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Allergies sévères des enfants aux médicaments : approche pharmacologique
Authors: --- ---
Year: 2014 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de pharmacie et des sciences biomédicales,

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Abstract

The causes of allergies in children are multiple: latex, certain foods, mosquito bites and drugs. These reactions can be mild (stage 1 ) to severe (stage 3 and 4). Among these severe allergies, we find most freq uently anaphylactic reactions, angio-oedema, vasculitis, toxic epidennal necrolysis and DRESS syndrome. The symptoms are not the same for each of these syndromes, but these serious allergie reactions are often accompanied with skinned, respiratory , digestive, cardiac and sometimes neurological effects. First we consider here drugs that are of more responsible for hypersensitivity and secondly, those that are most often prescribed to children: antibiotics (beta -lactams, quinolones, macrol ides, vancomycin, and sulfonamides), corticosteroids, NSAIDs , anesthetics and vaccines. lt is anaphylaxis that occurs most often in the context of severe hypersensitivity to medicines for children. Treatment depends on the stage of severity of the symptoms. ln stage 1, the pharmacist may dispense a simple antihistamine new generation respecting dosages. At more serious stages, he will refer to the doctor who will administer epinephri ne in case of impact and / or corticosteroids, antihistamines or beta blockers according to edema and inflammation. There are different methods for diagnosis: skin tests, in vitro assays, provocat ion tests, ... Among these techniques, it is the anamnesis of the doctor/pharmacist who will be the most important. Finally, the pharmacist will mind to ask the right questions to the patient to detennine his background and perceive a possible cross allergy if he takes other drugs. If the child has already presented a severe allergy to a drug, it won 't be administered anymore (wearing of a bracelet indicating his allergy). Desensitization is used if there is no alternative treatment. Les causes des allergies chez les enfants sont multiples : latex, certains aliments,piqures de moustiques et les médicaments. Ces réactions peuvent être légères (stade 1) à sévères (stade 3 et 4). Parmi ces allergies sévères, on retrouve, le plus fréquemment, les réactions anaphylactiques, l'oedème de Quinck, la vascularite, la nécrolyse épidémique toxique et le syndrome de Dress. Les symptômes ne sont pas identiques pour chacun de ces symptômes mais ces réactions allergiques graves s'accompagnent souvent d'atteintes cutanées, respiratoires, digestives, cardiaques et même parfois neurologiques. On considère, ici, d'une part les médicaments qui sont davantage responsables de l'hypersensibilité et d'autre part, ceux qui sont le plus souvent prescrits aux enfants : les antibiotiques (beta-lactamines, quinolones, macrolides, vancomycine, et sulfamidés), les corticoïdes, les AINS, les anesthésiants et les vaccins. C'est l'anaphylexie qui se présente le plus souvent dans le cadre des hypersensibilités sévères des enfants aux médicaments. Le traitement dépendra du stade de gravité des symptômes. Au stade 1, le pharmacien peut délivre un simple anti-histaminique de nouvelle génération en respectant les posologies. À des stades plus graves, il référa au médecin qui administra de l'adrénaline en cas de choc et/ou des corticoïdes, antihistaminiques et bêta-bloquants en fonction de l'oedème et de l'inflammation. Il existe différentes méthodes pour établir un diagnostic : tests cutanés, dosages in-vitro, test de provocation...Parmi ces techniques, c'est l'anamnèse du médecin/du pharmacien qui sera la plus importante. Enfin le pharmacien, prendra soin de poser les questions adéquates au patient afin de déterminer ses antécédents et de percevoir une éventuelle allergie croisée si celui-ci prend d'autres médicaments.Si l'enfant a déjà présenté une allergie sévère à un médicament, celui-ci ne sera plus administré (port d'un bracelet indiquant son allergie). La désensibilition sera utilisée s'il n'y a pas d'alternative au traitement.


