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Mythology, Roman --- Piety --- Public worship --- Mythologie romaine --- Piété --- Culte public --- Rome --- Religion --- Religious life and customs --- Civilization --- Vie religieuse --- Civilisation --- Religion romaine. --- Piété
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La religion des Romains a mauvaise réputation. Comparée aux religions universelles dites du Livre, elle paraît dénuée d'intérêt. Ignorant l'idée de révélation, dépourvue de croyances et de dogmes, elle ne se compose que de rites et d'obligations rituelles. C'est précisément ce ritualisme volontiers prosaïque qui a longtemps été mal compris, voire méprisé. Or rites et sacrifices peuvent manifester une pensée théologique ou philosophique implicite : ils mettent en scène les hiérarchies qui existent dans ce monde-ci et dans l'au-delà, entre les hommes et les dieux, entre les dieux eux-mêmes, et entre leurs partenaires humains. Ainsi, la découpe d'un boeuf, l'ordre de distribution des parts de viande, ou même la manière de les consommer en disent long sur les relations entre les dieux et les humains. C'est ce que montre John Scheid, à travers l'analyse de certains sacrifices pratiqués à Rome entre le IIe siècle avant notre ère et le IIIe siècle après J.-C. : celui de la confrérie religieuse des frères arvales, ceux des Jeux séculaires, les prescriptions sacrificielles de Caton le censeur, et enfin les sacrifices funéraires. Ces actes sacrificiels, dont l'exécution laisse libre cours à une floraison d'interprétations et de croyances, attestent du problème du sens dans une religion sans foi.
Sacrifice --- Rome --- Religious life and customs --- Vie religieuse --- Religion --- Classical History --- Roman Empire --- Sacrifices --- Religion. --- Religious life and customs. --- Sacrifices. --- Rome - Religion --- Rome - Religious life and customs
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Au prisme d’une conception chrétienne de la religion, la relation que les Anciens entretenaient avec leurs dieux et la place qu’ils leur accordaient dans la cité paraissent déroutantes. Dans la religion de la Rome antique, il n’était question ni de Révélation ni de dogmes, pas même de transcendance. À tel point que les philosophes et les théologiens de l’époque romantique ont dénié à la piété romaine son caractère de « vraie foi ». Aux yeux de ses détracteurs, cette religion civique, indifférente à la relation émotionnelle et spirituelle qui se nouerait entre Dieu et l’homme, ne pouvait qu’occulter le « véritable sacré ». Chose étonnante, bien que des décennies de recherches historiques aient documenté les cultes antiques au plus près de la manière dont les Anciens les pratiquaient, certains travaux contemporains continuent de voir en eux une « non-religion », par opposition à une « religiosité » supposée universelle. En s’attachant à réfuter ces théories, ce livre offre une réflexion sur le phénomène religieux et son inclusion dans la société dont la résonance avec les débats contemporains sur la laïcité n’est peut-être pas fortuite. C’est pourquoi la controverse ne met pas seulement aux prises une approche confessionnelle et une approche historique de la question ; elle met en jeu le droit à l’altérité en matière de religion.
Religion and state --- Religion et Etat --- Rome --- Religion --- Cults --- Cults. --- Religion. --- Religion and state. --- Religion and state - Cult - Rome. --- Rome (Empire). --- Religion and state - Rome --- Cults - Rome --- Rome - Religion
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Rome ancienne --- --Ier s., --- Questions romaines --- --Plutarque, --- Rome --- --Plutarch --- Plutarch --- Knowledge --- Religion --- Social life and customs --- Civilization --- Plutarch. --- Plutarchus --- Plutarkh --- Plutarkhus --- Plutarque --- Plutarco --- Plutarchus, --- Plutarch, --- Ploutarchos --- Blūtārkhūs --- Плутарх --- Плутах --- Plutarh --- פלוטארכוס --- پلوتارخ --- Πλούταρχος, --- Pseudo-Plutarch --- Plutarkhosz --- Civilization. --- Religion. --- Social life and customs. --- Ploetarchos --- Plutarchus Chaeronensis --- Ier s., 1-100 --- Plutarch - Aetia Romana --- Plutarch - Knowledge - Rome --- Plutarque, 46-125 --- Rome - Religion --- Rome - Social life and customs --- Rome - Civilization
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L'étude de la religion romaine soulève nombre de problèmes. Au-delà de la similitude des termes religieux, encore en vigueur de nos jours, il existe des différences fondamentales de sens et d'interprétation. Par ailleurs, le terme « Romains » lui-même recouvre des réalités très diverses selon l'époque, le lieu et le statut de chaque individu. On ne peut donc parler globalement d'une religion romaine et le choix a été fait ici d'entendre par Romains tous les citoyens romains et leurs dépendants vivant à Rome ou dans les cités romaines.Des textes et des images illustrent cette étude revue et augmentée, que l'auteur a voulue structurelle plutôt que chronologique. Un tableau des événements marquants de la République puis de l'Empire romain, une bibliographie et un index donnent au lecteur les instruments de travail et de compréhension.
