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Film
La bataille de la pyramide DVD
Author:
Year: 1999 Publisher: France, Le Musée du louvre, Paris Première, Les Films d'Ici, La Cinquième,

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Abstract

Ponctué par les témoignages des principaux acteurs et témoins (architectes, responsables de l'établissement public du Grand Louvre, maître d'ouvrage, journalistes, etc.) de l'un des projets architecturaux les plus controversés de l'ère mitterrandienne, ce film retrace les différentes étapes de la cosntruction de la pyramide du Louvre. Commandée à Pei Ieoh Ming, elle fut pensée pour doter le Louvre d'un accès principal et d'un espace plus vaste...

Keywords


Film
Architectures
Authors: --- ---
Year: 2005 Publisher: Paris : Paris : Réunion des musées nationaux Arte France développement,

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Abstract


Film
Architectures
Authors: --- ---
Year: 2001 Publisher: Paris : Paris : Réunion des musées nationaux Arte France développement,

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Film
Architectures
Authors: --- ---
Year: 2008 Publisher: Paris : Paris : Arte France, Arte France développement,


Film
Architectures
Authors: --- ---
Year: 2005 Publisher: Paris : Paris : Réunion des musées nationaux Arte France développement,

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Film
Architectures
Authors: --- ---
Year: 2003 Publisher: Paris : Paris : Réunion des musées nationaux Arte France développement,

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Film
Architectures
Authors: --- ---
Year: 2007 Publisher: Paris : Paris : Réunion des musées nationaux Arte France développement,


Film
Architectures
Authors: --- ---
Year: 2003 Publisher: Paris : Paris : Réunion des musées nationaux Arte France développement,

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Film
Architectures - Volume 3
Authors: --- ---
Year: 2003 Publisher: France : ARTE Video,

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Abstract

Une collection de films de 26 minutes consacrée aux réalisations les plus marquantes de l’architecture, de ses prémices jusqu'aux dernières créations des grands architectes d’aujourd'hui. Une enquête sur le terrain à la recherche du désir de l’architecte... Proposée par Richard Copans et Stan Neumann, elle est coproduite par ARTE France, les Films d’Ici, le musée du Louvre, le Ministère de la Culture et de la Communication - Direction de l’architecture et du patrimoine, le Centre Pompidou, la Cité de l’Architecture et du Patrimoine, le Musée d’Orsay, la Fundació Mies van der Rohe. Chaque film traite d’un seul bâtiment choisi pour son aspect exemplaire, pour le rôle de jalon qu’il a joué ou qu’il joue dans l’évolution de l’architecture. Le bâtiment est exploré de fond en comble, décortiqué depuis les fondations jusqu'aux couvertures. Un travail sur le terrain fait apparaître des questions pratiques et simples, et la façon dont l’architecte y a répondu. Une maquette du bâtiment, réalisée spécialement pour chaque film, permet de montrer de façon claire et ludique ce qui autrement est invisible : les étapes de la conception du bâtiment, son principe constructif, l’agencement des espaces etc... Bien plus lisibles que les plans ou les croquis, ces maquettes démontables rappellent que la véritable force de la grande architecture est d’être simple comme un jeu d’enfant. Enfin, dans les films consacrés aux réalisations d'aujourd'hui, l’architecte intervient lui-même brièvement, apportant un éclairage plus subjectif en contrepoint de l’enquête du film. Le Musée juif de Berlin: Le bâtiment, construit à Berlin par l’architecte Daniel Libeskind, pose d’emblée une question que l’architecture n’a pas l’habitude d’aborder : celle de ses propres limites. Comment l’architecture peut-elle construire là où tout a été détruit sans effacer les traces de ce qui a disparu ? L'Opéra Garnier: Charles Garnier est quasiment inconnu du grand public quand il remporte le concours ouvert par Napoléon III pour l'édification d'un nouvel opéra. Les travaux durent de 