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"Les écrivains sont de précieux alliés et il faut attacher un grand prix à leur témoignage, car ils savent toujours une foule de choses entre ciel et terre, dont notre sagesse d'école ne peut encore rêver. Même en psychologie, ils ont beaucoup d'avance sur nous qui sommes des hommes ordinaires, parce qu'ils puisent là a des sources que nous n'avons pas encore exploitées pour la science. Si seulement cette prise de position des écrivains en faveur de la nature signifiante du rêve était moins ambiguë ! Car une critique plus incisive pourrait bien objecter que l'écrivain ne prend parti ni pour ni contre la signification psychique de tel ou tel rêve, qu'il se contente de montrer que l'âme endormie tressaille sous l'effet des excitations restées actives en elle comme prolongements de la vie éveillée. Pour autant, ce désappointement ne saurait refroidir notre intérêt pour la manière dont les écrivains se servent du rêve. Quand bien même notre examen ne nous enseignerait rien de nouveau sur l'essence des rêves, l'angle choisi nous permettra peut-être un petit aperçu de la nature de la production littéraire".
Psychoanalysis --- Psychanalyse --- Jensen, Wilhelm, --- Jensen, Wilhelm, - 1837-1911 - Gradiva
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Un bas-relief antique, Pompéi, l'archéologie, autant d'éléments qui, dans la nouvelle de Jensen (Gradiva : fantaisie pompéienne), ne pouvaient que parler à Freud. Le psychanalyste est ici devancé par le créateur littéraire dans la connaissance de l'inconscient. Freud suit pas à pas le récit de Jensen, s'attachant aux rêves fictifs de son personnage Norbert Hanold et à sa fantaisie délirante : Gradiva, disparue en l'an 791, revenue à la vie et marchant dans les ruines de Pompéi, tel un fantôme de midi. Mais Gradiva est Zoé, l'amie d'enfance oubliée et bien réelle, qui arrachera Norbert à son délire. Elle devient pour Freud - figure inédite - la femme thérapeute, celle qui comprend et guérit. Une nouvelle, publiée en 1903, inspirée par un bas-relief antique conservé au Vatican. Freud ne résista pas à son charme. En 1906, il publia son commentaire fondé notamment sur la métaphore archéologique.
Psychoanalysis --- Psychoanalysis. --- Freudian Theory --- Jensen, Wilhelm, --- Psychanalyse --- Jensen, Wilhelm, - 1837-1911 - Gradiva --- Jensen, Wilhelm, 1837-1911 - Gradiva
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Thematology --- Psychological study of literature --- Jensen, Wilhelm
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Thematology --- Psychological study of literature --- Jensen, Wilhelm
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Un bas-relief antique, Pompéi, l'archéologie, autant d'éléments qui, dans la nouvelle de Jensen (Gradiva : fantaisie pompéienne), ne pouvaient que parler à Freud. Le psychanalyste est ici devancé par le créateur littéraire dans la connaissance de l'inconscient. Freud suit pas à pas le récit de Jensen, s'attachant aux rêves fictifs de son personnage Norbert Hanold et à sa fantaisie délirante : Gradiva, disparue en l'an 791, revenue à la vie et marchant dans les ruines de Pompéi, tel un fantôme de midi. Mais Gradiva est Zoé, l'amie d'enfance oubliée et bien réelle, qui arrachera Norbert à son délire. Elle devient pour Freud - figure inédite - la femme thérapeute, celle qui comprend et guérit. Une nouvelle, publiée en 1903, inspirée par un bas-relief antique conservé au Vatican. Freud ne résista pas à son charme. En 1906, il publia son commentaire fondé notamment sur la métaphore archéologique.
Psychoanalysis --- Psychanalyse --- Jensen, Wilhelm, --- Psychoanalysis. --- Freudian Theory --- Psychoanalysis and literature --- Jensen, Wilhelm, - 1837-1911 - Gradiva
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