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Thrombose. --- Infarctus. --- Intestin grêle --- Maladies.
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Gastroenterology. --- Estomac et intestin, maladies --- Gastroentérologie
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Dunne darm --- Intestin grêle --- 616.3
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Enterologie --- Enterologie --- Gastrologie --- Ingewandsziekten --- Intestin --- Maagziekten --- 616.33/34 (05)
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Le tractus gastro-intestinal contient la plus grande population de cellules productrices d'hormones de l’organisme, les cellules entéroendocrines. Ces dernières, bien que dispersées dans l'épithélium digestif, contrôlent de nombreuses fonctions physiologiques telles que la sécrétion des enzymes digestives par le pancréas exocrine ou le contrôle de la glycémie. La différenciation de ces cellules est sous contrôle de la voie de signalisation Delta-Notch qui joue un rôle clé dans la spécification du destin cellulaire dans le tube digestif. Elle exerce cette fonction via des facteurs de type « basic Helix Loop Helix (bHLH) », membres de la famille « Achaete Scute Complex Like (ASCL) » ou de la famille des « Atonal Related Proteins (ARP)». Cette dernière est subdivisée en protéines de type NeuroD, Neurogénine et Atonal. Les recherches ont démontré une grande conservation de ces familles, mais également une grande diversité de répartition de leurs facteurs au sein des tissus et des espèces. Ces caractéristiques ont mené à l’étude chez le poisson zèbre de leur interchangeabilité. En ont résulté des observations qui témoignent du rôle unique de NeuroD1 à différencier les cellules entéroendocrines lorsque celui-ci est exprimé de façon ubiquiste dans les progéniteurs intestinaux. De façon surprenante, les facteurs Ascl1a,b et Atoh1a,b qui prévalaient comme potentiels déterminants de ces cellules ne semblent pas avoir cette capacité de manière intrinsèque. C’est à partir de ce constat qu’une curiosité s’est développée pour NeuroD1. Ce travail s’inscrit dans le projet FRIA d’Anne-Sophie Reuter qui a pour but d’élucider les mécanismes propres à NeuroD1 qui font de celui-ci un facteur particulier dans la différenciation de l’épithélium intestinal chez le poisson zèbre. Ici en l’occurrence la détermination des caractéristiques structurelles de la protéine NeuroD1 en fut le sujet principal. Pour ce faire, des domaines protéiques de NeuroD1 et d’Ascl1a ont été interchangés afin de déterminer le ou les domaines spécifiques de NeuroD1 lui conférant son rôle différenciateur de cellules entéroendocrines. Les résultats semblent indiquer que NeuroD1 serait responsable de la différenciation d’une sous-population, vraisemblablement via un domaine situé en aval du domaine bHLH. D’autres recherches seront nécessaires pour préciser les éléments qui régissent ces mécanismes. En étudiant le mode d’action de NeuroD1 et des ARP/ASCL il est alors possible d’en déchiffrer la physiologie qui permettra à l’avenir de perfectionner certains moyens thérapeutiques dans les domaines des entéropathies ou de l’obésité.
poisson zèbre --- neuroD1 --- entéroendocrine --- intestin --- ascl1a --- ARP --- ASCL --- Notch --- Sciences du vivant > Biochimie, biophysique & biologie moléculaire
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Intestin grêle --- Tuberculose --- Lésions et blessures --- Thèses et écrits académiques. --- Complications --- Thèses et écrits académiques.
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Dans notre société actuelle, le stress chronique léger fait partie de notre vie quotidienne et son impact sur la santé mentale représente une problématique de plus en plus importante au niveau de la santé publique mondiale. Un lien bidirectionnel appelé : l’axe intestin-cerveau entre le système nerveux central et le microbiote intestinal a été mis en évidence dans les pathogénies de divers troubles psychologiques dont l’anxiété, les troubles de la cognition et la dépression. Cet axe peut être influencé par de nombreux facteurs telle que notre alimentation. Le microbiote intestinal intervient dans divers métabolismes physiologiques liés à l’homéostasie du système nerveux central comme le métabolisme du tryptophane, précurseur de la sérotonine, un des neurotransmetteurs « du bonheur » les plus connus. L’impact du stress sur le microbiote intestinal, considéré comme un organe externe de notre organisme impliqué dans nos humeurs, est de plus en plus étudié et documenté. Le ciblage thérapeutique de cet axe à l’aide de prébiotiques, probiotiques et plus spécifiquement psychobiotiques dans le traitement des troubles de l’humeur et de cognition constitue une perspective alternative intéressante. L’objectif principal de ce travail est de réaliser une revue de la littérature sur les différents prébiotiques et probiotiques ayant fait l’objet d’études pour leurs capacités à agir sur le métabolisme du tryptophane et plus spécifiquement de la sérotonine dans le traitement de trouble psychologique induit par le stress. Une vingtaines d’études dans des modèles in vivo humains et animaux ont exposé un nombre relativement réduit d’espèces bactériennes et de nutriments ayant un effet pertinent pour le sujet de la recherche. La lecture de ces articles a mis en évidence le manque d’exhaustivité de la compréhension des mécanismes d’action des psychobiotiques sur l’axe intestin-cerveau et l’existence de lacunes dues par exemples à la diversité et la non-uniformité des paramètres étudiés et à la présence de biais comme l’absence de donnée sur le microbiote intestinal ou de l’impact de l’alimentation. Le nombre réduit de nutriments et de souches étudiés pour leurs actions sur ces différentes voies métaboliques mènent également à se pencher sur la recherche de nouveaux psychobiotiques potentiels dans des modèles comparables limitant l’apparition de biais.
probiotiques --- prébiotiques --- voie de la sérotonine --- axe intestin-cerveau --- tryptophane --- stress --- dépression --- humeur --- Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
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