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Esthétique. --- Fini (philosophie) --- Infini.
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L'auteur s'attache à analyser un événement banal et étrange à la fois, tragique mais familier. [Source : Electre]
Mort --- Fini (philosophie) --- Néant (philosophie) --- Philosophy
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Dimension fondamentale de l'existence incarnée, la finitude évoque au premier abord l'expérience négative des limitations qui cernent l'être humain. Mais en quel sens l'expérience de la finitude est-elle porteuse d'une signification positive ?Les contributions ici réunies, dans leur diversité et leur complémentarité, abordent cette question à la lumière de la pensée d'Edith Stein.La compréhension steinienne de la finitude humaine est inséparable d'une lecture critique de la philosophie de l'existence de Heidegger, dans la mesure où Edith Stein a cherché à penser le désaccord qui l'opposait à l'analytique de l'être-pour-la-mort. Tout en désignant la personne humaine comme un être essentiellement limité et temporellement mortel, la finitude, telle qu'Edith Stein la conçoit, est positivement liée à la liberté entendue comme la capacité pour un individu de répondre à ce qui le précède et l'appelle : les valeurs, autrui, et ultimement le Tout-Autre. Profondément incarnée, la signification steinienne de la finitude est également liée à l'expérience de la blessure, solidaire d'une réflexion sur la vulnérabilité et la relation à l'altérité dont les implications s'avèrent d'une étonnante modernité.Conformément à la dynamique d'une ascension vers le sens de l'être qui sous-tend le rapport entre être fini et être éternel, Edith Stein va jusqu'à envisager la finitude humaine dans la perspective de « la relation de l'âme avec Dieu ».Ce volume offre enfin une étude comparative sur Edith Stein et Franz Rosenzweig.Avec les contributions de : Sophie Binggeli, S?ur Jean-Edith Ginot, Emmanuel Cattin, -Bénédicte Bouillot, Bérengère Guérin, Éric de Rus, Félix Resch
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Philosophy. --- Philosophy --- Mental philosophy --- Humanities --- Pensée --- Fini (philosophie) --- Signification (philosophie) --- Valeurs (philosophie)
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L'infini : une notion qui peut être religieuse, mathématique, physique et, bien sûr, philosophique. Depuis très longtemps, une discussion s'impose : l'homme est fini, puisqu'il meurt, alors comment un être fini peut-il comprendre ce qui est infini ? Alain Badiou donne deux définitions du fini : comme limite dans l'espace et comme terme dans le temps. La vie humaine a un terme dans le temps et une limite dans l'espace.L'infini, quant à lui, est "le contraire de la mort" , c'est-à-dire ce qu'il ne connaît pas de terme dans le temps et n'a pas de limite dans l'espace. Cette Petite conférence commence par une analyse linguistique, puis traite de la mort, des mathématiques, de l'univers, de l'art... et se termine par des considérations sur le bonheur, et sur l'être humain, qui possède la propriété d'être fini et infini.
Fini (philosophie) --- Infini. --- Finite, The --- Infinite --- Infinity --- Finiteness --- Finitude --- Finity --- Ontology --- Philosophy
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Pascal s’installe dans nos mémoires comme un écrivain funeste, et son œuvre paraît être à la fois une dénonciation des vanités humaines et un rappel intempestif de notre mort. Mais cette image ressaisit-elle justement la pensée pascalienne de la fin, en son double sens de terme et de destination ? C’est à cette question que ce livre tente de répondre, en proposant le portrait d’un Pascal moins attaché à dire les limites de l’homme qu’à montrer et analyser les efforts de ce dernier pour ne pas en rester à sa finitude constitutive : dans l’épreuve de son corps, de son esprit, et de sa volonté, dans sa vie collective comme dans sa vie singulière, l’homme ne cesse d’osciller entre les pôles de la fermeture et de l’ouverture, entre l’impossibilité et la possibilité, entre l’horizontalité de son monde et la verticalité de ses désirs. « L’homme passe l’homme », porte un fragment des Pensées : véritable noyau de l’œuvre et de ses formes, ce passage, irréductible au désaveu de la raison, impose d’y découvrir une méditation de la joie et de la promesse autant qu’un mémorial de la contingence. Voilà une écriture qui se sera donné pour tâche, dans le sillage de Montaigne, de faire tomber la finitude de l’homme dans la langue pour mieux en dire la réversibilité.
