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This book discusses slow cinema, a contemporary global production trend that has recently gained momentum in film theory and criticism. Slow films dispense with narrative progression in favour of a contemplative mood, which is stretched out to the extreme in order to impel viewers to confront cinematic temporality in all its undivided glory. Despite its critical reputation as an oblique mode of film practice, slow cinema continues to attract, challenge and provoke audiences. Focusing on filmmakers Béla Tarr, Tsai Ming-liang and Nuri Bilge Ceylan, this book identifies nostalgia, absurd humour and boredom as intrinsic dimensions of slow cinema and explores the ways in which these directors negotiate local filmmaking conventions with the demands of a global cinephile niche. As the first study to treat slow cinema both as an aesthetic style and as an institutional discourse, Poetics of Slow Cinema offers an illuminating perspective on the tradition’s historical genealogy and envisions it with a Janus-faced disposition in the age of digital technologies — lamenting at once the passing of difficult, ambiguous modernist film and capitalizing on the yearning for its absence
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« S’il est question de bobines qui trouvent à s’accorder, de sons rencontrant l’image, c’est que ces notes furent d’abord écrites dans le secret des premiers films tournés en super 8. […] Il faut ainsi les lire comme un chant d’amour. Intimement. » Jean-Claude Rousseau réalise des films depuis Jeune femme à sa fenêtre lisant une lettre en 1983 – d’abord en super 8, puis en numérique à partir de Lettre à Roberto (2002). Proche de Danielle Huillet et Jean-Marie Straub, plusieurs fois primé dans les festivals les plus importants (Locarno, FidMarseille, Entrevues de Belfort…), il construit une oeuvre personnelle, contemplative, émouvante, montrée entre autres au Centre Pompidou, à la New York University, à la Cinémathèque royale de Belgique, au Fresnoy… Parmi ses films essentiels : Keep in touch (1987), Les Antiquités de Rome (1989) La Vallée close (1997), De son appartement (2006)… Parallèlement, Jean-Claude Rousseau écrit sur le cinéma, nourrissant une pensée riche, exigeante, faisant le lien entre les pratiques.Les Draps pliés du grand lit, passionnante réflexion sur l’art, le temps, l’espace, est composé de ses « notes sur le cinématographe ».
Cinéma --- Philosophie et cinéma. --- Esthétique.
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Quelle peut être la part du cinéma, en tant qu'il est une puissance agissante et non pas seulement un observateur du présent, concerné, souvent consterné, plus rarement enthousiaste, pas seulement un témoin, donc, et moins encore un miroir ou un reflet du moment (ou de l'époque), quelle part le cinéma peut-il prendre à la reconfiguration d'un peuple et à sa relance ? " Jean-Gabriel Périot le souligne dans la préface de cet ouvrage : Alain Brossat répond aux questions qu'il pose en proposant une traversée inédite de l'histoire du cinéma.Pour lui, il n'y a politique dans un film qu'à la condition que ce film soit lieu de l'inscription d'un peuple. Il ne s'agit pas tant de discerner ce qu'est le peuple, voire un peuple, que de dessiner les nom- breuses figures au fil desquelles se produisent le surgissement ou le délitement, la composition ou l'émiettement, l'apparition ou la disparition d'un peuple. Le cinéma doit tenir une position, ce qui est bien plus qu'adopter un point de vue et, davantage encore, que défendre une opinion.Tenir une position, c'est ce qui permet à un film de réintensifier un événement en associant cette capacité à la présence d'un peuple. Par contraste avec le cinéma du roman national destiné à relancer le peuple de l'Etat, le cinéma du peuple n'enseigne rien, n'exalte ni n'exhorte. Il transmet de l'expérience collective et il le fait à hauteur de l'homme ordinaire ; une expérience qui a certes l'histoire et la vie politique comme milieux, mais aussi les relations sociales, le travail, les épreuves subies en commun, les routines et l'inattendu...L'histoire de ce cinéma du peuple que raconte Alain Brossat n'est pas une histoire achevée. Rejetant la litanie du "c'était mieux avant", il ne voit aucun motif à désespérer du cinéma et de ses capacités agissantes. Comme les peuples se rappelleront toujours au bon souvenir de leurs gouvernants, le cinéma ne sera jamais totalement soumis.
Cinéma et politique. --- Philosophie et cinéma. --- Histoire du cinéma.
