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Ce travail discute des différentes interventions cognitivo-comportementales de prise en charge des adolescents délinquants et, plus spécifiquement, de l'entraînement aux habiletés sociales. Les adolescents délinquants sont supposés défaillants en habiletés sociales et ce travail se propose de mesurer le niveau d'habiletés sociales de 10 adolescents délinquants institutionnalisés et d'ensuite les soumettre à un programme d'habiletés sociales. In fine, ce travail évalue l'efficacité du programme mis en place et suggère diverses pistes de recherche.

ADOLESCENT --- DELINQUANCE JUVENILE --- COMPETENCE SOCIALE --- READAPTATION SOCIALE --- PROGRAMME DE FORMATION --- PROGRAMME DE FORMATION -- EVALUATION --- INTERVENTION --- PROTECTION DE LA JEUNESSE --- INTERVENANT SOCIAL --- INSTITUTION POUR ENFANTS ET ADOLESCENTS

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A la suite de la réalisation de mon stage au sein de l’Asbl Arpege, j’ai
réalisé une recherche portant sur l’évolution, depuis 30 ans, de la représentation
des intervenants vis-à-vis des mineurs ayant commis un fait qualifié infraction.
Pour y parvenir, je me suis référée à l’évolution de la réhabilitation d’un point
de vue théorique, à l’évolution des outils d’évaluation des risques et à deux
modèles de réhabilitation : le « Good Lives Model » et, principalement, le
modèle des risques, des besoins et de la réceptivité d’Andrews et Bonta. Cette
recherche s’est déroulée en deux phases distinctes ; la première portant sur les
30 années d’activité d’Arpege et la seconde portant sur la comparaison des
représentations des intervenants durant les premières années (1985) et 30 ans
plus tard, en 2015.

Droit, criminologie & sciences politiques > Criminologie

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Objectifs : Ce travail a plusieurs objectifs : le premier est d’analyser les différents facteurs qui jouent un rôle dans la motivation intrinsèque scolaire. Ces différents facteurs sont l’estime de soi et la relation que l’adolescent entretient avec ses parents. Enfin, nous posons l’hypothèse que l’estime de soi peut jouer un rôle de médiateur et permettre de mieux expliquer les effets de la relation parents-adolescents sur la motivation intrinsèque. Participants : L’échantillon total se compose de 905 adolescents, dont 478 filles et 427 garçons âgés de 11 à 21 ans. Ces jeunes fréquentent l’enseignement général, technique et différencié d’une même école. Méthodologie : L’estime de soi, la relation parents-adolescent et la motivation intrinsèque scolaire ont été évaluées par le biais de questionnaires : l’échelle d’estime de soi de Rosenberg (1965, Self-Esteem Scale) ; l’échelle des comportements interpersonnels d’Otis et Pelletier (ECI, 2000) ; et l’échelle de motivation en éducation (EME) de Vallerand, Blais, Brière et Pelletier (1989). Résultats : Les résultats obtenus sont globalement comparables à ceux observés dans d’autres populations et qui se retrouvent dans la littérature scientifique. La relation parents-adolescent est corrélée significativement et positivement avec la motivation intrinsèque scolaire, ainsi qu’avec l’estime de soi de l’adolescent. Néanmoins, l’apport original de cette étude est de constater un effet de médiation de l’estime de soi, dans le lien entre la relation parents-adolescent et la motivation intrinsèque scolaire. Dans ces effets de médiation, s’ajoutent des différences liées au sexe. Conclusion : L’estime de soi et la relation parents-adolescent sont des mécanismes importants dans l’explication de la motivation intrinsèque de l’élève. La relation entre l’estime de soi et la motivation intrinsèque semble varier selon le genre de l’élève. Les mécanismes sous-jacents à cette relation nécessitent d’être approfondis au travers de futures recherches.

Motivation en éducation --- Estime de soi --- Soutien scolaire --- Parents et enfants --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Education & enseignement --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique

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L’objectif de cette étude est d’obtenir des taux de prévalence des violences psychologiques et physiques perpétrées dans le couple des jeunes de 15 à 25 ans. De plus, nous avons tenté d’en repérer les causes potentielles. Les différences du genre et de l’âge, l’effet du niveau d’estime de soi, de la gestion de la colère, de l’agressivité et de la consommation d’alcool sur la violence dans le couple ont été étudiés grâce à un ensemble de questionnaire. Notre échantillon composé de 120 sujets belges a permit de révéler différents liens. Les résultats montrent un taux de prévalence assez élevé pour les différentes formes de violences psychologiques (domination, déni, manipulation, dévalorisation). De plus, les résultats montrent que certains actes de violence psychologique sont liés avec l’âge et le sexe. L’effet de l’estime de soi a été prouvé tandis que l’effet combiné de l’âge avec une mauvaise gestion de la colère, des conflits et de l’agressivité n’a été que partiellement prouvé puisque nous obtenons une relation positive de l’âge (et non négative comme attendue). Enfin, la consommation excessive d’alcool semble avoir un effet sur l’apparition de la violence psychologique. Cette enquête permet à nouveau de constater que la violence dans les fréquentations est un réel problème. Ainsi, nous suggérons de poursuivre les campagnes de prévention en ciblant les plus jeunes.

Relations amoureuses --- Jeunes adultes --- Violence --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique

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L’objectif de ce mémoire consiste à identifier la relation parent-adolescent comme étant une variable médiatrice du lien entre la motivation intrinsèque à la connaissance et les compétences académiques. L’effet de médiation sera également testé sur les trois sous-échelles de la relation parent-adolescent (soutien à la compétence, soutien à l’autonomie et implication dans la relation). Cette recherche repose sur un échantillon de 905 élèves issus de l’enseignement différentié, technique et général d’un Athénée. Pour étudier cet effet de médiation, un questionnaire, comprenant « l’échelle de comportements interpersonnels (ÈCI)» de Pelletier et Otis (2000) et « l’échelle de motivation en éducation (EME) » de Vallerand, Blais, Brière et Pelletier (1989), a été administré aux élèves. Dans le modèle de la relation parent-adolescent (score total), les résultats montrent des différences significatives selon le genre. Les compétences académiques des garçons sont davantage expliquées par la relation parent-adolescent, tandis que les compétences académiques des filles sont expliquées par d’autres variables que la motivation intrinsèque à la connaissance et la relation parent-adolescent. Le soutien à l’autonomie rapporte un effet de médiation alors que les deux autres sous-facteurs ne contribuent pas à mieux expliquer les compétences académiques chez les adolescents de cette recherche.

Motivation en éducation --- Parents et enfants --- Adolescents --- Compétence --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique