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Etude de séquelles psychologiques de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, outil : le test de Rorschach, comparaison de personnes résidant à Tchernobyl (symptomatologie atypique et P.T.S.D.) avec des personnes résidant à Kiev
CATASTROPHE --- TEST DE RORSCHACH --- VECU PSYCHOLOGIQUE --- CATASTROPHE --- TEST DE RORSCHACH --- VECU PSYCHOLOGIQUE
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Catastrophe naturelle --- Gestion du risque --- Risque technologique --- Catastrophe naturelle --- Gestion du risque --- Risque technologique
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SYS General Systematics --- catastrophe theory --- evolution --- extinction --- geology --- systematics
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Cet album est un biopic. Mais pas le biopic d’une célébrité ou d’un personnage historique remarquable, c’est le biopic d’un charbonnage. Et qui pouvait mieux raconter son histoire que lui-même ? La mythologie des gueules noires est née au XIXe s. avec la révolution industrielle. La Belgique fut à cette époque la deuxième puissance économique mondiale après l’Angleterre. La raison de cette richesse tient en un mot : charbon. Le premier or noir. Ce charbonnage n’est pas n’importe quel charbonnage, son nom est étrange : le Bois du Cazier. Il a été rendu tristement célèbre à cause d’une tragédie en 1956. 262 victimes. Aujourd’hui, c’est devenu un musée, un lieu de mémoire. 2022, ce sont trois anniversaires pour cette mine. Les dix ans du classement au patrimoine mondial de l’UNESCO, les vingt ans du mémorial et les deux cents ans des débuts de la concession charbonnière. Le Bois du Cazier est un personnage qui a traversé deux siècles. Si le point culminant est la tragédie d’août 56, cette mine a une histoire parallèle, celle de la révolution industrielle au milieu du XIXe s., des revendications sociales, des changements de société, de la culture européenne naissante, de l’immigration. Symbole ultime de cette course économique, de la richesse des uns, de l’extrême pauvreté des autres, du développement de la nation belge. Et puis son déclin. L’album raconte la vie d’un charbonnage, son agrandissement, ses modernisations successives… Dangers à tous les étages, luttes et accidents, course à la productivité mais aussi camaraderie et héroïsme au quotidien. L’histoire débute par une visite scolaire du mémorial. En d’autres temps, des enfants y ont travaillé.
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We live in an era where the university system is undergoing great changes owing to developments in financing policies and research priorities, as well as changes in the society in which this system is embedded. This change toward a more market-oriented university, which also has immediate effects in academic peripheries such as the Balkans, the Middle East, or South-East Asia, is of great influence for the pedagogical practice of "less profitable" academic areas such as the Humanities: philosophy, languages, sociology, anthropology, history. Because of the absence of a historically grounded establishment of the Humanities, academic peripheries, usually accompanied by a weak civil society infrastructure, seem to offer the most fertile ground for rethinking the Humanities, their pedagogical practice, and their politics, as well as the greatest threats, such as the ongoing capitalization of research, and profitability as the norm of educational achievement. The sprawling presence of for-profit universities and in academic peripheries such as Albania and Kosovo is indicative of this problematic, as are consistent underfunding of universities and the relentless budget cuts in American and English, and to a lesser extent European, universities. Motivations for this ongoing attack on the university are often driven by a political system or a politics with an aggressive stance to critical thought.
Theory and practice of education. --- pedagogy --- humanities --- philosophy --- catastrophe --- university
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La couverture indique : "Le 11 mars 2011 un tsunami ravage la côte nord-est du Japon. Les jours suivants, trois réacteurs explosent dans la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi. À cette catastrophe s’en est ajoutée une autre : la gestion gouvernementale du désastre. Loin d’être un « accident » désormais « sous contrôle », le drame se poursuit par mille conséquences plus ou moins visibles : pollution, déplacements de populations, bouleversement des intimités. À travers le récit de six activistes japonais, ce livre tente de penser autrement le désastre nucléaire. Un phénomène qui remet en cause la texture même de la matière doit, aussi, être abordé comme une catastrophe métaphysique."
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Qu'a-t-on "vu" de la catastrophe de Fukushima ? Ce volume sur le cinéma de Fukushima, le premier du genre, interroge les conditions de visibilité et d'invisibilité de la catastrophe, dans les films tournés sur place immédiatement après et durant les deux années qui l'ont suivie. Première étude sur la (re)présentation cinématographique de l'une des catastrophes majeures de l'histoire contemporaine, ce livre retourne la thèse sur l'impossibilité de représenter la catastrophe nucléaire. L'hypothèse centrale est ici que "Fukushima" ouvre sur un monde durablement abîmé qui requiert de nous de nouvelles capacités d'attention et de présence au monde. Et que les films de Matsubayashi, Hamaguchi, Fujiwara (entre autres), peuvent nous y éduquer. La lecture philosophique des films réalisés depuis Fukushima met en évidence, finalement, nos dénis et aveuglements contemporains face aux violences lentes et aux catastrophes ordinaires.
Catastrophe nucléaire de Fukushima (2011) --- Cinéma --- Au cinéma --- Thèmes, motifs.
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Recherche d'hypothèses explicatives sur la façon dont se déroulent ces séjours.
CATASTROPHE --- VICTIME --- FAMILLE D'ACCUEIL --- ENFANT --- ADOLESCENT --- VECU PSYCHOLOGIQUE --- EVALUATION --- CATASTROPHE --- VICTIME --- FAMILLE D'ACCUEIL --- ENFANT --- ADOLESCENT --- VECU PSYCHOLOGIQUE --- EVALUATION