Mort --- Fini (philosophie) --- Pascal, Blaise, --- Critique et interprétation --- Philosophy, French --- Pascal, Blaise, 1623-1662
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La pédagogie de la finitude est à la fois très ancienne - aussi vieille que la sagesse, pourrait-on dire - et toute récente, dans le sens d'une éducation destinée aux élèves. Dans le contexte scolaire, elle vise la prise de conscience que tous les êtres vivants sont limités. Une telle prise de conscience amène une meilleure connaissance de soi et du monde qui nous entoure. Il s'agit donc d'encourager l'élève à réfléchir à ses propres vulnérabilités et à celles d'autrui. Cette réflexion nourrit une attitude plus empathique et bienveillante et des comportements tournés vers la solidarité et la coopération. Comment y parvenir ? En utilisant des méthodes variées. Cet ouvrage propose des pratiques éducatives concrètes d'éducation à la finitude, dans le cadre d'enseignements disciplinaires (art, français, géographie...), mais également hors de ceux-ci. Les enjeux spirituels et existentiels sont aussi considérés et des modalités d'accompagnement laïque sont proposées.
Finite, The. --- Philosophy --- Fini (philosophie) --- Philosophie --- Study and teaching. --- Étude et enseignement.
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Le Volontaire et l'Involontaire constitue le premier tome, publié en 1950, de la trilogie de la Philosophie de la volonté. Deux projets s'y croisent. Le premier est de prendre la mesure de la passivité qui dément la prétention du cogito d'origine cartésienne à se poser souverainement lui-même. Le second est de porter aussi loin que possible la description pure à la façon de l'intuition eidétique de Husserl, des structures du vouloir : projet, imputation, motivation, désir, effort, émotion, habitude. Le premier projet appelle le complément d'une méditation sur la " disproportion " de soi à soi-même, qui définit le statut ontologique de " L'Homme faillible ". Le second rencontre sa limite dans la nécessité de mettre toujours entre parenthèses la condition d'une volonté depuis toujours mauvaise. La parenthèse sera levée dans " La Symbolique du mal " qui marquera le passage d'une phénoménologie pure à une herméneutique.
Volonté. --- Psychologie. --- Morale. --- Mythe. --- Philosophical anthropology. --- Will. --- Wil. --- Filosofie. --- Volonté --- Philosophie. --- Psychologie --- Morale --- Mythe --- Culpabilité --- Problème du mal. --- Fini (philosophie). --- Philosophie de l'homme. --- Volonté. --- Religion. --- Problème du mal. --- Fini (philosophie)
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Derrida est un philosophe exemplaire du xxe siècle. Il connaît remarquablement tout ce qui s'est écrit en philosophie depuis Platon. Il partage avec Descartes le geste de rompre, de déconstruire, de déterminer de nouvelles références pour s'orienter, aujourd'hui, après le siècle des Grandes Guerres, des grandes crises, siècle en lequel l'homme se voit capable de tout détruire, de porter l'évolution vers sa propre fin. L'idée de finitude veut dire non seulement la limite de notre pouvoir de connaître mais encore celle des illusions de la modernité. Pour la première fois sans doute, au nom de la grandeur de l'humanité, de sa puissance, de sa morale et des progrès dont l'homme s'est voulu le maître, un monde est menacé de finir. Mais Derrida n'en reste pas à un constat de fin des temps. Sa déconstruction de la tradition se fixe pour but de délivrer un autre sens que celui de la raison si autoritaire et autocratique. Un sens qui ouvre des perspectives du côté de l'art, de la technique, des folies littéraires autant que de la vie animale dont le regard touche un réel très différent. L'univers des signes n'est pas le propre de l'homme et se trouve tracé déjà par des choses qui ne dépendent pas de nous, de notre interprétation, des ressources de notre domination intellectuelle. C'est cette approche des signes libérés de l'autorité de la conscience que ce livre veut reprendre avec Derrida pour reconduire à un réel autrement sensible. Réalité qui ne se laissera plus absorber par la finitude, par les fins de l'homme qui avaient bouché l'horizon en enfermant toute vie dans les ressources du moi le plus haïssable.
Derrida, Jacques, --- Fini (philosophie) --- 2ram --- Derrida, Jacques (1930-2004) --- Critique et interprétation --- Finiteness (Linguistics) --- Deconstruction --- Finite, The --- Derrida, Jacques, - 1930-2004 --- Derrida, Jacques, 1930-2004
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