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Akerman, Chantal --- Motion picture producers and directors --- Producteurs et réalisateurs de cinéma --- Biography. --- Biographies --- Akerman, Chantal. --- kunst --- film --- Frankrijk --- België --- Akerman Chantal --- filmregisseurs --- twintigste eeuw --- 791.471 AKERMAN --- 791.430944 --- Exhibitions --- Producteurs et réalisateurs de cinéma --- Belgium --- Akerman, chantal (1950-....) --- Movies --- Film directors --- Book --- Personal documents
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French literature (outside France) --- 791.471 AKERMAN --- CDL
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Au début c'était un cataclysme avec de la brûlure et de l'exaltation. Des mots, toujours les mêmes sans cesse répétés, j'ait fait connaissance avec les mots d'amour d'une langue ancienne. J'ai tant parlé. J'aurais pas dû. Oui, je revivais. J'arrêtais de voir ma mère mourir. J'arrêtais de ne pas vivre. Il y avait de la vie en moi. Toute une vie. Une pleine vie. Dans cet autoportrait écrit à vif, dans la brûlure, l'intensité et la crudité du quotidien, Chantal Akerman nous confie pour la première fois la matière même de toute son oeuvre, de toute sa vie. Depuis son premier court-métrage à dix-huit ans, Saute ma ville, en 1968, et ses premiers films, Je, tu, il, elle en 1974 ou le film culte Jeanne Dielman, en 1975, avec Delphine Seyrig, jusqu'à son dernier film librement réalisé à partir du roman de Conrad en 2012, La folie Almayer, en passant par ses installations et ses carnets de voyages, films documentaires en Russie, à New York ou dans les pays de l'Est, elle n'a jamais cessé de décrire l'enfermement, la répétition avec l'autre, le désir d'un ailleurs, le vertige de la folie. Ma mère rit est une magnifique plongée dans le coeur, le rire, les joies et les blessures de Chantal Akerman.
Motion picture producers and directors --- Akerman, Chantal --- Akerman, Chantal. --- Family. --- Ackerman, Chantal --- Акерман, Шанталь --- Akerman, Shantalʹ --- film --- filmregisseurs --- twintigste eeuw --- eenentwintigste eeuw --- België --- Akerman Chantal --- 791.471 AKERMAN --- Motion picture producers and directors - France - Biography
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Quelque part en Asie du Sud-Est, au bord d'un fleuve tumultueux, un Européen s'accroche à ses rêves de fortune par amour pour sa fille. Une histoire de passion, de perdition et de folie, adaptée du roman de Joseph Conrad.
Réalisatrice --- Asie --- Mélodrame
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Golden Eighties :Dans l'univers pimpant et coloré d'une galerie marchande, entre un salon de coiffure, un café, un cinéma et une boutique de confection, employés et clients ne vivent et ne s'occupent que d'amour: ils le rêvent, le disent, le chantent, le dansent. Rencontres, retrouvailles, trahisons, passions, dépits. Déclinant toutes les formes de la séduction et du sentiment amoureux, les histoires se croisent et s'entremêlent, commentées par les choeurs malicieux des shampouineuses et d'une bande de garçons désoeuvrés.Toute une nuit :Bruxelles toute une nuit. Moite. Des rues, des bars, des chambres. Des corps. Des fragments comme des éclairs. Vifs, intenses, incontrôlables, éphémères. Éblouissants. Des éclairs fractionnant une nuit bruxelloise. Des coups de foudre, des corps de foudre. Des fragments d'histoires, d'amour ou de sexe, pris à différents moments. Des couples qui se font, se défont, (se con)fondent au cours d'une nuit chaude. Un plongeon dans une nuit d'urgence, d'abandon, désir ou fuite. Une nuit comme étreinte, éreintée.
Réalisatrice --- Comédie musicale --- Bruxelles
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Chantal Akerman filme un spectacle mis en scène par Françoise Merle en 1986."11 février 1963, Sylvia Plath, poétesse américaine, trente ans, mariée, deux enfants, se donne la mort. Une longue et minutieuse correspondance la reliait jusque à sa mère. Françoise Merle avait monté un spectacle en 1984 autour de cette correspondance, cantate à deux voix où celle de la mère et celle de la fille se confondaient, se répondaient, se séparaient ou se cherchaient. Chantal Akerman a suivi ce chemin, de la folie à la mort, chemin constamment balisé par cet échange de voix fragiles,où se dit la difficulté d'écrire, les douleurs et les bonheurs de la vie d'amante et de mère. [..] Il y a dans ce film vidéo une telle intensité de regard, un tel désir d'échanger des mots qui réconfortent, et aussi une telle volonté de meurtrissure, que les images, que les sons, croisés les uns aux autres, finissent par faire mal. De ces incessants croisements naît une émotion qu'il est difficile de contenir."
Réalisatrice --- Théâtre --- Correspondance --- Femme
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