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Pourquoi la mort de quelqu’un est-elle toujours une sorte de scandale ? Pourquoi cet événement si normal éveille-t-il chez ceux qui en sont les témoins autant de curiosité et d’horreur ? Depuis qu’il y a des hommes, comment le mortel n’est-il pas habitué à ce phénomène naturel et pourtant toujours accidentel ? Pourquoi est-il étonné chaque fois qu’un vivant disparaît, comme si cela arrivait chaque fois pour la première fois ? Telles sont les questions que pose ce livre sur la mort. Dans chacun de ses ouvrages, Vladimir Jankélévitch a essayé de saisir le cas limite, l’expérience aiguë : à son point de tangence avec ces frontières, l’homme se situe à la pointe de l’humain, là où le mystère, l’ineffable, le « je ne sais quoi », ouvrent le passage de l’être au néant, ou de l’être à l’absolument-autre. Il s’attache ici à analyser un événement considéré dans sa banalité et dans son étrangeté à la fois, dans son anomalie normale, son tragique familier, bref, dans sa contradiction. « Si la mort n’est pensable ni avant, ni pendant, ni après, écrit Jankélévitch, quand pourrons-nous la penser ? » Et il entreprend cette tâche périlleuse : conter l’inénarrable, décrire l’indescriptible
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Un rabbin est confronté chaque jour au mystère de la mort. Pour accompagner les mourants et réconforter les endeuillés, il tente de transmuer l'inéluctable, d'y trouver du sens : « Je me tiens aux côtés de femmes et d'hommes qui, aux moments charnières de leurs vies, ont besoin de récits », écrit Delphine Horvilleur. Ce livre de consolation tresse étroitement trois fils – le conte, l'exégèse et la confession : la narration d'une existence interrompue, la manière de donner une signification à cette mort à travers les textes de la tradition, et l'évocation d'une blessure intime ou la remémoration d'un souvenir enfoui. Les textes sacrés ouvrent un passage entre les vivants et les défunts, et « le rôle d'un conteur est de se tenir à la porte pour s'assurer qu'elle reste ouverte », nous invitant ainsi à faire la paix avec nos disparus et avec notre propre histoire.Un essai lumineux et intime. Libération.Une réflexion éblouissante. L'Obs.Un puissant hymne à la vie. Le Monde.PRIX BABELIO NON-FICTION 2021
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Ce volume présente pour la première fois une série récemment redécouverte de dessins au crayon datant du début des années 1990, à travers lesquels Wyeth a imaginé ses propres funérailles. Les chapitres rédigés par d'éminents historiens de l'art explorent la signification de la représentation de sa propre mort dans le contexte de la fin de carrière de Wyeth et de l'art américain contemporain. L'ouvrage établit un lien entre la série d'enterrements et l'engagement de Wyeth, depuis des décennies, envers la mort en tant que sujet artistique dans la peinture, ses relations avec les modèles représentés et son utilisation du dessin comme moyen d'expression et d'exploration. Elle insère en outre l'œuvre de Wyeth dans une conversation plus large sur la mortalité et l'autoportrait qui s'est développée dans l'art américain depuis les années 1960, et comprend des œuvres de Duane Michals, Andy Warhol, David Wojnarowicz, George Tooker, Janaina Tschäpe et Mario Moore. Si ses contemporains ont posé diverses questions existentielles en illustrant leur propre disparition, celles qui interrogent l'universalité de la mort en tant qu'expérience humaine sont devenues particulièrement urgentes à la suite de la pandémie de coronavirus et de la prise de conscience nationale des inégalités raciales qui a eu lieu en 2020. "Andrew Wyeth : Life and Death" aborde ainsi les idées sur la perte, le deuil, la vulnérabilité et l'(im)mortalité qui imprègnent le moment présent. Le peintre américain Andrew Wyeth (1917-2009) a vécu toute sa vie dans sa ville natale de Chadds Ford, en Pennsylvanie, et dans sa résidence d'été au milieu de la côte du Maine. Il a consacré sept décennies de sa carrière à peindre la terre et les gens qu'il connaissait et auxquels il tenait. Célèbre pour sa peinture à la détrempe Christina's World (1948), Wyeth a navigué entre représentation artistique et abstraction d'une manière très personnelle.
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