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Sainte-Hélène, 5 mai 1821. Napoléon Ier vient de succomber à une maladie de l'estomac. Inhumée sur l'île, sa dépouille va y reposer durant près de vingt ans avant d'être transférée aux Invalides en 1840. Tous les livres d'histoire relatent ces faits. Or, ces dernières d'années ont vu émerger les thèses " empoisonnistes " et " substitutionnistes ". Insensées et sans fondement historique, répondent les auteurs. Mais il n'est jamais aisé d'aller à contre-courant d'affirmations aussi sensationnelles. Pourtant, grâce à Thierry Lentz et Jacques Macé, ces questions trop longtemps débattues trouvent ici une réponse définitive. Introduction. Deux mystères Présentation 1. Les lieux du drame 2. Les acteurs 3. Cipriani, l'autre mort de Sainte-Hélène 4. La santé de Napoléon 5. La dernière phase 6. De quoi Napoléon est-il vraiment mort? 7. Dix-neuf ans au val du Géranium 8. L'exhumation de 1840 9. Le triomphe de Napoléon Présentation 1. Les deux révélations de Sten Forshufvud 2. Ben Weider muscle l'Histoire 3. Trente et un symptômes 4. L'affaire de l'arsenic 5. Il faut un coupable 6. Quand un éminent économiste s'emmêle 7. Entrée en scène du descendant de l'assassin 8. L'empoisonnement n'est pas prouvé Présentation 1. Un cercueil en trop 2. Le vol de l'Aigle 3. Encore Cipriani 4. Tout le monde savait. et tout le monde a menti 5. Et le masque ? 6. Encore quelques preuves 7. Substitution ou pas substitution? Conclusion. Faut-il ouvrir le tombeau des Invalides? Bibliographie (mise à jour en novembre 2020).
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Pourquoi la mort de quelqu'un est-elle toujours une sorte de scandale??Pourquoi cet événement si normal éveille-t-il chez ceux qui en sont les témoins autant de curiosité et d'horreur?? Depuis qu'il y a des hommes, comment le mortel n'est-il pas habitué à ce phénomène naturel et pourtant toujours accidentel?? Pourquoi est-il étonné chaque fois qu'un vivant disparaît, comme si cela arrivait chaque fois pour la première fois??Telles sont les questions que pose ce livre sur la mort. Dans chacun de ses ouvrages, Vladimir Jankélévitch a essayé de saisir le cas limite, l'expérience aiguë : à son point de tangence avec ces frontières, l'homme se situe à la pointe de l'humain, là où le mystère, l'ineffable, le « je ne sais quoi », ouvrent le passage de l'être au néant, ou de l'être à l'absolument-autre.Il s'attache ici à analyser un événement considéré dans sa banalité et dans son étrangeté à la fois, dans son anomalie normale, son tragique familier, bref, dans sa contradiction.« Si la mort n'est pensable ni avant, ni pendant, ni après, écrit Jankélévitch, quand pourrons-nous la penser?? » Et il entreprend cette tâche périlleuse : conter l'inénarrable, décrire l'indescriptible.
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Une confrontation entre les recherches historiques concernant la mort des mères et des nouveau-nés autrefois et les témoignages d'aujourd'hui sur la manière dont ces morts spécifiques sont vécues et accompagnées. Qu'est ce qui a changé ? De nombreux rites, traditions populaires et dictons anciens illustrent la redoutable proximité entre le moment de la naissance et celui de la mort, et attestent de la conscience du danger qui menace la future mère et son enfant. Mort de la mère qui ne verra pas grandir son enfant, mort-né qui n'a pas eu le temps de naître, mort du nouveau-né qui n'a pas eu le temps de vivre. Historiquement, la lutte des soignants pour faire baisser la mortalité des mères et des nouveau-nés a été un long combat qui a légitimé peu à peu les avancées de la médicalisation de l'accouchement. Si aujourd'hui, la mort en couches a presque disparu, la mort néonatale et périnatale est toujours présente et a été longtemps traitée avec une apparente indifférence. Les analyses et témoignages de soignants, de psychologues, de sociologues et de parents nous montrent comment, depuis les années 1990, de nouvelles pratiques ont remplacé l'évitement traditionnel. Institués par les endeuillés eux-mêmes, réunis en associations ou regroupés sur internet, de nouveaux discours, gestes et rituels ont été inventés autour des tout-petits morts.
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The death of the self passes through modern culture. However, chooses for himself the role of Psychopomp in obeyance not only to stylistic but also to profoundly ethical reasons. Bassani interrupts his narrative writing to give unity to the Romanzo di Ferrara and to entrust poetry with verses in the form of an epitaph. The testimonial "need" seems to emerge, giving meaning through the Prologue to the Giardino dei Finzi-Contini and to what will come after. It seems that the coherent constructive geometry of an entire work (intertwined since the beginning with refined European readings, figurative and Longhiani memories that Anna Dolfi highlights with wise precision) fully reveals the excess of the hourglass shape, of the conical structures that allow to glimpse distant flakes of light, pushing the real on the perilitant discrimination of the shadow. There, where the existing (objects, characters / people) is offered as a painted image alive only thanks to refraction and indirect projection of the gaze. This book investigates the strategies of Bassani's memory and his playing on revelation / concealment, while deeply analysing the compositional paths of the texts in their allocative ways (the very privilege, in poetry, of the dialogic and epistolary form). Moreover, the work strongly questions the places of the distance, the introjection of mourning, the relationship between history and truth, between the code of reality and the effect of reality, the convergences between biography and culture (in the names of Caravaggio, Cézanne, De Staël, Morandi, Bacon; Dante, Manzoni , Tommaseo, Hawthorne, James, Dickinson, Baudelaire, Mallarmé, Rimbaud ...), offering a new and suggestive interpretation of Bassani's "writing beyond the heart".
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