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Dans le métro, un jeune homme anonyme et timide croise le regard d'une jeune femme : c'est le point de départ d'une suite de petits événements qui se dérouleront sur un laps de temps court (une nuit) et continu, comme un plan séquence ponctué de rencontres inattendues et savoureuses. Le lecteur découvrira pourtant à la fin l'explication de cette parenthèse enchantée !
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La 4e de couv. indique : "Pendant la nuit du 18 au 19 mars, l'Etat, l'armée, la police, tout ce qui pèse sur les vies humaines du dehors et d'en haut, tout s'est dissous, évanoui, évaporé. Ce matin-là, tout est possible." Rendre compte de l'expérience extraordinaire qu'a été la Commune de Paris n'est pas une entreprise historienne comme les autres. Comment une révolte municipale, surgie dans le contexte particulier du Paris post-Second Empire, s'est-elle donné un horizon universel au point de se confondre, pour les générations suivantes, "avec l'idée même de révolution"? Récit des mois qui précèdent "l'affaire des canons", puis récit au jour le jour et heure par heure quand le rythme des événements s'accélère, La proclamation de la Commune brosse le portrait fascinant du Paris insurgé : des femmes de Montmartre qui envahissent les rues pour désarmer les soldats, à ces prolétaires anonymes qui prennent la parole au nom du quartier, du club ou du bataillon de la garde nationale. Malgré son oeuvre inaboutie, ses échecs militaires ou ses contradictions idéologiques, la Commune reste pour Henri Lefebvre un moment unique de "révolution totale", et son héritage est immense : transformation de la vie quotidienne, critique radicale de l'Etat et "suprême tentative de la ville pour s'ériger en mesure et norme de la réalité humaine", elle est aussi "la plus grande fête du siècle et des temps modernes". Fête populaire et citadine bouleversant le temps, l'espace et les rapports sociaux, telle fut la forme spontanée du soulèvement des masses parisiennes qui donne son "style" à la Commune."
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La léproserie Saint-Lazare, signalée pour la première fois en 1122, était située à proximité de la ville de Paris, dans le faubourg Saint-Laurent. Elle devint en 1632 le berceau de la congrégation de la Mission que saint Vincent de Paul avait fondée quelques années auparavant. D'imposants bâtiments furent alors construits pour abriter une importante communauté. La petite église gothique accolée aux nouveaux bâtiments reçut la tombe du saint fondateur, devenant un haut lieu de pèlerinage que des tableaux de grands maîtres devaient dignifier. La maison et son clos attenant, qui comptait encore 52 hectares de terres en 1789, étaient devenus un domaine préservé dans un Paris toujours plus densément peuplé. Par la suite, cet espace subit des transformations marquantes au cours des XIXe et XXe siècles. Accueillant d'importants projets de lotissement dès la Restauration (Nouveau Quartier Poissonnière), ce quartier situé près de la gare du Nord fut l'objet, sous le Second Empire, de réaménagements dont James de Rothschild est le principal acteur. Transformée tour à tour en prison puis en hôpital, la maison survécut aux aléas de l'histoire jusqu'à la démolition partielle des bâtiments en 1940. Seule la nouvelle chapelle et l'infirmerie bâties par Louis-Pierre Baltard témoignent encore aujourd'hui de l'existence du clos Saint-Lazare. Une infirmerie récemment restaurée par la Ville de Paris et qui abrite depuis 2015 la médiathèque Françoise-Sagan. C'est non pas tant l'histoire de la prison pour femmes qui vit passer Louise Michel et Mata Hari que ce livre tente d'éclaircir, que celle de la maison Saint-Lazare et de son clos et, à travers elle, l'économie de la maison mère d'une des principales congrégations de la France d'Ancien Régime et son adaptation à différents usages.
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Le rabat de couverture indique : "1832 : tandis que Paris vibre, vacille et gronde sous les coups redoublés de l'épidémie et de la guerre des rues, Adélaïde s'ennuie. Elle frémit dans son salon à la lecture des journaux, se délecte du chocolat que sa domestique lui rapporte de chez Marquis, s'émerveille en recluse des oiseaux du Jardin des Plantes où elle vit, loin des barricades où Gavroche meurt. Émilie se bat et débat du côté de Ménilmontant et dans les cafés enfumés pour faire entendre la cause féministe chez les saint-simoniens. Louise, marchande ambulante du centre de Paris, atteinte du choléra puis soupçonnée d'avoir participé à l'insurrection, est sans cesse contrainte à faire face - au commissaire, au juge, au médecin, au directeur de sa prison. Lucie enfin, la mystique, jouit en son corps et du corps de Jésus derrière les murs d'un couvent, puis le choléra l'emporte. C'est dans la compagnie des archives que Thomas Bouchet a pratiqué jusqu'ici son travail d'historien. Il s'appuie cette fois, en outre, sur les ressources de la fiction. Les quatre voix qu'il entrelace composent une histoire sensible et sociale. Son texte met les sens en éveil ; dans le Paris de naguère, il donne chair à des visions du monde, à de douces rêveries, à d'intolérables douleurs."
Paris (France) --- Histoire --- History
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"Dans la plus belle ville du plus beau pays, princes et princesses d’Europe sont en quête d’émerveillement, de salut et de gloire. Les néons de Brecht Evens se fondent dans les illusions de ses héros. Ils sont dans la fleur de l’âge... et c’est une nuit d’été."--Résumé de l'éditeur.
Fêtes --- Paris (France)
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1832 : tandis que Paris vibre, vacille et gronde sous les coups redoublés de l'épidémie et de la guerre des rues, Adélaïde s'ennuie. Elle frémit dans son salon à la lecture des journaux, se délecte du chocolat que sa domestique lui rapporte de chez Marquis, s'émerveille en recluse des oiseaux du Jardin des plantes où elle vit, loin des barricades où Gavroche meurt.Émilie se bat et débat du côté de Ménilmontant et dans les cafés enfumés pour faire entendre la cause féministe chez les saint-simoniens. Louise, marchande ambulante du centre de Paris, atteinte du choléra puis soupçonnée d'avoir participé à l'insurrection, est sans cesse contrainte à faire face – au commissaire, au juge, au médecin, au directeur de sa prison. Lucie enfin, la mystique, jouit en son corps et du corps de Jésus derrière les murs d'un couvent, puis le choléra l'emporte.C'est dans la compagnie des archives que Thomas Bouchet a pratiqué jusqu'ici son travail d'historien. Il s'appuie cette fois, en outre, sur les ressources de la fiction. Les quatre voix qu'il entrelace composent une histoire sensible et sociale. Son texte met les sens en éveil ; dans le Paris de naguère il donne chair à des visions du monde, à de douces rêveries, à d'intolérables douleurs.
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