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Présentation de projets de paysage réalisés à travers le monde.

Espace vert --- Parc urbain --- Paysagisme --- Espace public

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Le livre est accompagné d'un DVD reprenant 11 courts-métrages documentaires. L’association Ne pas plier vient de publier « La ville est à nous », avec le soutien de l’Acsé. Ce livre est le résultat d’un travail réalisé avec l’ensemble des acteurs ayant conduit les multiples projets réalisés à l’Observatoire de la ville et au cours des Chemins de randonnées urbains (deux dispositifs mis en place par l’association Ne pas plier pour produire, partager et diffuser une connaissance de la ville). Il vise à dégager des méthodes à partager pour donner le désir de travailler ensemble sur la ville. Les expériences retracées dans cet ouvrage sont illustrées par différents documents (témoignages, images, textes, citations, grilles de lectures, etc.) qui donnent des éléments concrets pour accompagner, suggérer, nourrir, compléter et réinterpréter des projets possibles sur le thème de la ville. L’Observatoire de la ville et les Chemins de randonnées urbains constituent des dispositifs d’expérimentation collective, de partage des connaissances et d’invention sociale à la fois réels et symboliques que chaque citoyen peut investir de son imaginaire et de ses interrogations. Ainsi les enfants, les étudiants, les enseignants, les travailleurs communaux, les élus, les associations, etc., sont invités à exercer un regard sur la ville, à penser d’autres rapports sociaux, d’autres lieux et d’autres formes d’échanges fertiles.

Paysage urbain --- Espace urbain --- Perception de l'espace

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Cette étude porte sur la relation qui peut s'établir entre la logique de production architecturale d'un espace et la logique d'appropriation de ce même espace public (usage). Le cas présenté ici est le nouveau projet de réaménagement de la Grand-Place de Nivelles. Nivelles est une ville en pleine extension et cette augmentation de population crée des problèmes de mobilité et de sécurité dans le centre. C'est suite à ces problèmes que les autorités nivelloises décident en 2001 de faire leur propre Plan communal de mobilité. Le nouveau projet de réaménagement de l'Atelier d'architecture DDV s'inscrit dans cette demande. La question est ici autre que la mobilité. On analyse dans cette étude la question des usages de ce nouvel espace public, et pour cela, on étudie la méthode d'analyse de Grégoire Chelkoff: "formes, formants, formalités: catégories d'analyse de l'environnement urbain". Le domaine des formes est défini par les dispositifs physiques mis en place dans l'espace urbain. Il s'agit ici d'effectuer un relevé des données architecturales composants l'espace, en termes de géométrie, de morphologie, de topographie, d'emplacement et de textures. Le formant est défini par une expérience sensible du milieu. Ce domaine tient compte de la dimension sensorielle et fait le lien avec les formes. Les formalités concernent le comportement humain: leurs conduites, leurs expressions dans le milieu ambiant préalablement décrit dans le domaine des formes et des formants. Suite à cette analyse, nous allons observer les formalités d'usage de l'espace public. Ces observations seront représentées sous forme de schémas de déplacement, expliquées par des textes et appuyées par des photos. En dernier lieu, nous pourrons alors synthétiser les observations et émettre des hypothèses quant aux choix des dispositifs spatiaux choisis par les concepteurs ainsi que l'organisation des espaces propres au projet de la Grand-Place.

Urbanisme --- Aménagement urbain --- Appropriation de l'espace --- Espace public --- Espace urbain --- Mobilier urbain --- Nivelles

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La conquête spatiale est le fruit de la rencontre de la technique et du rêve, " du chiffre et du songe ", selon l'expression de Victor Hugo. La technique elle-même ne se serait pas développée sans l'intérêt que les hommes ont porté au cosmos : c'est en constatant la régularité des mouvements célestes que les philosophes grecs ont eu l'idée que l'Univers était mathématiquement ordonné et donc explicable ; c'est la recherche des causes de ces mouvements qui a conduit Newton à la découverte des lois de la mécanique, fondements de la science et de la technologie modernes ; c'est l'application de ces lois qui a permis la réalisation des fusées spatiales. Mais sans l'imagination des poètes, des écrivains, des dessinateurs, des cinéastes, des visionnaires, les hommes auraient-ils eu ce désir fou de partir à la conquête du cosmos ? De l'Antiquité au vol de Gagarine, le 12 avril 1961, et aux premiers vols habités américains, Alain Dupas retrace l'histoire de cette prodigieuse aventure humaine. [4e de couverture]

Conquête de l'espace --- Vol spatial habité

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Pour être à même de concevoir un environnement qui répond aux besoins de l'homme dans sa concrétude, nous commençons par étudier la perception de l'être en mouvement. Notre vision ne suffit pas pour percevoir l'environnement. Notre perception de l'espace résulte de la convergence de nombreuses informations sensorielles. Ce que nous percevons spécifiquement par le mouvement et l'action est essentiel. Même notre perception des images visuelles est conditionnée par la mémoire d'expériences de mouvements passés. Au-delà des apports sensitifs du mouvement, le parcours nous permet de comprendre l'environnement, d'en constituer une image mentale. Finalement, notre corps, instrument de notre perception et centre de notre univers, génère au moyen de repères corporels associés à la mémoire, un monde de significations. Le mouvement est ainsi porteur de sens et créateur d'émotions. La deuxième partie renverse le point de vue: elle tente d'éclairer les fondements d'un environnement conçu pour être perçu et habité par des êtres en mouvement. L'aspect sensuel de l'environnement est nécessaire au développement physique et psychique de l'homme. Cette nécessité génère des exigences architecturales que nous définissons comme des "devoirs kinesthésiques" de l'architecture. L'objectif est de proposer, pour chacun d'eux, des principes concrets de conception, fondés par l'étude de la perception faite en première partie. Premièrement, le devoir de "protection" permet une mise en veilleuse de nos perceptions primaires de survie pour un meilleur développement de notre perception "sensuelle". On l'obtiendra par la sûreté, la lisibilité et la "privacité" de l'environnement. Deuxièmement, la "stimulation" joue un rôle essentiel en renouvelant nos expériences kinesthésiques. Inspirer, désorienter, déstabiliser, signifier et chorégraphier sont autant de principes qui peuvent être stimulants "kinesthésiquement". Et finalement, la " libération" du corps et de son mouvement combine des effets de protection avec une stimulation. Cette libération s'obtient au moyen de la conception d'espaces qualifiés d'"organiques". Ces devoirs et principes s'appliquent à toutes les échelles de l'environnement construit. Le dernier chapitre de cette deuxième partie permet cependant de donner quelques précisions au niveau de l'échelle de l'environnement construit. Le dernier chapitre de cette deuxième partie permet cependant de donner quelques précisions au niveau de l'échelle de la ville comme l'importance de sa lisibilité et le problème de la cohabitation avec la voiture.

Perception de l'espace --- Cinétique --- Corps humain