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Le désir d'être humble ! Voilà ce qui taraude Benoît Standaert depuis son plus jeune âge. A partir d'août 2007, ce moine bénédictin, devenu ermite, a relevé dans les pages d'un cahier ses expériences et ses réflexions pour approfondir sa quête. Dans le sillage des Pères du désert ou des mystiques flamands Ruysbroeck et Dom André Louf, ce moine d'aujourd'hui rappelle que le secret de la foi, de la joie chrétienne, n'a qu'un nom : l'humilité. C'est par l'humilité qu'on devient pauvre de coeur et c'est par l'humilité que l'Evangile vaincra toutes les résistances, à commencer par les nôtres ! Un plaidoyer remarquable pour un christianisme humble.
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Christian special devotions --- Spiritualiteit --- Geloofsbeleving --- Meditatie
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"Le Nouveau Testament, petite bibliothéque composée de vingtsept écrits, retenus au terme de trois générations du mouvement chrétien, est entièrement écrit en grec. Ces écrits sont beaux. Ils ne disent pas seulement le vrai, leurs auteurs arriven à le dire avec art. C'est que l'événement christique a provoqué une littérature de qualité. Ceux qui ont cherché à témoigtner de leur expérience dans leur rencontre avec ce Jésus, reconnu comme Christ, ont été poussés de l'intérieur à des formulations tout sauf banales. Osons donc une analyse esthétique du Nouveau Testament. Pour chaque auteur et chaque livre en particulier le commentateur offre quelques échantillons particulièrement révélateurs du bien dit et du Beau. Stylistique, rhétorique, art de la composition, la forme sous tous ses aspects, depuis les plus petites unités comme les syllabes jusqu'au projet littéraire d'une œuvre entière, comme Luc-Actes, font l'object de ce commentaire." --
Bible as literature --- Bible --- Language, style --- Socio-rhetorical criticism
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Curieusement, à notre surprise à tous, l’amitié n’est pas un thème biblique central. Bien des encyclopédies qui traitent de toute la Bible n’ont pas, comme porte d’entrée : « l’amitié », « die Freundschaft », « Friendship » ! Et si l’on se concentre sur le mot comme tel, on ne le retrouve que rarement. Ainsi dans tout le Nouveau Testament le mot grec philia qui dit justement « amitié », n’apparaît qu’une seule fois et encore dans un sens avant tout péjoratif : « Ne savez-vous pas que l’amitié envers le monde est inimitié contre Dieu » (Jc 4,4) ! Mais l’absence du mot ne signifie pas encore l’absence de la réalité ! Ce fut pour moi une recherche passionnante d’examiner d’abord dans le Premier Testament, puis dans le Nouveau tout ce qu’on vit et pratique comme amitié. Qu’en pensent les prophètes, les sages, les milieux sacerdotaux ? Comment Paul, Luc, Jean s’y retrouvent-ils ? Et Jésus lui-même ? Partons en excursion et découvrons les fleurs de l’amitié dans ce qui au premier abord avait l’allure d’un désert. Or chacun sait que la moindre fleur dans le creux d’un rocher après de longues promenades arides au désert, est une grande joie !Amitié et fraternité, en dialectique constante. Thème grec entré progressivement dans la révélation biblique et bien assimilé dans le milieu chrétien ultérieur. Aujourd’hui encore bien des milieux rêvent d’une Église d’amis, avec réciprocité dans la confiance et la transparence. « Elle coûte aux yeux du Seigneur la mort de ses amis » (Ps 116,15).
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