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Ovosodo
Author:
Year: 2003 Publisher: [S.l.] : RCV,

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Film
Chaque jour que Dieu fait
Author:
Year: 2012 Publisher: [Lieu de publication inconnu]: Motorino Amaranto,

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C'est l'histoire de Guido et Antonia, deux amoureux que tout oppose et tout rapproche : lui, patient, posé et cultivé, travaille de nuit comme portier dans un hôtel et étudie les langues anciennes. Elle, angoissée, instable, susceptible et fière de son manque d'érudition, travaille de jour dans une entreprise de location de voitures et veut devenir chanteuse. Ils se croisent (et s'aiment) au petit matin, lorsque Guido rentre du travail et réveille Antonia, qui elle, doit s'y rendre. Un jour ils décident d'avoir un enfant...

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Book
The leisure seeker
Author:
Year: 2017 Publisher: S.l. Imagine Film Distribution

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Film
Caterina va in città
Author:
Year: 2003 Publisher: [S.l.] Home screen

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De familie Iacovoni verhuist van het platteland naar Rome. Vader Giancarlo (Sergio Castellitto) is een wraakzuchtige, ambitieuze leraar boekhouden. Vernederd door meer dan tien jaar afzondering in een middelmatige technische universiteit hoopt hij in Rome de erkenning en het respect te krijgen die hij denkt te verdienen. Hij wordt geadoreerd door zijn vrouw Agatha, een simpele plattelandsvrouw die kinderlijk naief is en allerlei complexen is aangepraat door haar man. Giancarlo heeft al zijn hoop gevestigd op zijn dertienjarige dochter Caterina, een verlegen meisje met een passie voor zingen, die door haar vader gedwongen wordt bevriend te raken met klasgenoten die uit belangrijke families komen. Caterina's jaar op school wordt een turbulente ontdekkingsreis naar de fascinerende en beangstigende wereld van de Romeinse .upper class.. Tegelijkertijd wordt haar avontuur ook een desillusie die alle dromen van haar vader aan diggelen helpt.
(www.proxis.be)

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Object
Caterina va in città
Authors: --- --- ---
Publisher: S.l. : Homescreen,

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Film
La prima cosa bella
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2012 Publisher: [France] : Wild Side Video,

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Été 1971. Anna, jeune mère ravissante et frivole, remporte le concours de beauté d’une station balnéaire. Son tempérament inconséquent et jouisseur rend sa vie de famille quelque peu chaotique. 30 ans plus tard, toujours marqués par cette vie haute en couleurs, Anna et ses enfants, réunis à son chevet, sauront-ils se réconcilier?... Est-ce l’été, sont-ce les distributeurs? La production italienne parvenue à passer les Alpes ces quelques derniers films (L’amour a ses raisons, notamment) tient, avant tout, de la caricature outrancière. Dans le genre, La Prima Cosa Bella fait figure de must: personnages grossièrement dessinés, pathos ronflant et mise en scène à peine existante. On la sent, pourtant, la volonté de lorgner vers les grandes sagas humaines italiennes à la Nous nous sommes tant aimés. Pourtant… Deux films composent La Prima Cosa Bella. Le second (chronologiquement parlant) suite les pas de Bruno, le fils perturbé de la fantasque Anna, d’âge mûr. Le premier retrace l’âge d’or tumultueux de la belle Anna, et l’enfance de Bruno et de sa sœur Valeria. Les deux narrations sont entremêlées sans que beaucoup de choses nous permettent de faire, formellement, le distinguo – costumes et acteurs exceptés, le réalisateur ne parvient pas à ancrer son récit dans une époque. Pour le passé, c’est la gironde Micaela Ramazzotti qui tient la vedette. Épouse du réalisateur, la jeune femme en fait des tonnes de le rôle de l’éternelle adolescente irresponsable et passablement nunuche (rappelant, sans la désarmante candeur de You, le personnage de la mère du merveilleux Nobody Knows). La vie d’Anna bascule donc le jour fatal de l’élection locale de miss maman (sic). Prise en photo à cette occasion, elle deviendra le personnage d’un cliché qui va exacerber la jalousie de son mari. Paolo Virzì, derrière la caméra, n’est au contraire pas avare des charmes de sa ravissante épouse, filmée avec une impressionnante complaisance. Le contraste avec la composition de Stefania Sandrelli est saisissant, surtout pour qui se souvient du charme époustouflant de l’actrice de Divorce à l’italienne. Elle aussi cabotine en diable, mais l’actrice laisse pourtant transparaître par instants une nostalgie poignante, certainement plus pour son moi passé en tant qu’actrice qu’en tant que personnage. À ses côtés, Valerio Mastandrea campe un Bruno étonnant: longuement décrit par ses proches comme un ours misanthrope, le personnage vire tout à coup dans une empathie, certes bourrue, mais réelle, de fils parfait, tandis que sa prétendue toxicomanie ne se manifeste réellement que pour donner un prétexte à quelques scènes supposées burlesques. En dehors de ça, on bavarde, on crie, on gesticule beaucoup dans La Prima Cosa Bella: un passage obligé pour la comédie dramatique à l’italienne? Quoi qu’il en soit, le film s’y complait joyeusement. Il déborde de sentiment, également: du sentiment uniquement vocalisé, souligné par des dialogues souvent répétitifs, hyperboliques, mais qui ne sont guère portés par l’interprétation. Pas grave, le message est là: malgré tout on s’aime, et c’est bien tout ce qui compte. Peinture superficielle d’une Italie à peine effleurée, La Prima Cosa Bella ignore le souffle des grandes sagas humaines qu’il voudrait ressusciter. Produit par Medusa Films, maison de production contrôlée par Silvio Berlusconi, le film se garde bien de donner corps à son propos, et de donner à réfléchir à son auditoire. Un film gentillet, figé dans une stase artistique inoffensive mais diablement creuse, qui voudrait remplacer sa chair et son sang par trop de mots et trop de gestes. Peine perdue.

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Film
The leisure seeker = : L'échappée belle

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Les années ont passé, mais l'amour qui unit Ella et John Spencer est resté intact. Un matin, déterminés à échapper à l'hospitalisation qui les guette, ils prennent la route à bord de leur vieux camping-car et mettent le cap sur Key West. Ils découvrent alors une Amérique qu'ils ne reconnaissent plus... et se remémorent des souvenirs communs, mêlés de passion et d'émotions.

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