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film (4)

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Language

French (6)


Year
From To Submit

2012 (4)

1902 (1)

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Book
Section du Brabant : Dispensaire Albert-Élisabeth : Exercise 1902.
Author:
Year: 1902 Publisher: Bruxelles : Ligue nationale belge contre la tuberculose ;

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Abstract


Periodical
Rapport annuel
Author:
Publisher: Anvers

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Film
L’activité de la Croix-Rouge du Congo au Népoko = De bedrijvigheid van het Roode Kruis van Congo in Nepoko

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Abstract

À travers sa Mission Cinématographique au Congo en 1928, Genval montre les multiples activités de la Croix-Rouge au Congo, accompagnées de nombreux panneaux explicatifs bilingues (français/néerlandais). Cette activité de bienfaisance, installée dans tout le pays grâce au soutien de l’Etat, de certaines personnalités et organismes coloniaux, vise à endiguer les maladies tropicales en général, mais se concentre en particulier sur la lutte contre les maladies vénériennes, la mortalité infantile et la lèpre. C’est dans ce cadre que s’est ouvert en 1925, à Pawa (Nepoko), en pleine brousse, le premier centre d’assistance médicale indigène, géré par le Dr Conzémius, assisté par l’infirmier Wary, et sur lequel ce reportage se concentre. La région connaît les ravages de ces maladies de manière récurrente. A ce poste s’ajoutèrent un village pour les tuberculeux ainsi qu’une maternité, dirigée par la femme du Dr Conzémius, accoucheuse de formation. La première tâche du Dr Conzémius fût d’effectuer un recensement médical complet concernant les ravages de la lèpre dans la région. Plusieurs dispensaires ruraux s’ouvrirent ensuite (Isira, Tengu, Babonde, Ilambi, Niapu), dans lesquels les malades sont inscrits, soignés, puis envoyés vers le centre de Pawa, mieux équipé et plus organisé. Dans des « villages de ségrégation » (lèpre ou tuberculose), les malades vivent dans leur milieu et travaillent volontairement à leurs plantations, précise l’auteur. Les soins leur sont prodigués par des infirmiers, sous la direction du Dr Conzémius. Lui comme sa femme font de la prévention directement dans les villages, afin de montrer aux villageois les risques encourus s’ils ne se soignent pas, et les encourager ainsi à se rendre spontanément dans les dispensaires ou à la maternité où sont installées des maisons d’attente pour les femmes prêtes à accoucher. Le résultat est probant : les images s’arrêtent sur des forts et beaux bébés, tous en excellente santé

Keywords

Colonie --- Cinéma --- Sources --- Dispensaire --- Lèpre --- Mortalité --- Santé --- Tuberculose --- Congo belge --- Nepoko --- Belgique


Film
La brousse évolue

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Abstract

« On médit parfois de l'action des Européens dans les territoires d'outre-mer. Elle a pourtant de forts bons côtés»: ainsi débute le commentaire de ce reportage, prononcé par le directeur du F.B.I. (Fonds du bien-être indigène) qui établit les bases du message véhiculé par le documentaire. En effet, précise la voix off, la présence blanche en Afrique a permis d'apporter à des «groupes humains restés il y a peu à l'âge de fer ou de bronze», l'hygiène et le confort matériel. De nombreuses villes modernes, ainsi que de puissantes industries et plantations ont été érigées au Congo grâce à leur présence. Ce discours constitue le leitmotiv du reportage.Le Fonds du bien-être indigène a été créé en 1947 et œuvre à «rendre la vie des villageois plus facile, plus saine et plus rémunératrice». Sur base d'images illustrant ses propos, la voix off va donner «un vrai aperçu de quelques-uns des problèmes qui se posent et des solutions qui y sont apportées». En matière d'hygiène, d'abord, des religieuses ont été équipées d'un dispensaire roulant leur permettant d'aller à la rencontre des groupes de Pygmées vivant dans la forêt équatoriale. Elles leur apportent du sel, du lait en poudre et des soins médicaux divers. De plus, le Fonds œuvre également à combattre la mortalité infantile et à apporter des soins adéquats aux nourrissons dans tout le pays. Des cours de ménage sont également mis à la disposition des Congolaises. Ces images sont montrées sur un fond de musique africaine rythmée par des tam-tams et des chants. Mais lorsque le commentaire affirme: « Les filles de la brousse ont désormais le désir de s'habiller décemment», alors le fond sonore change du tout au tout, des tam-tams africains à Mozart. Le F.B.I. a également entrepris des changements en matière d'aménagement sanitaire, et plus particulièrement de la gestion de l'eau. Des progrès ont été faits dans le domaine de la pisciculture. Plus de 22 000 puits et sources ont été aménagés par le Fonds. Les Congolais sont montrés en pleine activité (travail manuel, lessive, nettoyage), ils apparaissent heureux et souriants. En plus de l'aide apportée aux hommes, le F.B.I. s'investit également dans le soin apporté aux animaux. Des stations d'élevage ont été mises sur pieds et ont pour but de dresser les bovidés afin de les vendre à des agriculteurs congolais par la suite.Le reportage s'achève sur une fête montrant un village africain fêtant l'acquisition de nouveaux bétails. Ils dansent et chantent, tandis que la voix off déclare : 'A cette joie de la nouvelle acquisition, se mêle, on peut le dire sans exagération, un sentiment de reconnaissance envers une institution dont le Noir a pu apprécier les tangibles bienfaits. Au rythme prenant de ces grands xylophones, la brousse et ses habitants chantent la joie de vivre'


