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Soins intensifs en cardiologie --- Hypnose. --- Réalité virtuelle en médecine --- Cardiac intensive care --- Hypnotism --- Virtual reality in medicine --- Cardiac intensive care. --- Hypnotism. --- Virtual reality in medicine.
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Douleur chronique. --- Algologie (médecine) --- Pain --- Pain medicine. --- Pain.
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Les vécus de transes sont plus fréquents qu’il n’y paraît. On peut les rencontrer dans des contextes très variés, allant des pratiques chamaniques jusqu’à celles utilisant la réalité virtuelle, à la fois dans les champs du commun (intuition…), de l’exceptionnel (expérience de mort imminente…) ou du pathologique (dissociation traumatique…).Il s’agit, dans tous les cas, d’un événement qui fait perdre les repères, bouscule les sens et la perception de la réalité, plongeant le sujet dans un ressenti inhabituel, atypique et transitoire. S’ils peuvent se produire spontanément, ces états peuvent aussi être provoqués volontairement, notamment avec une intention thérapeutique (hypnose, EMDR, méditation de pleine présence, psychothérapies assistées par psychédéliques, relaxations…).Sous différents angles — psychologique, sociologique, anthropologique, neuroscientifique, médical… — l’ouvrage présente une somme de savoirs et fournit aux professions médicales et paramédicales, aux psychologues et psychothérapeutes, les clefs pour comprendre ces états « non ordinaires », leurs applications dans le champ thérapeutique ainsi que leurs processus psychologiques.Ce Grand livre des transes est rédigé par des enseignants, chercheurs et praticiens issus de divers horizons, et notamment du DU et DESU « Étude des transes et des états de conscience modifiés » (université Paris-8).
Transe --- États modifiés de conscience --- Altered states of consciousness. --- Trance. --- Transe. --- États modifiés de conscience. --- Trance --- Altered states of consciousness
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Cette étude est une analyse qualitative de récits d’expériences de mort imminente et d’expériences sous kétamine. Nous nous sommes basés sur les avancées médicales pour postuler de la similarité des expériences subjectives ressenties. Pour analyser les récits, nous avons utilisé l’analyse par la théorisation ancrée, une méthode d’analyse qualitative. Elle nous a permis de relever les similitudes et divergences existant entre les catégories de récits analysés. Enfin, nous avons comparé notre analyse avec les échelles d’identifications EMI existantes (Ring, 1980 ; Greyson, 1983). Les résultats de cette étude montrent que de nombreuses similitudes existent entre différents types de récits analysés (récits d’expériences sous kétamine, EMI traumatiques et EMI anoxiques). Grâce à notre analyse qualitative, nous avons relevé six catégories/dimensions constituées de 68 phénomènes/sous-dimensions. Nous avons réalisé des analyses statistiques, et relevé des dimensions statistiquement spécifiques à l’une ou l’autre étiologie. Cette étude est une étude préliminaire. Bien que nous nous soyons basés sur des hypothèses issues de la littérature en ce qui concerne les différences entre groupes (cf. influence des récepteurs NMDA dans l’occurrence de ces expériences), notre démarche aura été exploratoire. En outre, nous avons dégagé une nouvelle typologie sur laquelle d’autres études pourront se baser, après avoir vérifié la validité écologique de notre recherche. L’objectif principal de ce mémoire aura été de préparer le terrain à de futures études incluant un nombre conséquent de récits, et visant l’analyse morphosyntaxique de ces derniers à l’aide de logiciels d’analyse textuelle.
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Résumé Contexte : Suite à des atteintes cérébrales, des patients peuvent entrer dans un état de conscience altérée. Le diagnostic adéquat est essentiel. Mais, de nombreux biais existent tels que des troubles réceptifs présents chez certains patients en état de conscience minimale (ECM). Objectifs : 1) valider le « test de compréhension ECM » en démontrant sa sensibilité aux troubles réceptifs en évaluant des patients aphasiques 2) démontrer l'utilité du « test de compréhension ECM » dans la détection des troubles langagiers cooccurrents éventuels (notamment de compréhension) chez certains patients ECM. Méthode : Deux groupes de patients ont été évalués : aphasie (n=18) et ECM/EECM (n=8). La forme courte de la Boston Diagnostic Aphasia Examination (BDAE), le test de compréhension ECM développé et le Confusion Assessment Protocol (CAP) ont été administrés aux patients aphasiques. La Coma Recovery Scale-Revised (CRS-R) et le test de compréhension ECM ont été fait passer aux patients ECM/EECM. Résultats : La validité concourante du test de compréhension a été démontrée. Un effet de complexité, de modalité ainsi qu'un effet d'indiçage ont pu être identifiés dans les performances des patients présentant des troubles réceptifs (n=11). Pour les patients ECM/EECM, l'effet de complexité essentiellement ainsi que d'autres indices (modalité, indiçage, items non verbaux/verbaux CRS-R) étaient plus marqués chez 3 patients. Conclusion : L'épreuve de compréhension ECM développé est sensible aux troubles réceptifs. Actuellement, elle nous permet de soupçonner de possibles troubles réceptifs chez les patients ECM/EECM.
