Narrow your search

Library

KU Leuven (3)

EHC (2)

ULB (2)

DocAtlas (1)

KBR (1)

RoSa (1)

UAntwerpen (1)

UCLL (1)

ULiège (1)


Resource type

book (9)

film (2)

digital (1)


Language

Dutch (4)

English (4)

German (2)

Arabic (1)

French (1)


Year
From To Submit

2022 (1)

2005 (1)

2000 (2)

1966 (3)

1961 (2)

More...
Listing 1 - 10 of 12 << page
of 2
>>
Sort by

Book
Het heilig vuur : de geschiedenis van de seksualiteit in de religie
Author:
Year: 1966 Publisher: 's-Gravenhage Nederlandse Vereniging voor Sexuele Hervorming

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Keywords

Religious studies --- Sexology --- History --- History --- Religion --- Sexuality --- Book


Book
Het heilig vuur: de geschiedenis van de seksualiteit in de religie
Author:
Year: 1966 Publisher: 's-Gravenhage Nederlandse Vereniging voor Sexuele Hervorming

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Book
The Jewish problem in the Soviet Union
Author:
Year: 1961 Publisher: New York Crown

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Keywords


Book
The Jewish problem in the Soviet Union : analysis and solution
Author:
Year: 1961 Publisher: New York : Crown publishers,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Film
Promises
Author:
ISBN: 9056753258 Year: 2000 Publisher: [S.l.] Home screen

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

De film makers van 'Promises' volgden gedurende drie jaar een groep negen - tot dertienjarigen uit Jeruzalem. Kinderen van zowel gematigde als extremistische Palestijnse en Israèlische ouders komen aan het woord. De interviews geven een onverbloemd beeld van de omgeving waarin ze opgroeien, en van de ideeèn die hen door de ouders worden meegegeven. Schokkend is het om te zien hoe sommige kinderen al hopeloos verstrikt zijn geraakt in de haat van de regio. Hoopgevend is echter dat anderen met de filmcrew de reis wagen langs de militaire cordons en door persoonlijk contact met 'vijandelijke' leeftijdsgenoten ondervinden dat vooroordelen vaak voortkomen uit gebrek aan kennis van de cultuur van deander. Duidelijk wordt dat de kinderen niet alleen moeten worden gezien als slachtoffers van hun omgeving: ze spelen een belangrijke rol bij de toekomstige ontwikkelingen in hun land.
(Bron: www.proxis.be)

Keywords


Book
The sacred fire. The story of sex in religion
Author:
Year: 1931 Publisher: London Jarrolds

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Keywords


Book
Het heilig vuur : de geschiedenis van de seksualiteit in de religie
Authors: ---
Year: 1966 Publisher: 's-Gravenhage NVSH

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Keywords


Book
The sacred fire : the story of sex in religion
Authors: ---
Year: 1958 Publisher: New York, NY : University books,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Keywords


Digital
Promises
Authors: --- ---
Year: 2000 Publisher: abc distribution

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

De Joodse filmmaker B.Z.Goldberg interviewt Joodse en Palestijnse kinderen in en rond de heilige stad Jeruzalem. De zeven kinderen tussen de negen en dertien jaar worden over een periode van 4 jaar gevolgd. Ze geven hun mening over de oorlog en hun tegenstanders en praten openlijk over vermoorde broertjes en vaders die zonder een vorm van proces in de gevangenis zitten. Daarnaast krijgen we een bondige samenvatting van de geschiedenis van het ontstaan van Israël en het verloop van de oorlog. Weinig politiek en parlementair taalgebruik, geen verborgen agenda's, maar kinderen die recht uit het hart spreken en geen blad voor de mond nemen. De film 'Promises' maakt onderdeel uit van de organisatie The Promises Film Project. Deze stelt zich ten doel om middels film het vredesproces in het Midden-Oosten te stimuleren en het publiek te wijzen op het belang van vrede. ---------------- OPGELET! Deze film kan enkel ontleend worden voor educatieve doeleinden en in combinatie met andere educatieve materialen. Voor elke vertoning met publiek karakter neem je contact op met Bevrijdingsfilms.