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Cinéma et politique --- Cinéma --- Aspect social
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"De 1955 à 1965 le cinéma a vécu sur papier dans une forme aujourd'hui oubliée : le ciné-roman-photo. Tombé dans un oubli certain, le ciné-roman-photo est la reprise d'un film authentique, réellement projeté dans les salles, sous forme de roman-photo. Ce livre propose une variation nouvelle et une réécriture très singulière de ce genre historique. Il radicalise l'idée de réemploi et de réécriture en utilisant exclusivement des images déjà publiées appartenant à la collection privée de l'auteur.300 photogrammes ont été sélectionnés parmi une centaine de ciné-romans-photos. Michelangelo Antonioni et Luchino Visconti y côtoient Alfred Hitchcock et Jacques Demy, mais aussi un grand nombre de réalisateurs moins connus, actifs dans tous les genres du cinéma (western, comédie, horreur, SF, drame historique, etc.). De même, le montage et la mise en pages des photogrammes dévoilent la diversité des ciné-roman-photos de l'époque. Une fille comme toi propose une plongée dans les univers cinématographiques qui capturèrent l'imaginaire d'une époque en même temps qu'une approche critique du genre par le biais de courts essais. C'est une œuvre hybride qui célèbre un genre méconnu : une collection privée de plus de 1 500 magazines a été remixée, de manière à créer un film qui n'a jamais existé, mais dont on reconnaît pourtant toutes les scènes."--Site web de l'éditeur.
Roman-photo --- Cinéma
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Le photographe Simon Edelstein parcourt le monde sur les traces des cinémas abandonnés aux USA, en France, en Italie, en Inde, au Maroc, à Cuba. Il s'est rendu dans plus de trente pays, patrouillant les quartiers lointains de nombreuses villes pour retrouver sur les façades usées par le temps et l'oubli les stigmates des splendeurs. Si la foule du samedi soir ne converge plus vers ces salles usées par le temps et l'oubli et endormies sous la poussière des ans, elles dévoilent sous l'objectif de Simon Edelstein la belle archéologie de leurs façades, de leurs entrées, de leurs vastes salles de navires à la dérive. Ce livre est un hommage à ce qui demeure de l'âge d'or des salles de cinémas du monde entier. Mais aussi à leur silence et à leur résistance.
Salle de cinéma --- Ruine
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Première étude exhaustive consacrée au sujet, ce livre retrace l'évolution du cinéma expérimental suisse du milieu des années 1960 au début des années 2000. Abordant les relations entre l'art contemporain et le cinéma underground, les films formels et amateurs, la vidéo, le « cinéma élargi » et la performance, la scène locale et les influences extérieures, il souligne également le rôle vital des écoles d'art, des festivals et de divers protagonistes clés. Avec des essais sur Robert Beavers et Gregory Markopoulos, Peter Liechti, le cinéma à la Kunsthalle Bern sous la direction de Harald Szeemann, Annette Michelson, Tony Morgan et Kurt Blum, le volume propose ainsi une archéologie active permettant de repenser le cinéma alternatif et d'avant-garde en Suisse et d'ouvrir de nouvelles perspectives.
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1.500 longs-métrages ont été produits en France entre 1929 et 1939. Environ un tiers des œuvres concernées a disparu sans espoir de retour, notamment la production de la Paramount française et la majeure partie des coproductions franco-allemandes tournées à Berlin de 1931 à 1934. Reste un peu plus de 1.000 films, dont 600 ou 700 ont fait l’objet, sinon de rééditions en bonne et due forme, du moins d’une remise avérée dans les circuits de diffusion pris au sens large. C’est ce corpus, mêlant œuvres mythiques et absolues raretés, que nous nous proposons d’explorer, page à page, film à film. Nous ouvrons ainsi une parenthèse dans la publication – toujours d’actualité – de notre Encyclopédie des Longs-Métrages 1929-1979, pour mieux axer, l’espace de trois ou quatre volumes, nos recherches sur cette période-charnière de l’Histoire du Cinéma, du cinéma français et du cinéma tout-court. Trésors du Cinéma Français des Années Trente n’a d’autre objectif que de remettre un certain nombre de pendules à l’heure, et d’émettre l’hypothèse que – peut-être – un Baroncelli, un Bernard, un Berthomieu, un Boyer hautement réussis valent mieux, à tout prendre, qu’un Pagnol médiocre (il y en eut) ou qu’un Renoir raté (même remarque). Notre mot d’ordre, en tout état de cause, a été de donner la priorité aux films, qu’ils soient réussis, un peu moins, ou, pour une minorité d’entre eux, pas du tout. Le plaisir pris à voir et à revoir sur copie l’essentiel des films figurant au sommaire du présent ouvrage, s’est, d’une manière générale, avéré très vif durant le semestre entier qu’a duré sa rédaction, et les (re)visionnages, sur la toute dernière ligne droite, d’Amok (Fédor Ozep, 1934) d’Anne-Marie (Raymond Bernard, 1935) ou Ciboulette (Claude Autant-Lara, 1933), vrais et grands films d’auteur(s) dans les trois cas, en passant par ceux de L’Ami Fritz, La Belle de Montparnasse ou de Cavalcade d’amour, n’ont pas été les moins excitants du lot.
Cinéma --- Films --- Comptes rendus
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