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Un questionnaire d'audit basé sur un modèle théorique peut-il être un outil d'amélioration de l'organisation des urgences pédiatriques ?
Authors: --- --- ---
Year: 2016 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de santé publique,

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Abstract


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Les méningo-encéphalites aiguës de l'enfant
Authors: --- ---
Year: 2013 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract


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Les infections à méningocoques chez l'enfant
Authors: --- ---
Year: 2013 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de pharmacie et des sciences biomédicales,

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Abstract

Meningococcal infections are a major cause of severe bacterial infectious disease in children.Infection can result in differentforms and the mostcommorüsmeningitis.There are alsopredisposing to infection such as poverty, overcrowding or immune deficiency. These infections usuallyoccurduringlatewinter and earlyspring. Theymainly affect childrenunder 5 years and adolescents aged 15 and 18 years. The severity of the infection depends on the host pathogen and environrnentalfactors.Neisseria meningitidis, the causative agent of meningococcal infections,is a gram-negativediplococci. There are thirteendifferentserogroups .Transmission is by respiratorydroplets due to close contact between people. Recognition of the symptoms of the infection is very important becauseitcanadvance to deathwithinhours.The features are fever, headache, photophobia, and purpura.In very young children, we can observe abulging fontanel.The diagnosisisbased on finding the bacteria in the cerebrospinalfluid and skin lesions.The childdiagnosedwithrneningococcal infection shouldberapidlyundertreatment to avoid complications. Preventionisbased on the isolation of the infected for 24 hoursafter the antibiotics have been administeredperson. It isalsonecessary to treat people in close contact with the patient .Vaccination against mening ococcaldiseaseis reconunended in Belgium. It onlyprovides protection only for serogroupC.Thereisanother vaccine againststrains A, C, W135 thatisreconunendedwhen traveling in Africa. Les infections à méningocoques sont l'une des principales causes de maladie infectieuse bactérienne sévère chez l'enfant. Une infection peut se traduire par différentes et la plus courante est la méningite. Il existe également des facteurs prédisposant à l'infection comme la pauvreté, le surpeuplement ou un déficit immunitaire. Ces infections surviennent généralement pendant la fin de l'hiver et au début du printemps. Elles touchent majoritairement les enfants de moins de 5 ans et les adolescents entre 15 et 18 ans. La sévérité de l'infection dépend de l'hôte, du pathogène et des facteurs environnementaux. Neisseirameningitdis, l'agent pathogène responsable des infections méningocoques, est un diplocoque à gram négatif. Il existe treize sérogroupes différents. La transmission se fait par des sécrétions suite au contact étroit entre personnes. La reconnaissance des symptômes de l'infection est très importante car elle peut évoluer jusqu'à la mort en quelques heures. Les caractéristiques sont la fièvre, les maux de tête, la photophobie et le purpura. Chez les très jeunes enfants, on peut observer un bombement de la fontanelle. Le diagnostic repose principalement sur la recherche de la bactérie dans le liquide céphalo-rachidien et dans les lésions cutanée. L'enfant admis ou suspecté d'une infection à méningocoque doit rapidement être sous antibiothérapie afin d'éviter les complications. La prévention repose sur l'isolement de la personne infectée pendant 24 à 48 heures après que!'antibiothérapie ; il est nécessaire de traiter également les personnes en contact étroit avec le malade .La vaccination contre le méningocoque est recommandée en Belgique. Il n'offre qu'une protection uniquement pour le sérogroupe C. Il existe un autre vaccin contre les souches A, C, W135 qui est recommandé lors d'un voyage en Afrique.


