et qui avaient d’ailleurs été abordés dans le cadre des programmes sur la genèse de l’État moderne. Si le Kulturkampf bismarckien et l’anticléricalisme militant de la IIIe République ont certainement favorisé les recherches sur ces sujets dans la seconde moitié du xixe siècle, les interrogations actuelles sur la place de la religion dans la vie politique du début du xxie siècle ont et auront sans doute le même effet. Et les deux grandes crises de la période médiévale, la lutte de la Papauté et de l’Empire d’une part, et l’affrontement entre Philippe le Bel et Boniface VIII de l’autre ont retrouvé dans l’historiographie la plus récente la place qui leur est due. Mais depuis longtemps, et notamment depuis qu’Ernst Kantorowicz a montré tout ce que l’idéologie politique et les conceptions de l’État devaient à la théologie, depuis aussi que les historiens ont réalisé l’ampleur de l’impact de la redécouverte du droit romain, les recherches historiques ne sont plus placées sous le signe de l’opposition mais plutôt sous celui de l’association, voire de l’imbrication, de deux systèmes institutionnels entre lesquels les transferts sont incessants. Au reste, il était impossible, dans le cadre d’une seule conférence, d’aborder tous les aspects d’un tel sujet et il nous fallait recentrer le questionnaire sur ce qui avait le plus d’importance pour le nouveau programme SAS (présenté dans l’avant-propos). Dans la mesure où il s’agit désormais d’axer la recherche sur la sémiologie de l’État, c’est-à-dire sur la production et le sens des signes et des systèmes de signes dans les processus de communication au sein des sociétés politiques de l’Occident latin et, grâce à…
Église et État --- Church and state --- Clergé et laïcat --- Congresses. --- Christianity and politics --- Clergy --- Eglise et Etat --- Christianisme et politique --- Clergé --- History. --- Histoire --- Catholic Church --- Europe --- Church history --- Histoire religieuse --- Religion and politics --- Church and state. --- Clergy. --- Religion and politics. --- Actes de congrès --- History --- Political activity. --- Église catholique --- Catholic Church. --- Clergé --- Political activity --- Activité politique --- 600-1599. --- Europe. --- 261.7 "13/16" --- De Kerk en de burgerlijke macht: Kerk en Staat; godsdienstvrijheid; verdraagzaamheid; tolerantie:--theologische aspecten--"13/16" --- Conferences - Meetings --- Festschrift - Libri Amicorum --- Église et État --- Clergé et laïcat --- Religion --- christianisme --- politique --- clergé --- roi --- clerc --- État --- cour --- concile --- curie --- Etat --- chanoine --- Eglise --- Moyen-âge
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La France est le seul pays d’Europe où l’État et les Églises sont le plus strictement séparés depuis la loi de 1905. Si on fait de cette loi la lointaine conséquence des rapports tumultueux entre l’Église catholique et la Révolution française, on oublie trop que, dès la seconde moitié du xviiie siècle, la France fut le pays où l’influence du clergé sur la population s’effrita, diminua et parfois s’évanouit. Cela tint au mouvement de la société qui conduisit une partie de la bourgeoisie à refuser la place seconde que lui fixait l’Église dans le corps social, aux frictions entre le clergé et les masses paysannes dans certaines régions, au discrédit de l’Église, effet de sa lutte interne entre jansénistes et anti-jansénistes menée sous l’œil goguenard des philosophes. Sur tous les fronts de combat un personnage nouveau entra en scène, qui concurrença le prêtre dans son rôle de guide des consciences : l’avocat. Les luttes politiques de la fin de l’Ancien Régime firent de lui le porte-parole des mécontents, traduisant leurs griefs et leurs revendications en termes politiques. À la veille de la Révolution, la croyance religieuse commençait à se transformer en opinion privée. Dans les autres pays de l’Europe catholique, on assista à un processus inverse. Le choix obligé fait par les souverains absolutistes éclairés de transformer le fonctionnement de l’État mais sans envisager jamais de toucher à l’ordre social, leur incapacité à améliorer les conditions de vie du plus grand nombre tout en agressant leurs croyances et leurs pratiques, entraîna la constitution d’un front du refus unissant les groupes sociaux les plus divers et aux intérêts matériels souvent antagonistes. Le clergé en fut l’organisateur et porte-parole naturel et renforça son magistère spirituel. L’Absolutisme éclairé fut un échec. C’est sur ce même front du refus que devait se construire la Contre Révolution après 1789. Philippe Goujard est professeur d’Histoire moderne à l’université de Rouen où il…
Church and state --- Secularism --- Eglise et Etat --- Sécularisation --- Catholic Church --- History --- Eglise catholique --- Histoire --- European history --- Catholic religion --- 18th century --- Religion --- Philosophy & Religion --- Christianity --- 27 "17" --- Kerkgeschiedenis--18e eeuw. Periode 1700-1799 --- Sécularisation --- Church and state - Catholic Church - History - 18th century --- Church and state - Europe - History - 18th century --- Secularism - Europe - History - 18th century --- XVIIIe siècle --- histoire des institutions --- Église catholique --- histoire des religions
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En octobre 2002 se tenait à Aix-en-Provence un colloque international sur « Religion et pouvoir », dont le présent volume publie les actes. Il s'agit de concentrer le regard sur une composante de cette grande institution judiciaire ecclésiastique que fut l'Inquisition et, qui jusqu'ici, a été peu observée : son rapport au pouvoir. Celui-ci peut s'exprimer dans trois directions : le pouvoir au sein de l'Inquisition ; les rapports de celle-ci avec les divers pouvoirs (politique, économique, ecclésiastique, social) ; le pouvoir de l'Inquisition sur l'imaginaire. L'Inquisition est envisagée ici sous ses trois formes (médiévale, ibérique, romaine), du Moyen Âge à nos jours et dans l'aire méditerranéenne, à savoir les « quatre sœurs » latines (France, Espagne, Italie, Portugal) ainsi que leurs dépendances. Cette réflexion nouvelle de la recherche internationale s'insère dans ce champ de l'histoire toujours en renouvellement. Elle s'adresse aussi bien aux spécialistes qu'aux lecteurs intéressés et curieux.
Inquisition --- Church and state --- Eglise et Etat --- History --- Histoire --- Religious history --- 262.136.12 --- Congregatie van het Heilig Officie (en voor de inquisitie) --- 262.136.12 Congregatie van het Heilig Officie (en voor de inquisitie) --- Holy Office --- Autos-da-fé --- Christianity and state --- Separation of church and state --- State and church --- State, The --- Inquisition - History - Congresses --- Church and state - History - Congresses
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