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Prisons --- History. --- -343.81 <714> --- Dungeons --- Gaols --- Penitentiaries --- Correctional institutions --- Imprisonment --- Prison-industrial complex --- History --- 343.81 <714> --- Prisons - Québec (Province) - History.

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La violence et la peur font tellement partie de nos vies que, parfois, elles se confondent avec elles. Elles s'insinuent aussi bien dans le social que dans l'individuel et déterminent l'histoire de l'un et de l'autre. Le crime, quant à lui, semble d'être devenu un acte privilégié non seulement pour dire la violence, mais aussi pour vivre la peur. Le criminel, à cet égard, a parfois pour fonction de permettre de défini son contraire, l'individu de bonne réputation. L'époque actuelle favorise un individualisme d'un genre nouveau : la personne menacée de toutes parts tente de se protéger en démon.

Crime -- Social aspects. --- Fear. --- Social psychology. --- Violence. --- Social Welfare & Social Work --- Social Sciences --- Criminology, Penology & Juvenile Delinquency --- Crime. --- Criminalit --- Peur. --- Psychologie sociale. --- Crime --- Aspect social. --- Social aspects. --- Mass psychology --- Psychology, Social --- Fright --- Violent behavior --- City crime --- Crime and criminals --- Crimes --- Delinquency --- Felonies --- Misdemeanors --- Urban crime --- Social aspects --- Criminalite --- Social problems --- Criminal justice, Administration of --- Criminal law --- Criminals --- Criminology --- Transgression (Ethics) --- Human ecology --- Psychology --- Social groups --- Sociology --- Emotions --- Anxiety --- Horror --- Social psychology --- la peur --- violence --- criminal and social justice --- le crime --- fear --- crime --- la violence --- la justice pénale et sociale --- non-violence

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Comment le traitement thérapeutique, aujourd'hui en plein essor, est-il devenu un bien de consommation? Comment a-t-il pénétré nos institutions sociales? La relation thérapeutique contemporaine doit-elle être qualifiée de relation d'aide ou plutôt d'agent du pouvoir, c'est-à-dire de moyen déguisé de normalisation, de récupération ? L'auteur met en évidence la signification sociopolitique des multiples formes de traitements psychosociaux actuellement en vogue. A l'aide de repères de type historique, il démontre les mécanismes et les logiques du passage de ce qu'il appelle la "cure de l'âme" vers la "cure de l'esprit", puis vers l'"intervention psychosociale". Il établit ainsi que le processus sur lequel s'appuient les psychothérapies n'est pas neutre et que cette absence de neutralité apparaît dès que l'on observe le profil des groupes cibles ou encore celui des groupes en quête de thérapie. C'est là que ressort une première discrimination dans les pratiques. En saisissant les traitements dans leur contexte, force est de constater que la connaissance de soi n'est pas nécessairement libératrice, mais porteuse d'obligations sociales. Ce constat amène à repenser non seulement les psychothérapies, mais aussi leurs liens avec les savoirs et les pouvoirs qui façonnent l'individu contemporain.

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