Film
Promesses
Authors: --- --- ---
Year: 2005 Publisher: [France] : Éditions Montparnasse,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Profitant d’une période d’accalmie à la frontière israélo-palestinienne entre 1997 et 2000, les réalisateurs Justine Shapiro, B.Z.Goldberg et Carlos Bolado ont demandé à sept enfants juifs et palestiniens âgés de neuf à treize ans de donner leur vision du conflit au Proche-Orient. Comment vivent-ils le climat explosif qui divise leurs peuples? Que pensent-ils les uns des autres? Qu’est-ce qui peut les rapprocher au-delà de leurs différends? Le film s’ouvre sur les ombres d’enfants qui progressent le long d’une échelle horizontale. Ambiguïté de la sensation: c’est à la fois une image ludique, et une évocation d’exercices militaires à “l’échelle de singe”. Ombre portée d’une situation où le jeu des enfants se confond avec la guerre des adultes. Puis la caméra étant fixe, des dizaines d’enfants viennent s’agglutiner devant elle et regarder l’objectif en gros plan. Double mouvement du regard, du sujet vers l’objet, mais également de l’objet vers le sujet, désignant ainsi le point de vue du film, celui du metteur en scène. Contrechamp sur la voix du réalisateur et de son visage, de profil, au volant d’une voiture. Il a passé son enfance à Jérusalem. Il y est revenu, allant à la rencontre d’enfants qui, comme lui, ont vécu dans ce pays “où la normalité est toujours mêlée de guerre.” Sans doute le pays a-t-il changé. On le voit traversé d’autoroutes. La ville s’est considérablement développée. Mais que pensent aujourd’hui les enfants? Les scènes d’extérieur, comme celles des “check-points”, du rassemblement des religieux au mur des Lamentations, les manifestations publiques, etc., sont tournées selon les techniques habituelles du reportage télévisé: un bref plan général pour situer le lieu, puis des plans relativement brefs, souvent serrés, voire très rapprochés, chacun ayant pour fonction de désigner un aspect particulier, un détail destiné à transmettre une information. Ces informations nous sont ainsi “imposées” dans une logique propre aux techniques de communication. Ainsi ne trouvons-nous pas de plan suffisamment large et suffisamment “tenu” pour que nous ayons la possibilité de chercher nous-mêmes l’information, la signification. Notre émotion est provoquée, et non suscitée, dans ces images “volées“ au passage. Cette technique est utilisée délibérément dans la séquence des religieux, afin de bien montrer le décalage de traitement des jumeaux (qui parlent à la caméra ou se parlent devant la caméra), traduisant ainsi leur distance par rapport à tous ces inquiétants religieux dont “ils ne partagent pas les opinions”. Pour tenter de répondre à cette question, le réalisateur a tenu à prendre place dans le champ de la caméra, à se donner lui-même à voir, pour montrer son rôle, sa situation par rapport à eux, la relation qu’il instaure avec deux. Conscient qu’au cinéma, la caméra ne peut que “manipuler” ce qu’elle filme, il a choisi de montrer le “manipulateur”. Au fur et à mesure de la progression du film, les scènes, puis les plans semblent se répondrent et participer d’une même continuité. Ainsi on passe « cut » de la représentation chorégraphique donnée par Sanabel et Kayan (filmée comme un spectacle) à la partie de Volley-ball (filmée comme un reportage), en faisant le raccord sur les spectateurs (drapeau d’un côté, mitraillette de l’autre: peut-on dire plus clairement que la revendication nationaliste palestinienne est une menace pour Israël). Bien d’autres séquences se répondront de cette façon. Faraj vient de finir sa course. Battu, il pleure, en gros plan: raccord en plan rapproché sur Daniel qui semble lui