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1.Rythmes 21 (H. Richter, 1921): Le peintre Richter est en quête de mouvements pour animer les formes abstraites. Il exprime pour la première fois ses préoccupations rythmiques dans un film. 2.Fantômes du matin (H. Richter, 1928): Les objets se rebellent... Un film dont la forme a médusé Eisenstein, qui ne comprenait pas que l'on puisse tourner "sans avoir un plan dans la tête". 3.Etude cinématographique (H. Richter, 1928): Une ronde de formes géométriques, des jeux d'ombre et de lumière... une inspiration puisée dans la danse, la musique et l'art abstrait. 4.La symphonie filmée (W. Ruttmann, 1921): Ruttmann (Berlin, symphonie d'une grande ville) utilise ses talents de peintre et ses connaissances de mélomane. Max Butting explique : "La concordance entre la musique et le film était telle qu'une partie du public prétendait que c'était le peintre qui avait écrit la musique, tandis qu'une autre affirmait que le musicien avait traduit la peinture en notes". 5.Constructions spirituelles (O. Fischinger, 1927): Deux hommes s'enivrent dans un bar... Un film virtuose pour lequel Fischinger a inventé une technique : des figures modelées dans une fine couche de glaise puis posées sur une plaque de verre en dessous de la caméra. 6.Étude n° 7 (O. Fischinger, 1930/31): Étude n° 7 joue sur le contraste entre un déchaînement de lignes épurées, des effets de perspective et des courbes très Art nouveau. 7.Composition en bleu (O. Fischinger, 1935): Après avoir vu ce film, Lubitsch plaidera la cause du réalisateur auprès de la Paramount, et Fischinger partira travailler aux États-Unis.
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