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Jeanneney, Jean-Marcel, --- Sources --- France --- Algérie --- Relations extérieures --- Sources. --- Relations extérieures --- Algérie
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Actes du Ve congrès national d'archéologie et d'histoire de l'art, qui s'est tenu à Bordeaux du 21 au 24 octobre 1999. Thématiques abordées : - Les portes de l'Espagne - Le mur et l'art - La critique architecturale aux XIXe et XXe siècles - Art éphémère - La place de l'histoire de l'art dans la synthèse historique
Arts & Humanities --- Archaeology --- art ibérique --- critique architecturale --- archéologie et histoire de l’art --- art éphémère --- décors intérieurs
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Les spoliations d’archives et de bibliothèques semblent bien secondaires par rapport aux atrocités commises pendant les terribles conflits du XXe siècle, et fascinent moins que les vols d’œuvres d’art. Pourtant, les saisies opérées par les autorités nazies dans toute l’Europe occupée, puis en grande partie collectées par l’Armée rouge et conservées secrètement par les Soviétiques, sont un phénomène massif tant par l’ampleur des détournements que par la diversité des spoliés. Il touche les administrations publiques des États occupés, les partis politiques, les syndicats, les Églises, les associations ainsi que les personnes privées souvent juives. Seul l’effondrement du régime soviétique a fait sortir ces fonds, longtemps soumis au régime du silence, de l’oubli dans lequel ils étaient tombés. Beaucoup de documents ont été rapatriés depuis une décennie, mais trop aussi ont été perdus, bien qu’un mince espoir d’en retrouver subsiste. Les meilleurs spécialistes, historiens, bibliothécaires et archivistes de France et de Russie, d’Europe et des États-Unis, ont œuvré à offrir une compréhension globale d’un phénomène crucial de l’histoire européenne. Ce volume étudie les motifs des saisies, l’utilisation nazie et soviétique de la documentation collectée, les réactions des institutions ou des personnes privées spoliées. Enfin se pose la question des choix opérés au moment du retour de ces archives. Doit-on créer des « fossiles archivistiques » ou les réintégrer sans mention de leur destin particulier ? L’usage des archives et la réactivation de leur mémoire relève d’enjeux citoyens très actuels.
Archivistics --- Public buildings --- History of Europe --- anno 1900-1999 --- World War, 1939-1945 --- Cultural property --- Jewish property --- 2ème guerre mondiale --- Biens culturels --- Biens des Juifs --- Libraries --- Archival resources --- Confiscations and contributions --- Destruction and pillage --- Repatriation --- Bibliothèques --- Fonds d'archives --- Confiscations et contributions --- Destruction et pillage --- Restitution --- Guerre mondiale (1939-1945) --- Archives --- Patrimoine culturel --- Vol --- 351.852 --- 940.53 --- Overheidstaken, administratieve maatregelen i.v.m. musea, verzamelingen, bibliotheken, archieven --- Geschiedenis van Europa: Tweede Wereldoorlog--(1939-1945) (algemeen) --- Conferences - Meetings --- 940.53 Geschiedenis van Europa: Tweede Wereldoorlog--(1939-1945) (algemeen) --- 351.852 Overheidstaken, administratieve maatregelen i.v.m. musea, verzamelingen, bibliotheken, archieven --- 2ème guerre mondiale --- Bibliothèques --- Restitution. --- Guerre mondiale (1939-1945) -- France --- Archives -- France --- Actes de congrès --- History --- archives --- bibliothèque --- documentation --- Guerre Mondiale (1939-1945)
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Les spoliations d’archives et de bibliothèques semblent bien secondaires par rapport aux atrocités commises pendant les terribles conflits du XXe siècle, et fascinent moins que les vols d’œuvres d’art. Pourtant, les saisies opérées par les autorités nazies dans toute l’Europe occupée, puis en grande partie collectées par l’Armée rouge et conservées secrètement par les Soviétiques, sont un phénomène massif tant par l’ampleur des détournements que par la diversité des spoliés. Il touche les administrations publiques des États occupés, les partis politiques, les syndicats, les Églises, les associations ainsi que les personnes privées souvent juives. Seul l’effondrement du régime soviétique a fait sortir ces fonds, longtemps soumis au régime du silence, de l’oubli dans lequel ils étaient tombés. Beaucoup de documents ont été rapatriés depuis une décennie, mais trop aussi ont été perdus, bien qu’un mince espoir d’en retrouver subsiste. Les meilleurs spécialistes, historiens, bibliothécaires et archivistes de France et de Russie, d’Europe et des États-Unis, ont œuvré à offrir une compréhension globale d’un phénomène crucial de l’histoire européenne. Ce volume étudie les motifs des saisies, l’utilisation nazie et soviétique de la documentation collectée, les réactions des institutions ou des personnes privées spoliées. Enfin se pose la question des choix opérés au moment du retour de ces archives. Doit-on créer des « fossiles archivistiques » ou les réintégrer sans mention de leur destin particulier ? L’usage des archives et la réactivation de leur mémoire relève d’enjeux citoyens très actuels.
History --- archives --- bibliothèque --- documentation --- Guerre Mondiale (1939-1945)
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Depuis son indépendance, la Grèce a entretenu avec la France une relation privilégiée, sans égale avec les autres pays européens. Au cours du xxe siècle, de profondes crises ont pu la distendre mais n’ont jamais effacé les affinités existant entre ces deux nations. Leur résistance à travers le temps invite à interroger la teneur de tels rapports, leur continuité, leur régénération, et à scruter les transferts qui se sont opérés à toute époque entre les deux pays. À Athènes comme à Paris, d’importantes archives, parfois méconnues, forment la matière première de cette enquête unissant archivistes et historiens dans un commun effort pour dépasser les poncifs d’un philhellénisme ou d’une francophilie à tout crin. Ever since it gained independence, Greece has maintained a very special relationship with France, more so than with any other country in Europe. Periods of upheaval during the 20th century may have strained the bonds, but the deep connection between the two nations has never come into question. The staying power of this kinship invites us to examine what underpins their close relationship, how it has endured and regenerated, and to examine the ways in which the two countries have continuously interacted over the years. The resources for this study came from the extensive, sometimes little-known archives, in both Athens and Paris, and brought together archivists and historians in a joint effort to go beyond the usual clichés of Philhellenism and Francophilia.
cultural contacts --- diplomacy --- political history --- national archive --- transcultural history --- Arts & Humanities --- Humanities, Multidisciplinary --- Cultural studies --- Kulturbeziehungen --- Diplomatie --- Politikgeschichte --- Staatsarchiv --- Transkulturelle Geschichte --- relaciones culturales --- diplomacia --- historia política --- archivo nacional --- historia transcultural --- archives nationales --- histoire politique --- relations culturelles --- diplomatie --- histoire transculturelle --- relazioni culturali --- diplomazia --- storia politica --- archivio nazionale --- storia transculturale
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La République et ses symboles. Un territoire de signes s’attache à l’analyse des signes, des écritures, des décors et symboles républicains qui s’inscrivent sur le territoire de la France. Il montre à quel point ces signes, même les plus ordinaires, représentent des enjeux politiques à travers l’histoire. Il découvre leur fonction décorative sur les architectures monumentales comme sur les objets quotidiens. Il croise les approches, organise le dialogue des historiens du politique et du culturel avec ceux des formes ; il permet de faire le point sur les récents développements de l’historiographie depuis les travaux fondateurs de Maurice Agulhon et de Michel Vovelle.
History --- République --- aspect symbolique --- arts et politique --- symbolisme en politique
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