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Voici le premier volume d'une nouvelle traduction française et d'une lecture complète des douze livres qu'Hilaire écrivit en 356-359, Sur la Trinité. Qu'il s'agisse de la confession de foi baptismale, de la glorification pascale du Père et du Fils, du témoignage mutuel qu'Ils se rendent dans les Ecritures anciennes et nouvelles, du surplus de dignité qu'est pour le Père l'engendrement du Fils en sa propre nature, la résurrection de Jésus "à la plénitude des temps" (Ga 4, 4) y est confessée comme la libre et débordante répétition de son éternelle et incompréhensible Nativité "avant les siècles éternels" (Tt 1, 2).Contre la redoutable hérésie d'Arius qui semblait triompher à cette époque, règne l'annonce que Paul fit dans la synagogue d'Antioche de Pisidie : "La promesse faite à nos pères, Dieu l'a accomplie en notre faveur, à nous leurs enfants : Il a ressuscité Jésus, ainsi qu'il est écrit dans les psaumes : "Tu es mon Fils, moi, aujourd'hui, je T'ai engendré"" (Ac 13, 32-33).
276 --- #GBIB: jesuitica --- Latijnse patrologie--HILARIUS PICTAVIENSIS
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La culture occidentale est surtout redevable à la fois de l’héritage gréco-romain et de la diffusion de la littérature chrétienne des premiers siècles. Les contributions ici rassemblées cherchent à préciser les modes de transmission et de réception des Pères grecs. Plusieurs approches s’avèrent indissociables et fécondes : l’étude de la circulation des manuscrits, l’examen des inventaires des bibliothèques médiévales, le rôle éminent des traducteurs, de Jérôme et Rufin pour l’œuvre d’Origène aux traducteurs et commentateurs des milieux de l’humanisme et de la Réforme. Ces traductions et leur histoire ouvrent naturellement la question de leur fidélité à l’original et des incompréhensions qu’elles ont pu susciter entre Orient et Occident chrétiens. Sans oublier que si les traductions facilitent la réception des grands témoins du christianisme des premiers siècles, celle-ci est en relation étroite avec le contexte immédiat. Les citations de ces œuvres et la constitution de florilèges, en effet, ne sont pas sans peser sur les débats théologiques lors des conciles ou entre Réformateurs et catholiques au XVIe siècle.
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Avant même la conversion de l'empire gréco-romain au christianisme, le roi arménien Tiridate fit le choix du Christ pour son peuple sous la houlette de cette figure tout aussi charismatique qu'énigmatique de Grégoire Loussavoritch, « l'Illuminateur ». Alors que ce dernier se dresse aux confins de l'histoire et de la légende, le baptême du roi d'Arménie et de sa noblesse eut bien lieu à l'orée du IV siècle même si les historiens débattent encore de la date précise : 301, 311 ou 314 ? C'est ainsi que dans la mémoire collective du peuple arménien, la silhouette du prisonnier de la fosse de Khor Virap devient de plus en plus prégnante et significative : Grégoire devient le porteur de lumière.Le voilà franchissant les cols escarpés d'Arménie, renversant les temples des vieilles divinités, les remplaçant par des Églises dédiées au Dieu de Jésus-Christ, créant de toutes pièces un clergé chrétien issu de l'ancienne caste sacerdotale polythéiste avant de faire le choix de se retirer pour le restant de ses jours dans une grotte obscure. A ses côtés, le roi Tiridate, devant traiter tant avec les populations paysannes toujours très attachées au culte des génies des démons qu'avec une aristocratie tentée par la pure religion du feu des Perses mazdéens, n'aurait-il fait le choix du christianisme que par calcul politique, pour renforcer son propre pouvoir et la cohésion de son Royaume ? Mais l'empereur romain qui l'avait placé sur le trône de ses pères en 298 n'était autre que Dioclétien, le persécuteur par excellence des chrétiens...C'est à la découverte de ces origines passionnantes et complexes de l'Église arménienne ainsi qu'à son inscription tenace dans l'histoire et la mémoire des hommes que nous convient les Actes de cette Petite Journée de Patristique consacrée à Grégoire l'Illuminateur. Passionnantes... c'est-à-dire placées sous le signe de la Croix et de l'épreuve tout autant que dans la lumière d'une espérance plus forte que la mort.
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Par une série d'études historiques précises, le Père Gabriel Bunge reprend une à une les pièces du dossier à charge d'Evagre le Pontique. Son but est de "débarrasser le chemin de quelques-uns de ces obstacles qui s'opposent à une plus juste compréhension d'Evagre et de ses véritables intentions. Le premier de ces obstacles, c'est le préjugé assez répandu selon lequel Evagre serait plus "philosophe" que "théologien" ". Ainsi commence-t-il par préciser le contexte de crise spirituelle qui marque le traité Sur la Prière, puis il met en valeur sa théologie de la prière. L'auteur reprend enfin la spiritualité du monachisme primitif d'Antoine et de Pacôme pour montrer comment Evagre s'en est fait l'interprète. A travers ces études une conviction se dégage : la pensée d'Evagre n'est pas un monument de l'Antiquité à admirer, mais une source de grande actualité pour la spiritualité chrétienne contemporaine.
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276 =75 ORIGENES --- Griekse patrologie--ORIGENES --- Eschatologie --- Literalsinn --- Metaphertheorie --- Seinsprinzipien
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This study contextualizes the achievement of a strategically crucial figure in Byzantium's turbulent seventh century, the monk and theologian Maximus the Confessor (580-662). Building on newer biographical research and a growing international body of scholarship, as well as on fresh examination of his diverse literary corpus, Paul Blowers develops a profile integrating the two principal initiatives of Maximus's career: first, his reinterpretation of the christocentric economy of creation and salvation as a framework for expounding the spiritual and ascetical life of monastic and non-monastic Christians; and second, his intensifying public involvement in the last phase of the ancient christological debates, the monothelete controversy, wherein Maximus helped lead an East-West coalition against Byzantine imperial attempts doctrinally to limit Jesus Christ to a single (divine) activity and will devoid of properly human volition. Blowers identifies what he terms Maximus's "cosmo-politeian" worldview, a contemplative and ascetical vision of the participation of all created beings in the novel politeia, or reordered existence, inaugurated by Christ's "new theandric energy". Maximus ultimately insinuated his teaching on the christoformity and cruciformity of the human vocation with his rigorous explication of the precise constitution of Christ's own composite person. In outlining this cosmo-politeian theory, Blowers additionally sets forth a "theo-dramatic" reading of Maximus, inspired by Hans Urs von Balthasar, which depicts the motion of creation and history according to the christocentric "plot" or interplay of divine and creaturely freedoms. Blowers also amplifies how Maximus's cumulative achievement challenged imperial ideology in the seventh century—the repercussions of which cost him his life-and how it generated multiple recontextualizations in the later history of theology.
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