1862 à 1875. Dans cette oeuvre, devenue le symbole du style du Second Empire, Garnier révèle un tempérament de tendance baroque. Il use d'une décoration éclectique, surchargée et fastueuse, qui masque la structure interne en fer. S'y mêlent les arts décoratifs et les disciplines qui constituent les beaux-arts, peinture, sculpture, gravure, tous au service de l'architecture. "Tout n’est qu’impression. Il faut que l’abondance d’impressions qui jaillit du drame lyrique soit encore complétée par l’impression d’abondance qui jaillit de l’architecture." (C.Garnier) Le Couvent de la Tourette: Le couvent de la Tourette est l’un des rares édifices religieux conçus par Le Corbusier. Une œuvre de maturité qui frappe par sa force. Construit de 1957 à 1959 à Eveux, près de Lyon, le couvent Notre-Dame-de-la-Tourette est la dernière grande œuvre de Le Corbusier en France. Le couvent doit abriter quatre-vingts étudiants, être à la fois lieu d’habitation, lieu d’étude et lieu de prière. Les cellules occupent les deux étages supérieurs ; les salles d’étude et les espaces de vie commune sont largement ouverts vers le paysage ; l’église est un bunker de béton aux proportions subtiles et les allées du cloître forment une croix... La Casa Milà: Avec la Casa Milá, immeuble d’habitation construit à Barcelone entre 1906 et 1912, Antonio Gaudí signe une de ses œuvres les plus singulières, restée inachevée. En 1906, des fabricants de céramique commandent à Gaudí un immeuble d’habitation qu’ils veulent monumental. L’architecte conçoit la Casa Milá comme un édifice dédié à la Vierge du Rosaire : le bâtiment ressemble à un immense piédestal qui doit accueillir une sculpture de la Vierge sur le toit. La polychromie, très présente dans les réalisations de Gaudí, est ici plus limitée en façade et s’efface au profit d’un seul et même matériau, une pierre blanc crème qui donne son surnom, la Pedrera (la carrière), à l’édifice. C’est dans les détails que l’architecte laisse libre cours à son goût de la décoration : ferronnerie des balcons qui évoquent la végétation, polychromie des balustrades, cheminées travaillées avec des fragments de marbre et de céramique, escaliers coiffés de formes arrondies... L'Auditorium de Chicago: En 1871, un gigantesque incendie ravage Chicago. Après la catastrophe, toute la ville est à reconstruire : c'est une occasion unique pour une jeune génération d'architectes américains de rompre avec le vieux continent et d'inventer à Chicago les nouvelles formes d'une architecture spécifiquement américaine. L'architecte Louis Henry Sullivan est la personnalité la plus marquante de cette École de Chicago, et l'auteur de la formule la plus citée de l'histoire de l'architecture moderne : form follows function. Le Chicago Auditorium Building, construit en association avec l'ingénieur Adler, est sa première œuvre d'envergure. C'est un complexe rassemblant, dans un seul bâtiment, un hôtel de luxe, des bureaux et une salle d'opéra. L'idée des commanditaires étant que l'hôtel et les bureaux allaient combler le déficit de l'opéra qu'on voulait populaire donc déficitaire. C'est le premier grand chef d'œuvre de l'histoire de l'architecture américaine. Le Centre municipal de Säynätsalo: Alvar Aalto, figure du mouvement moderne, a conçu pour une petite commune de Finlande un centre municipal dépouillé et puissant. La commune de Säynätsalo s’étend sur trois petites îles du plus grand lac de Finlande. Ses habitants travaillent tous pour une grande usine de transformation du bois installée sur l’une des îles. En 1949, le maire communiste et le directeur de l’usine demandent à Alvar Aalto, enfant du pays et l’un des plus grands architectes du XXe siècle, de concevoir un centre municipal. La petite commune a un projet modeste : un hôtel de ville, quelques logements de fonction, des commerces et une bibliothèque, le tout rassemblé dans un même complexe. Pour Alvar Aalto, l’enjeu est double : bâtir au milieu de la forêt un monument urbain inspiré par la cité idéale de l’Italie de la Renaissance ; et affirmer la supériorité des bâtiments civiques sur les bâtiments commerciaux...