répondre directement (en fait à une information donnée par B. Z que l’on ne voit ni n’entend). Puis contrechamp sur Yarko qui semble répondre à Daniel (qui, en fait, répond à B. Z.). Ainsi par l’entremise d’artifices de montage s’instaure un véritable dialogue dans lequel B. Z. tient une fonction d’allocutaire virtuel. Plusieurs séquences montrent des activités ou des manifestations collectives à la façon d’un reportage: une “école coranique”, une “manifestation palestinienne”, la “commémoration des morts israéliens”, la “journée de Jérusalem”, etc. Puis dans ces moments de nature documentaires, vont s’inscrire les personnages de fiction. Ainsi découvrons-nous Mahmoud dans l’école, Faraj et Sanabel dans la foule arabe, les jumeaux parmi les participants de la cérémonie, Mahmoud à Jérusalem… Une façon de faire tomber les barrières entre la vision documentaire qui filme des événements publics dont elle n’est pas à l’initiative et le regard plus subjectif qui révèle la personnalité des enfants. Et c’est bien cette curiosité que chaque enfant a pu susciter chez l’autre qui a permis que les préventions aient pu être dépassées et l’improbable rencontre avoir lieu. Dès lors, la caméra fait de cette fiction le sujet de son reportage. Elle se rend complice de la joie des enfants autour du repas (comme du sentiment de vacuité qui passe furtivement sur le visage de Yarko), des jeux sportifs qui semblent exorciser leurs arrière-plans guerriers, des pas de danse que partagent l’Israélien B. Z et la Palestinienne Sanabel. Puis elle devient instrument de témoignage des premiers dialogues que l’arrivée des interprètes a rendu possibles. Et reste fixe sur Faraj et Yarko, comme s’il importait avant tout de ne pas rompre ce moment de grâce, aussi éphémère qu’il aura été. “Laïcs ou religieux, extrémistes ou modérés, la parole de ces enfants établit la frontière entre eux, non dans leurs origines nationales respectives, mais dans leur capacité de “voir” l’Autre, de l’intégrer dans leur vision d’avenir, dans l’espace du pays qui les réunit et qui les sépare. Le film ne tente à aucun moment de simplifier les choses, au contraire, il nous restitue la complexité et la difficulté pour ces enfants de sortir du ghetto-cocon-tribu dans lequel ils vivent malgré eux. […] Ce n’est pas facile ni simple et le film n’essaie pas de l’occulter. Le poids du monde des adultes, de la culture, de la religion, du choix idéologique des parents, de l’éducation vécue à la maison et dans le milieu social pèsent lourd. Aucune illusion n’est faussement entretenue sur la rencontre possible ou impossible. Même lorsqu’elle a lieu entre Yarko et Daniel, les jumeaux israéliens et Faraj et Sanabel, les réfugiés palestiniens, elle reste limitée dans le temps et l’espace. Elle ne peut transgresser tous les tabous, les obstacles du monde des adultes. Mais c’est un pas de fait vers l’autre, un précédent qui montre que c’est possible si on le veut vraiment, et surtout c’est une lueur d’espoir pour l’avenir. En ce sens, Promesses n’est pas seulement un film sur les enfants israéliens et palestiniens mais sur tous ceux que séparent la méfiance et la peur, le racisme et l’ethnocentrisme, la déshumanisation de l’autre et sa diabolisation, la souffrance et la douleur perçue comme une expérience unique à soi. En ce sens Promesses porte un message universel dans lequel se reconnaîtront beaucoup d’enfants piégés par les guerres, mais aussi par l’exclusion et le rejet de l’Autre de Jérusalem à Gaza, des banlieues de Marseille à celles de Paris. Je souhaite profondément que ces paroles israéliennes et palestiniennes d’enfants de là-bas trouvent leur écho aussi ici.”

Keywords

Listing 1 - 10 of 12 << page
of 2
>>
Sort by