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La prise en charge du reflux gastro-oesophagien chez l'enfant
Authors: --- ---
Year: 2011 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Gastroesophageal reflux (GER) is the involuntary passage of gastric contents into the oesophagus with or without regurgitation and vomiting. GER is common among the pediatric population, especially among infants. GER is a normal physiologic process that can become pathological. Several pathophysiological mechanisms may be responsible as inappropriate transient relaxations of the lower oesophageal sphincter, insufficient oesophageal clearance or delayed gastric emptying. The symptoms of GERD are varied: digestive symptoms with a possible impact on the child growth, oral symptoms, respiratory and rarely, neurological symptoms. The infant can suffer more subjective symptoms such as crying, irritability, fitful sleep and feeding difficulties. Oesophagitis and apparent life threatening event are complications of GERD. GERD can be diagnosed by pH monitoring and oesophagitis by endoscopy. Non-pharmacologic measures can be recommended as the use of special milk or positioning therapy; carefully, however, because of the risk of sudden death associated with the prone position in infants. Several pharmacologic therapies exist. Proton pump inhibitors are currently the first line treatment. Histamine-2 receptor antagonists act shorter and exhibit tachyphylaxis. Prokinetic agents as well as antacid and surface protective agents are not recommended in the pediatric population. Surgical therapy is also possible Le reflux gastro-œsophagien (RGO) est le passage involontaire du contenu gastrique dans l’œsophage, avec ou sans régurgitations et vomissements. Le RGO est fréquent dans la population pédiatrique, particulièrement chez le nourrisson. Le RGO est un processus physiologique normal qui peut devenir pathologique. Plusieurs mécanismes physiopathologiques peuvent être responsables comme des relaxations transitoires du sphincter œsophagien inférieur inappropriées, une clairance œsophagienne trop lente ou une vidange gastrique retardée. Les symptômes du RGO sont variés: symptômes digestifs avec d’éventuelles conséquences sur la croissance de l’enfant, symptômes buccaux, respiratoires et plus rarement, neurologiques. Le nourrisson présente des symptômes plus subjectifs tels que pleurs, irritabilité, sommeil perturbé et difficultés alimentaires. L’œsophagite et le malaise grave du nourrisson sont des complications du RGO. Le RGO peut être diagnostiqué par pHmétrie et l’œsophagite par endoscopie. Des mesures non-pharmacologiques peuvent être conseillées comme l’utilisation de laits spéciaux ou le traitement positionnel; avec précaution cependant en raison du risque de mort subite associé à la position ventrale du nourrisson. Plusieurs traitements pharmacologiques existent. Les inhibiteurs de la pompe à protons constituent actuellement le traitement de première intention. Les antihistaminiques FI2 agissent moins longtemps et présentent de la tachyphylaxie. Les agents procinétiques ainsi que les antiacides et agents cytoprotecteurs ne sont pas recommandés chez l’enfant. Un traitement chirurgical est également possible.