Etats modifiés de conscience --- Personnes atteintes de lésions cérébrales --- Troubles du langage --- Aphasie --- Tests linguistiques --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie cognitive & théorique --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique
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Lorsqu’ils doivent passer un examen d’Imagerie par Résonance Magnétique, de nombreux patients manifestent de l’anxiété, avant ou pendant l’examen. Cela a des conséquences négatives sur le bien-être des patients, le temps de la prise en charge, la qualité et les coûts de l’examen. Le but de l’étude est d’évaluer l’impact de deux techniques de type « hypnotique » sur l’anxiété des patients présents dans le service d’Imagerie par Résonance Magnétique du CHU. Les deux méthodes de communication employées sont un CD préenregistré d’induction à l’hypnose que les patients écoutent durant l’examen, ainsi qu’une formation donnée aux soignants sur les techniques de communication de type hypnotique, plus particulièrement les suggestions. D’une part, nous évaluons l’anxiété des patients avant et pendant l’IRM grâce à un questionnaire de satisfaction incluant une mesure de l’anxiété. D’autre part, nous observons chez les soignants l’évolution de leurs modes de communication avant et après la formation grâce à une grille d’analyse de leurs phrases. Les résultats ne montrent pas un effet des deux techniques de type hypnotique sur la réduction de l’anxiété. L’anxiété tend à baisser dans la condition contrôle et suggestion, et reste constante avec le CD. La modification de la communication n’est pas suffisamment élevée pour montrer un effet de la formation, par ce que les soignants manquent d'exercices pratiques. L’anxiété des patients n’ayant jamais passé d’IRM est significativement plus élevée que ceux qui sont habitués, et nos analyses qualitatives nous révèlent que la peur de l’inconnu est un facteur important de l’anxiété. En conclusion, nous pensons que les outils ne répondent peut-être pas aux besoins réels des patients et nous préconisons de nous centrer sur la peur de l’inconnu et le manque d’information, et de poursuivre la formation en incluant une dimension pratique pour les soignants
Relations personnel médical-patient --- Anxiété -- Prévention --- Examens médicaux --- Hypnose --- Imagerie pour le diagnostic --- Hôpitaux -- Services --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie sociale, industrielle & organisationnelle --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique
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Les patients survivant à un coma peuvent évoluer vers différents états cliniques, selon leur niveau de conscience d’eux-mêmes et de l’environnement. L’apparition de la conscience est donc importante à détecter, et un des premiers signes de conscience observés est la poursuite visuelle (Giacino et al., 2002). Il a précédemment été montré que le miroir était le stimulus le plus efficace pour déclencher la poursuite visuelle, par rapport à une personne ou un objet (Vanhaudenhuyse, Schnakers, Brédart, & Laureys, 2008). Cette supériorité du miroir est confirmée par la première étude rétrospective présentée dans ce travail. Les cliniciens reportant un sentiment de facilité sur l’axe horizontal par rapport au vertical, une deuxième étude rétrospective compare directement ces deux axes, et adresse la question de l’utilité de l’évaluation de l’axe vertical. Les données montrent que l’axe horizontal est plus efficace que l’axe vertical, mais que ce dernier ne peut cependant pas être abandonné. Le miroir se révèle un stimulus particulièrement efficace pour détecter la poursuite visuelle, mais la raison de cette supériorité n’est pas claire. La première étude rétrospective montre que le miroir est plus efficace qu’une photo du patient et qu’une photo d’un visage familier. Cela ne conforte pas l’hypothèse autoréférentielle, mais d’autres tests sont nécessaires pour l’infirmer définitivement. La seconde étude compare le miroir à une photo du patient et une surface qui présente tous les aspects physiques du miroir (brillance et dynamisme) mais dans laquelle on ne peut se reconnaître. Une tendance s’observe : seuls le miroir et la photo du patient se distingueraient, indiquant que les propriétés physiques du miroir seraient responsables de sa supériorité. De futures études sont nécessaires pour confirmer cette hypothèse avec des résultats statistiques solides.