Keywords


Film
Architectures - Volume 1
Authors: --- --- ---
Year: 2001 Publisher: France : ARTE Video,

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Abstract

Une collection de films de 26 minutes consacrée aux réalisations les plus marquantes de l’architecture, de ses prémices jusqu'aux dernières créations des grands architectes d’aujourd'hui. Une enquête sur le terrain à la recherche du désir de l’architecte... Proposée par Richard Copans et Stan Neumann, elle est coproduite par ARTE France, les Films d’Ici, le musée du Louvre, le Ministère de la Culture et de la Communication - Direction de l’architecture et du patrimoine, le Centre Pompidou, la Cité de l’Architecture et du Patrimoine, le Musée d’Orsay, la Fundació Mies van der Rohe. Chaque film traite d’un seul bâtiment choisi pour son aspect exemplaire, pour le rôle de jalon qu’il a joué ou qu’il joue dans l’évolution de l’architecture. Le bâtiment est exploré de fond en comble, décortiqué depuis les fondations jusqu'aux couvertures. Un travail sur le terrain fait apparaître des questions pratiques et simples, et la façon dont l’architecte y a répondu. Une maquette du bâtiment, réalisée spécialement pour chaque film, permet de montrer de façon claire et ludique ce qui autrement est invisible : les étapes de la conception du bâtiment, son principe constructif, l’agencement des espaces etc... Bien plus lisibles que les plans ou les croquis, ces maquettes démontables rappellent que la véritable force de la grande architecture est d’être simple comme un jeu d’enfant. Enfin, dans les films consacrés aux réalisations d'aujourd'hui, l’architecte intervient lui-même brièvement, apportant un éclairage plus subjectif en contrepoint de l’enquête du film. Le Bauhaus de Dessau: En 1926 à Dessau, en Allemagne, Walter Gropius conçoit un édifice pour son « École supérieure de création : le Bauhaus ». Non seulement architecte du Bauhaus, il est aussi le directeur de cette école, à la fois commanditaire et client. Ce sont les besoins séparés de l’école qui déterminent la conception des bâtiments, reliés les uns aux autres. A chaque espace sa cohérence, son existence propre. Gropius opte pour un système d’emboîtement : il dessine un bâtiment asymétrique, lui donnant un caractère flottant, jouant sur des masses différentes et de différentes hauteurs, avançant dans l’espace. Comme en extension. La volonté de transparence est omniprésente. Le mur-rideau de verre qui s’accroche sur les trois étages du parallélépipède principal en est la marque la plus aboutie. La décoration intérieure est conçue et construite par les élèves du Bauhaus. Il s’agit pour Gropius d’une architecture totale. Rationaliser la construction, produire un habitat plus économique et fonctionnel resteront les ambitions de cet architecte fondamental du XXème siècle qui dut émigrer aux Etats-Unis. L'École de Siza: Construite par Alvaro Siza, la faculté d’architecture de Porto joue à cache-cache avec les éléments qui l’entourent. Une étonnante réflexion sur l’espace. Tout part d’un cube évidé, inspiré par l’un des plus beaux bâtiments du vieux Porto : le palais de l’Évêque, sur les berges du Douro. Alvaro Siza n’aime pas construire dans le vide. Chargé de bâtir la faculté d’architecture de la ville portugaise, il imagine un édifice pas comme les autres, obligeant les éléments à participer au jeu des obliques, découpant des vues dans le paysage, étirant, contractant, cassant la monotonie des matériaux de base. Le résultat est surprenant : aucun repère, pas d’entrée principale, des abords inachevés et une tour manquante. Un modèle d’originalité, sans fioritures, répondant aux lois géométriques provocatrices du maître. Le bâtiment, achevé et inauguré en 1996, a été conçu pour accueillir 500 étudiants. Le Familistère de Guise, une cité radieuse au XIXe: C'est d'abord l'histoire d'un projet, celui du logement collectif, considéré aujourd'hui comme l'ancêtre du logement social. En cette première moitié du XIXe siècle, la révolution industrielle attire une population nombreuse dans des villes où rien n'est prévu pour l'accueillir. Les industriels redoutent l'habitat collectif susceptible de favoriser des foyers insurrectionnels en ces temps d'agitation révolutionnaire. Le familistère de Guise fait fi de ces réticences : un seul bâtiment de 450 mètres de développement, élevé d'un rez-de-chaussée, de trois étages et des combles accessibles par 16 escaliers collectifs qui desservent des appartements pouvant loger 1 500 personnes. Jean-Baptiste André Godin, le concepteur, l'architecte, le constructeur et le propriétaire du bâtiment, n'est pas un patron comme les autres, c'est un utopiste fouriériste. L'habitat communautaire est pour lui la pierre angulaire de cette société nouvelle. Nemausus 1, une HLM des années 80: En 1986, la commune de Nîmes commande à l'architecte Jean Nouvel 114 appartements sociaux. La réponse de Jean Nouvel, c'est Nemausus 1, un vaisseau tout droit sorti de La Guerre des étoiles, mais surtout une sorte de révolution dans l'architecture du logement social qui, à l'époque, semble condamné à la morosité des barres HLM. Car, pour l'architecte, un bel appartement, c'est avant tout un grand appartement. Des appartements 30 % plus grands que la moyenne des HLM ordinaires et ce au même prix, voilà le principe simple auquel Nouvel va s'attacher pour la conception de Nemausus. Le Centre Georges Pompidou: Il fallait à Paris non seulement un nouveau musée d'art moderne, mais aussi une bibliothèque, un centre de musique et un centre de design. Georges Pompidou décide de les réunir dans un seul bâtiment, dans le centre de la capitale, sur le plateau Beaubourg à l'emplacement de ce qu'au Moyen Âge on appelait la cour des miracles. Piano et Rogers conçoivent un espace ouvert sur la ville, un lieu de rencontre et d'informations, grâce à la flexibilité et la transparence des espaces, à l'imbrication des activités. Un bâtiment conçu comme un "meccano géant" flanqué d'une piazza pour faire écho à la rue, à son mélange des genres et à l'absence d'activités programmées. Le film explore cette ville dans la ville et tente de confronter les idéaux des architectes avec la réalité du centre aujourd'hui. La Caisse d'épargne de Vienne: Otto Wagner a 62 ans lorsqu'il entreprend la construction de la Caisse d’Épargne de Vienne, son œuvre la plus novatrice. Rompant avec l’architecture traditionnelle qu’il a pratiquée jusque-là il conçoit ce volume monumental dans un ensemble urbain pourtant dédié au passé : la Ringstrasse. Jetant ainsi les bases d’une architecture résolument moderne, Wagner rejette la conception de la banque – palais néo-classique – pour s’intéresser à la fonctionnalité du lieu : la référence à l'espace industriel devient constante et explicite. Pourtant, l'architecture de Wagner ne se laisse pas si facilement approcher : à un fonctionnalisme pur et dur, il oppose une esthétique du masque où les éléments de la construction ne sont pas clairement désignés mais rendus visibles par des signes à l'image de ces centaines de clous qui ornent la façade de marbre.

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