Film
Forminière
Author:
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Dans cet exceptionnel document en noir et blanc sont détaillées les activités de la Forminière (Société internationale forestière et minière du Congo, fondée en 1906) au Kasai. De la prospection fluviale à l’exploitation d’un site, les étapes de production sont dévoilées dans la première partie du film, dont les images évoquent avec force et éloquence le travail exigé à l’époque par le secteur minier. Le cycle de la production commençait par le lavage, puis le tri du gravier diamantifère qui était ensuite classé, concentré et piqué. Les « chemins de base » tracés dans la forêt en vue de l’analyse du sous-sol étaient réalisés par creusement de puits ou par sondage mécanique. La Forminière exploitait ainsi plusieurs centres, dont les plus importants possédaient leur propre centrale électrique, ainsi que des ateliers de réparation. Le bois nécessaire aux besoins de l’exploitation était débité sur place. Cherlesville, port de transit sur le Kasai, appartenait également à la société. De là, une ligne de chemin de fer permettait de rejoindre Makumbi puis, en remorqueur, Tshikapa. Sur les concessions, les Européens avaient le loisir de s’adonner au golf ou au tennis. A bord du Maie Munene, il leur était également possible de rejoindre directement Léopoldville à partir de Charlesville. Des postes du T.S.F. fonctionnaient à Charlesville comme à Tshikapa et un réseau routier sillonnait toute la région d’exploitation où des fermes avaient été créées par la compagnie minière (bétail, potagers, distributions de vivres). La troisième partie du film se concentre sur des aspects plus spécifiquement liés au personnel africain qui était employé par la Forminière : les travailleurs étaient examinés, vaccinés, logés et nourris par la société, qui avait également développé des centres d’achat à leur attention, des dispensaires et plusieurs hôpitaux (dont le principal était sis à Tshipaka), une œuvre d’assistance à l’enfance, ainsi que des écoles professionnelles destinées à la formation de la main d’œuvre. Ainsi la Forminière, à l’exception de l’ « amour de la danse », considérait avoir éradiqué les anciennes coutumes des zones « quasi sauvages » où elle était active, les remplaçant avantageusement par « les bienfaits de la civilisation »


Film
Marie lépreuse
Authors: --- --- --- ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Ce film est réalisé à la léproserie de Yonda, à Coquilhatville et dans ses environs et est le fruit de la collaboration entre les missions (du Sacré Cœur et de Saint-Vincent-de-Paul), la société l’Equatoriale SECLI, le dispensaire provincial de la lèpre, la Caisse d’épargne, ainsi que les habitants des villages de Makanza et Baloyi desquels sont originaires les acteurs. Le film raconte les tribulations de Jean et Marie, jeunes mariés dont la vie de couple bascule le jour où Marie contracte la lèpre. L’abbé Cornil met en cène les difficultés et les déchirements auxquels Jean doit faire face. Dans la seconde partie du film, sa femme et lui parviennent à surmonter cette épreuve. Dénonçant certains schémas sociaux « traditionnels » au profit de valeurs chrétiennes et coloniales, cette semi-fiction entrecoupée de passages plus didactiques sur le fonctionnement des plantations de latex, sur la lèpre, son traitement, l’organisation de la léproserie Yonda, sur nombres d’autres aspects susceptibles de toucher le quotidien de Congolais intégrés à la vie coloniale de l’époque. Quelques publicités (pour la Caisse d’épargne notamment) se sont en outre subtilement glissées ci et là dans le scénario et, en définitive ce long-métrage est un véritable hommage à la grandeur du système colonial congolais. Car, effectivement, c’est bien grâce à lui, et à plusieurs de ses acteurs, que Jean et Marie à la fin du film, enfin libérés du poids de la tradition, peuvent envisager de couler ensemble des jours heureux et tranquilles sous la haute bienveillance de la Belgique coloniale et sous les danses de fêtes de femmes Ekonda de Bongonde.Une voix off narre l’histoire tandis que quelques (rares) passages dialogués, non sonorisés, mais pourtant nécessaires à la compréhension du récit, sont sous-titrés en français

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