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La mémoire prospective fait partie intégrante de notre quotidien. Elle nous permet de mener à bien des intentions et d’être socialement bien perçus. Cette mémoire, bien que constamment utilisée dans le quotidien est sujette à l’effet de l’âge, réduisant ainsi l’autonomie des personnes âgées et par conséquent leur qualité de vie. Il semblerait que la quantité de ressources auto-initiées nécessaire à une tâche soit à la base des effets de l’âge (Craik, 1986). Ainsi, nous avons tenté de mettre en évidence l’efficacité d’une technique d’imagerie mentale visant à transformer une intention contrôlée en une intention automatique. L’efficacité de l’auto-imagination ayant déjà été mise en évidence chez des patients cérébrolésés (Grilli & Glisky, 2010), il nous a semblé intéressant d’investiguer l’apport bénéfique de cette technique sur la mémoire prospective de nos aînés. Par ailleurs, l’intérêt grandissant porté à l’hypnose nous a poussée à explorer son apport tant sur l’auto-imagination que sur la mémoire prospective. Ce procédé ayant également pour conséquence de favoriser l’utilisation de processus automatiques au détriment des processus contrôlés pour diverses tâches cognitives. Dans cette étude, les participants devaient répondre à une série de questions de culture générale (vrai/faux) et appuyer sur la barre d’espacement à l’apparition du mot cible. De plus, ils étaient répartis aléatoirement dans trois conditions : « auto-imagination », « répétition » et « hypnose ». Les sujets de la première condition devaient s’imaginer eux-mêmes appuyer sur la barre d’espace à l’apparition du mot cible. Dans la deuxième condition ils devaient répéter oralement une consigne. Pour les sujets de la condition « hypnose », le procédé était le même que pour la première condition si ce n’est qu’on les induisait en hypnose. Les analyses ont mis en évidence un effet bénéfique de l’auto-imagination et de l’hypnose sur les performances en mémoire prospective. Il semblerait donc que l’utilisation de l’imagination améliore les capacités de mémoire prospective de nos aînés. Les résultats de cette étude sont dès lors intéressants car ils pourraient être applicables dans la pratique clinique des neuropsychologues.
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Introduction : Une opération cardiaque et une hospitalisation dans un service de soins intensifs sont des évènements stressants qui peuvent engendrer une douleur importante chez les patients. Le stress et la douleur, même ressentis durant ce court laps de temps, peuvent être la source de conséquences plus ou moins importantes à court, moyen et long terme. De nos jours, les traitements non médicamenteux constituent une alternative aux médicaments, couteux et pouvant être néfastes pour le patient. L’une d’entre elles est la musicothérapie et fait l’objet de cette étude. Notre objectif est d’évaluer l’impact à court terme d’une séance de musique sur la douleur du patient opéré cardiaque et sur ses paramètres physiologiques et psychologiques. Méthode utilisée : Cette étude prospective, se déroulant de septembre 2018 à mai 2019 dans 3 services de soins intensifs du CHU de Liège, est de type quasi-expérimental avec échantillonnage aléatoire systématique. 50 patients conscients, orientés et stables ont été répartis entre le groupe « contrôle » et le groupe expérimental « musique ». Ce dernier bénéficiait de 3 séances de musique enregistrée en « U » de 20 minutes, une le jour avant l’opération et deux le jour après l’opération le matin et l’après-midi. Résultats : Au total, 46 patients ont été inclus dans deux groupes homogènes : 23 dans le groupe « contrôle » et 23 dans le groupe « musique ». Les statistiques ne révèlent aucune modification des paramètres physiologiques et psychologiques chez le groupe « contrôle ». En revanche, dans le groupe expérimental, on observe des variations statistiques significatives entre les paramètres avant et après la séance de musique : la douleur diminue de 3.2 à 2.5 avec p = 0.037, la fréquence cardiaque diminue de 77.3 à 74.5 batt/min avec p = 0.007, la tension artérielle diminue de 126 à 119 mmHg avec p = 0.001, le stress diminue de 4.3 à 3.3 avec p = 0.006 et la relaxation augmente de 4.6 à 6.5 avec p = 0.001. Conclusion : La musicothérapie est une technique non pharmacologique, simple d’utilisation, peu couteuse, peu chronophage pour le personnel soignant et sans effet secondaire rapporté dans notre échantillon. Elle peut donc facilement s’intégrer dans la prise en charge habituelle pluridisciplinaire du patient opéré cardiaque. Au vu de nos résultats, la musique semble être une technique alternative efficace pour rendre le séjour du patient en soins intensifs le plus confortable possible.
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