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La fièvre chez les enfants de moins d'un an
Authors: --- ---
Year: 2011 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Fever, a syndrome characterised by a rise in body temperature at rest above the normal threshold, is a symptom about which dispending pharmacists are frequently consulted for advice and request for medicines. The pharmacist’s response will depend in the first place on the age of the patient. This is because children do not present either the same diseases or the same symptoms as adults. The treatments also vary, particularly for pharmacological reasons. Among these children, those aged less than one year can be considered a special group. This paper is about them. In order to give a suitable reply to such parents, the pharmacist must first ask them to give the age and weight of their child, the temperature he/she is suffering and how it was taken. Readings taken rectally or under the arms, using a traditional clinical or electronic thermometer, are the most reliable. All children younger than 3 months must be seen by a doctor. Additional questions must be asked so that child’s general condition and the presence of associated symptoms can be ascertained; the parents’ replies will guide the pharmacist in how they should be treated. Some children, such as any who are drowsy, will be sent to a medical setting, while others will benefit from advice and treatment at home. Pharmacological treatment is generally justified in order to make the child more comfortable. This is because fever is a defence mechanism against infections; the fear of the fever and of treating it immediately must be overcome. Paracetamol is the first choice due to its efficacy, the rarity of side effects and its price. Ibuprofen is a second line treatment. It is more effective but the clinical benefits of this response have not yet been demonstrated. It is not recommended for patients of less than 6 months and I associated with rather more complications. Acetylsalicylic acid is contraindicated in children of less than two years and must be avoided in cases of chickenpox and flu-like syndromes in those aged from two to five years. The combination of paracetamol and ibuprofen is not advisable under any circumstances because of the lack of studies on the undesirable effects of this combination. The pharmacist must be able to reassure the parents on the incidence of complications directly connected with the fever and give advice on non-drug management, such as making sure that the young patients, whose water balance is particularly fragile, are well hydrated. La fièvre, syndrome caractérisé par l’élévation de la température corporelle au repos au dessus du seuil normal, est un symptôme au sujet duquel le pharmacien d’officine est fréquemment interpellé pour des conseils et des demandes de médicaments. Les réponses du pharmacien vont dépendre en premier lieu de l’âge du patient. Les enfants ne présentent en effet ni les mêmes maladies, ni les mêmes symptômes que l’adulte. Les traitements varient aussi, notamment pour des raisons pharmacologiques. Parmi ces enfants, ceux âgés de moins d’un an constituent un groupe particulier. Ce mémoire s’y consacre. Afin de répondre adéquatement à des parents, le pharmacien doit d’abord leur demander de préciser l’âge de leur enfant, son poids, le degré de température atteint et la manière dont celle-ci a été mesurée. Les mesures faites en rectal, à l’aide d’un thermomètre au Gallium ou électronique sont les plus fiables. Tout enfant de moins de 3 mois doit être vu par un médecin. Des questions supplémentaires doivent permettre de préciser l’état général de l’enfant et la présence de symptômes associés ; les réponses des parents vont guider le pharmacien dans sa prise en charge. Certains enfants, comme ceux qui sont somnolents, seront envoyé en milieu médical tandis que d’autres pourront bénéficier de conseils et d’un traitement à domicile. Le traitement pharmacologique n’est généralement justifié que pour améliorer le confort de l’enfant. La fièvre est en effet un mécanisme de défense contre les infections ; la peur de la fièvre et son traitement immédiat doivent être combattus. Le paracétamol est la molécule de premier choix en raison de son efficacité, de la rareté de ses effets secondaires et de son prix. L’ibuprofène vient en deuxième ligne. Il est plus efficace mais les bénéfices cliniques de cette réponse ne sont pas encore démontrés. Il n’est pas recommandé chez les patients de moins de 6 mois et est associé à un peu plus de complications. L’acide acétylsalicylique est contre-indiqué chez l’enfant de moins de deux ans et doit être évité en cas de varicelle et de syndrome grippal chez celui âgé de deux à cinq ans. L’association du paracétamol avec l’ibuprofène est quant à elle déconseillée de manière systématique en raison du manque d’études sur les effets indésirables de cette combinaison. Le pharmacien doit pouvoir rassurer les parents sur l’incidence des complications directement liées à la fièvre et distribuer des conseils de prise en charge non pharmacologique, dont celui de veiller à une bonne hydratation des petits patients à l’équilibre hydrique particulièrement fragile.


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Traitement médicamenteux de l'hypertension intracrânienne chez l'enfant
Authors: --- ---
Year: 2014 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract


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Certains médicaments joueraient-ils un rôle dans la mort subite du nourrisson ?
Authors: --- ---
Year: 2016 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de pharmacie et des sciences biomédicales,

