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Cette traduction d’une première partie des «Ecrits sociologiques» de Th. W. Adorno vise à compléter la réception d’Adorno en France en faisant enfin connaître son œuvre de sociologue. Les textes qui composent ce livre – articles, conférences et interventions orales lors de colloques – forment ainsi le complément nécessaire à la juste compréhension de son projet global et permettront enfin de pénétrer les articulations théoriques entre philosophie pure, réflexion esthétique et théorie sociale.Ces écrits sur la culture constituent un complément indispensable aux écrits esthétiques déjà disponibles en français et permettent de relire sous un nouveau jour la Dialectique de la Raison et la critique de la culture de masse qui s’y trouve développée. Le texte-charnière qui clôt le volume traite du rapport entre sociologie et psychologie, et met à jour les transformations qu’Adorno fait subir à la psychanalyse afin d’en faire un soubassement stable de sa théorie critique de la société ; il introduit qui plus est à un débat toujours actuel : comment la société transforme-t-elle la structure pulsionnelle des individus ? De quelles pathologies individuelles est-il possible de dire qu’elles sont « produites socialement »…? Les articles réunis dans ce volume permettent de mieux comprendre l’orientation qu’a prise l’École de Francfort depuis deux décennies. Comme le souligne Axel Honneth dans sa préface, la théorie critique et sociale la plus récente renoue avec l’approche sociologique et empirique de Theodor Adorno.
Social sciences --- Sociology --- Sciences sociales --- Sociologie --- Philosophy --- Philosophie --- Philosophie sociale --- --Sociology --- Sociology - Philosophy --- Social sciences - Philosophy
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Sociology --- Philosophy --- Social theory --- Social sciences --- Mental philosophy --- Humanities
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Philosophy --- Philosophy. --- Philosophie
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L’intérêt de Theodor Adorno pour l’œuvre de Husserl remonte à ses années d’études et à la thése qu’il lui consacra en 1924, et n’a ensuite jamais cessé. Paru en 1956, Pour une métacritique de la théorie de la connaissance est un livre auquel Adorno a commencé à travailler dés les années 1930 et qui lui tenait tant à cœur qu’il s’y est attelé pendant plus de vingt ans.Éclairant les thèses de Husserl en les resituant dans l’histoire de la philosophie, en commentant également de façon serrée les passages fondamentaux des Recherches logiques, des Méditations cartésiennes ou des Ideen, Adorno fait ici preuve d’une compréhension réelle du sens du projet phénoménologique et de son évolution. Discuter la théorie husserlienne de l’essence, c’est aussi discuter le refus husserlien de penser l’être comme individuel et contingent — et les conséquences politiques de ce refus. Car, pour Adorno, la logique n’est pas un objet extérieur au champ du politique.Cette traduction devrait contribuer à remettre en cause la confortable vision selon laquelle théorie critique et phénoménologie se seraient développées parallèlement sans jamais se croiser et inviter également à se demander ce qui de la phénoménologie husserlienne est passé dans la pensée d’Adorno.
Husserl, Edmund (1859-1938) --- Phénoménologie --- Critique et interprétation
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"A record of their discussions over three weeks in the spring of 1956, recorded with a view to writing a contemporary version of The Communist Manifesto, this conversation ranges across its central themes--theory and practice, labor and leisure, domination and freedom--in a register found nowhere else in their work. Amid a careening flux of arguments, aphorisms and asides, in which the trenchant alternates with the reckless, positions are swapped and contradictions unheeded resulting in a thrilling example of philosophy in action and a compelling map of a possible passage to a new world"--Page 4 of cover.
Philosophy. --- Philosophy, German --- Communism and philosophy. --- Philosophy, German. --- Horkheimer, Max, --- Adorno, Theodor W., --- 1900-1999.
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Au siècle dernier, Theodor Adorno (1903-1969) s'impose comme l'un des rares penseurs à oser prendre parti en faveur de l'art moderne et des avant-gardes. Sans attendre prudemment la consécration que le temps finit parfois par accorder à des œuvres résolument nouvelles, le philosophe s'engage, dès 1923, dans les controverses artistiques, notamment musicales et littéraires, de l'entre-deux-guerres. C'est ainsi qu'il défend âprement contre ses détracteurs la nouvelle musique classique et les compositeurs Alban Berg, Arnold Schönberg et Anton von Webern. Il se fait l'avocat de James Joyce, de Paul Celan, de Samuel Beckett à qui il dédie la Théorie esthétique.Peu avant sa mort, en 1969, Adorno comprend, toutefois, que sa théorie de la modernité est confrontée au déclin de l'art moderne, à l'apparition de la postmodernité, au triomphe du kitsch et à la suprématie de l'industrie culturelle. Il craint que l'art lui-même ne survive dans la société actuelle que sous la forme d'une culture docile, entièrement soumise aux impératifs de la rentabilisation marchande. Tel est bien, quarante ans après la mort du philosophe, le défi majeur que doit relever une création artistique préoccupée par la sauvegarde de son autonomie et soucieuse de se définir encore comme espace de liberté.
Art --- Avant-garde (esthétique) --- Esthétique --- Philosophie. --- Aesthetics --- Avant-garde (Aesthetics) --- Art and philosophy
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Albers, Josef ; Barry, Robert ; Benglis, Lynda ; Van den Berghe, Frits ; von Bonin, Cosima ; Braeckman, Dirk ; von Graevenitz, Gerhard ; Graham, Dan ; Graham, Rodney ; Holleman, Arnoud ; Horsfield, Craigie ; Kaplunova, Ekaterina ; Keil, Hélène ; et al.
kunst --- eenentwintigste eeuw --- museologie --- white cube --- kunsttheorie --- 069 --- 7.039 --- Exhibitions --- Museums --- Philosophy. --- Proust, Marcel, --- Valéry, Paul, --- Criticism and interpretation.
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During the occupation of West Germany after the Second World War, the American authorities commissioned polls to assess the values and opinions of ordinary Germans. They concluded that the fascist attitudes of the Nazi era had weakened to a large degree. Theodor W. Adorno and his Frankfurt School colleagues, who returned in 1949 from the United States, were skeptical. They held that standardized polling was an inadequate and superficial method for exploring such questions. In their view, public opinion is not simply an aggregate of individually held opinions, but is fundamentally a public concept, formed through interaction in conversations and with prevailing attitudes and ideas “in the air.” In Group Experiment, edited by Friedrich Pollock, they published their findings on their group discussion experiments that delved deeper into the process of opinion formation. Andrew J. Perrin and Jeffrey K. Olick make a case that these experiments are an important missing link in the ontology and methodology of current social-science survey research.
Public opinion --- Public opinion. --- Germany --- History
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