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Foisonnante, inventive, en prise constante avec la vie de la Cité, la religion romaine diffère radicalement de nos religions modernes. Elle n'exigeait en effet aucune croyance conforme à une doctrine, ne connaissait ni pratique méditative, ni lectures de textes sacrés, ni prières contemplatives et intériorisées. Les " fidèles " des dieux romains n'étaient pas des croyants pris dans leur vie religieuse personnelle, mais des citoyens conçus dans leur être collectif et leurs aspirations communautaires.Dans la Rome antique, tout acte collectif possédait un aspect " sacré ", et tout acte religieux un aspect civique. C'est cet univers rituel singulier que revisite ici le grand spécialiste de l'Antiquité John Scheid, prenant appui sur les avancées les plus récentes de l'archéologie. Temples des dieux, bâtiments communautaires, règles de consécration, calendriers liturgiques, actes divinatoires, pouvoir des auspices, rites de purification, rôles sacerdotaux tenus par les consuls, gouverneurs, centurions, présidents de collèges d'artisans, pères de famille...John Scheid souligne l'extraordinaire vitalité des rites romains, met en exergue leur puissance d'incantation et leur ambition de réunir à chaque instant les hommes et les dieux. Il décrypte aussi le rôle social des sacrifices et offrandes d'animaux, de végétaux cuisinés, de vin, d'encens...
Rites and ceremonies --- Rome --- Religious life and customs. --- Religion. --- Vie religieuse --- Religion romaine --- Rites et cérémonies. --- Religion
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Inscriptions, Latin --- Inscriptions latines --- Conditions sociales --- Religion romaine. --- Rites et cérémonies --- Vie religieuse --- Rome --- Religion --- Religion. --- Latin inscriptions --- Latin language --- Latin philology --- Rome - Religion
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En opposant aux discours sectaires les armes universelles de l'histoire, de la philologie et de l'anthropologie, bref tout l'arsenal de la science et de la raison, l'histoire des religions du passé nous met en mesure de dégonfler les mythes modernes, ceux des autres, mais également les nôtres. Elle permet de repérer la projection dans le passé imaginaire des "origines" de fantasmes nationalistes, religieux ou racistes, et de désarmer les interprétations outrées qui peuvent être faites des textes sacrés. À l'intérieur des nations héritées du XIXe siècle, l'histoire ancienne peut aider à déconstruire la représentation que les États-nations se font parfois de leur passé, en montrant que malgré leur apparente proximité, leurs "ancêtres" sont aussi éloignés de la société actuelle que les habitants des antipodes. Elle permet de contester le "miracle grec", le "génie romain", la "supériorité germanique", ou encore la dialectique hégélienne selon laquelle les religions et l'histoire tendent vers le monothéisme chrétien. By opposing sectarian discourses with the universal weapons of history, philology and anthropology, in short, the entire arsenal of science and reason, the history of religions of the past enables us to deflate modern myths, and not only those of others but also our own. It allows us to identify the projection, in the imaginary past, of the "origins" of nationalist, religious or racist fantasies, and to disarm exaggerated interpretations of the sacred texts. Within nations inherited from the 19th century, ancient history can help to deconstruct the representation that nation states sometimes create of their past, by showing that despite their apparent proximity, their "ancestors", often simply assumed to be so, were as distant from the current society as the inhabitants of the antipodes, and hardly resembled the image assigned to them. It enables us to challenge the "Greek miracle", the "Roman genius", the "Germanic superiority", or the Hegelian ..
Religions --- Civilization, Ancient --- History. --- Rome --- Religion. --- Ancient civilization --- institutions --- Rome antique --- Antiquité --- archéologie --- histoire des religions --- religion
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