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Abstract

L'incidence du syndrome de mort subite du nourrisson (MSN) a considérablement diminué ces dernières années grâce à une série de mesures et d'actions. Celles-ci ne parviennent cependant pas à éviter totalement que des enfants de moins d'un an décèdent de manière inopinée en raison de l'étiologie multifactorielle de ce syndrome. Dès les années 80, des médicaments ont été identifiés comme responsables ou potentiellement responsables de mort subite. Des spécialités ont été ainsi retirées du marché ; d'autres se sont vues imposer des restrictions d'âge et d'indication ; chez d'autres enfin, la composition a été revue. Le but de ce mémoire est d'analyser les principaux médicaments, au sein de huit classes préétablies, capables d'induire une MSN et d'explorer les rôles que les pharmaciens et les médecins ont à jouer en ce qui concerne l'administration de médicaments aux nourrissons. Les recherches effectuées mettent en lumière les principaux médicaments administrés à des nourrissons à l'heure actuelle, médicaments qui pourraient, par leurs mécanismes d'action et/ou une pharmacologie particulière en bas âge, jouer un rôle dans ce syndrome. Pour certains médicaments, la relation de cause à effet est évidente ou quasi évidente ; c'est le cas par exemple du Cisapride et de la Codéine. Pour d'autres, la littérature scientifique manque de preuves certaines, en raison de faibles séries ou de case-report ; la Dompéridone, les macrolides et les anti-malariques se retrouvent notamment dans cette catégorie. Des recherches doivent être poursuivies afin de diminuer la part que peuvent jouer les médicaments dans le syndrome de MSN.En ce qui concerne le rôle des professionnels de la santé, le médecin doit être particulièrement attentif lorsqu'il prescrit un médicament potentiellement à risque et prendre les mesures de surveillance qui s'imposent, à domicile ou à l'hôpital. Le pharmacien doit aider le médecin en discutant éventuellement de l'indication du médicament, en lui apportant ses connaissances de pharmacologie et en s'interrogeant sur les interactions médicamenteuses potentielles. Il doit aussi rappeler les signaux d'appel de malaise grave du nourrisson qui justifient que l'enfant soit vu en urgence par un médecin. The incidence of sudden infant death syndrome (SIDS) has dropped significantly in recent years due to a series of measures and actions; These measures and actions however are not sufficient to completely avoid that children under one year old die unexpectedly due to the multifactorial etiology of this syndrome; In the 80s, drugs were identified as responsible or potentially responsible for sudden death. Consequently, certain pharmaceutical specialties were withdrawn from the market; others were applied age and indication restrictions; in some cases, the composition was reviewed. The purpose of this thesis is to analyze the main drugs, within the eight previously established classes, capable of inducing SIDS and explore the roles pharmacists and doctors have to play when it comes to administering drugs to infants. The research conducted brings to light the main drugs given to infants at present; drugs that could, by their mechanisms of action and/or the particular pharmacology of toddlers, play a role in this syndrome. For some drugs, the causal relationship is obvious or almost clear; such a Cisapride and Codeine. For others, scientific literature shows lack of evidence due to low series or case-reports; Domperidone, macrolides and antimalarial agents namely reside in this category. More research needs to be done in order to reduce the part played by drugs in SIDS. With regards to the roles of the healthcare professionals, doctors should be particularly careful when prescribing a drug which could potentially be at risk for an infant and should take the necessary supervisory measures at homes or in a hospital. The pharmacists must aid the doctor, possibly by discussing the drug’s indication, by sharing his knowledge in pharmacology and investigating the potential drug interactions. He must also underline the preemptive signals which could indicate a severe disorder for the infant, in which case the child would need to be urgently brought to a doctor.


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Comment prendre en charge la douleur chez le nouveau-né ?
Authors: --- ---
Year: 2016 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de pharmacie et des sciences biomédicales,

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Abstract

The newborn is not a miniature adult. Its physiological systems are indeed still developing. However, the newborn child is able to feel the pain and probably in a more acute way tha an older child. This pain must be taken care of by health professionals. Actually, if this pain is not treated, it may bring about negative consequences in the short and in the long term, among which hypersensitivity in particular. It’s a difficult task for caregivers to assess small children’s pain as they cannot express themselves or undoubtedly demonstrate it. Several tools have been developed to help evaluate the intensity of the pain felt. A stepwise approach is recommended by international guidelines. It is based on scientific data whose levels of evidence are sometimes variable. This work aims at summing up the available treatments and their indications. The pharmacist and more specifically the hospital pharmacist, has a role to play in optimizing the care of these newborns. Le nouveau-né n'est pas un adulte en miniature, ses systèmes physiologiques ne sont pas encore tous arrivés à maturité. Il est cependant capable de ressentir la douleur et sans doute de manière plus intense qu'un enfant plus âgé.Cette douleur doit être prise en charge par les professionnels de santé. En effet, si elle n'est pas traitée, elle peut avoir de conséquences néfastes à court et à long terme dont notamment une hypersensibilité.La difficulté pour les soignants est d'objectiver la douleur chez ces enfants qui ne peuvent s'exprimer ou le démontrer de manière indubitable. Plusieurs outils ont été développés pour essayer d'évaluer l'intensité de la douleur ressentie. Une approche de prise en charge par étapes est préconisée par des recommandations internationales. Elle se base sur des données scientifiques dont le niveau d'évidence est parfois variable. Ce mémoire a pour objectif de faire le point sur les différents traitements disponibles et leurs indications. Le pharmacien, essentiellement hospitalier, a un rôle à jouer dans l'optimalisation de la prise en charge de ces nouveau-nés.


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La prise en charge des bronchiolites chez l'enfant : Jessica Collard ; promoteur : Pr. Stéphan Clément de Cléty
Authors: --- ---
Year: 2011 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Bronchiolitis is a viral-induced respiratory infection that is commonly encountered in infants. It starts with symptoms of a cold and cough. After a few days, it can be associated with respiratory distress and is often accompanied by difficulty feeding. Respiratory syncytial virus is the most common cause. A visit to the doctor is recommended to diagnose the disease, to exclude symptoms that may require hospitalization and to prescribe appropriate treatment. Treatment of bronchiolitis in infants is mostly outpatient; hospitalization is required only in a small percentage of cases. It is mainly symptomatic and consists of comfort measures such as adequate hydration, adequate food, clearing of the nasal passages and treatment of fever. Chest physiotherapy is often prescribed because of respiratory congestion but its effectiveness is debated. Pharmacological treatment, although widely prescribed, is also controversial. Ribavirin, an antiviral agent active against RSV, is the only curative treatment existing but its use is recommended only in a limited number of cases, in hospitals. The administration of bronchodilators and corticosteroids is based on the pathophysiology of the disease but no clinical studies have shown benefits. Treatment under medical supervision is recommended in some patients because of potential allergic reactions. Antitussives and mucolytics are, meanwhile, banned for infants. Prevention such as hygiene measures is essential, especially in nurseries or hospitals, as well as the administration of palivizumab in children at risk. The pharmacist’s role is essential in the management of bronchiolitis. His advice are useful when a treatment has been prescribed but also when parents come to ask for a medicine to relieve respiratory symptoms of their child. His knowledge of the warning signs and risk groups enables a proper (and fast) orientation of treatment for these sick infants La bronchiolite est une infection respiratoire d’origine virale qui est couramment rencontrée chez le nourrisson. Elle se manifeste initialement par un rhume et de la toux qui, après quelques jours, peuvent être associées à une détresse respiratoire, souvent accompagnée d’une difficulté pour s’alimenter. Le virus respiratoire syncitial (VRS) est le principal pathogène responsable. Une consultation chez le médecin s’impose afin de poser le diagnostic de la maladie, d’exclure tout signe de gravité qui nécessiterait une hospitalisation et de prescrire un traitement adapté. Le traitement de la bronchiolite du nourrisson se fait la plupart du temps en ambulatoire, une hospitalisation étant requise dans un faible pourcentage des cas. Il est principalement symptomatique et consiste en des mesures de confort que sont une bonne hydratation, une alimentation adéquate, le dégagement des voies nasales et le traitement de la fièvre. Des séances de kinésithérapie respiratoire sont souvent prescrites en raison de l’encombrement des voies respiratoires mais son efficacité est discutée. Le traitement pharmacologique, bien que largement prescrit, est lui aussi controversé. La ribavirine, un agent antiviral efficace contre le VRS, est le seul traitement curatif existant; son utilisation n’est recommandée que dans des cas limités, en milieu hospitalier. L’administration de bronchodilatateurs et de corticoïdes se base sur la physiopathologie de la maladie mais aucune étude clinique n’en a démontré les bénéfices; un traitement sous contrôle médical est justifié chez certains malades en raison de la possibilité d’un terrain allergique sous-jacent. Antitussifs et mucolytiques sont, quant à eux, proscrits chez les nourrissons. La prévention consiste en des mesures d’hygiène, indispensables dans les crèches ou à l’hôpital, et en l’administration de palivizumab chez les enfants à risque. Le rôle du pharmacien est essentiel dans la prise en charge des bronchiolites. Ses conseils sont utiles quand un traitement a été prescrit mais aussi lorsque des parents viennent demander un médicament pour soulager les symptômes respiratoires de leur enfant Sa connaissance des signes d’alarme et des groupes à risque permet une orientation optimale (et rapide) de ces nourrissons malades

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