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UCLouvain (3)


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2013 (1)

2011 (1)

2007 (1)

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Film
Learning from light : der architekt I.M. Pei
Authors: ---
Year: 2011 Publisher: Berlin: Salzgeber,

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Abstract

Culture, Nature, and Light: These elements provide the structure of the documentary film that explores the mind and heart of one of the world's master architects, Chinese-American I.M. Pei, while chronicling his latest creation: the Museum of Islamic Art in Doha, Qatar. Already in his 90's, he embarked on another spectacular odyssey, perhaps his toughest yet. "Islamic architecture has a desert origin, and therefore it has a certain modesty I don't want to lose," Pei says in the film. The film visits the Alhambra and Cordoba in Spain, and Cairo in search of Pei's inspiration for the Qatar museum. The new museum has already been dubbed, when it opened in 2008, "The Louvre of the Middle East," and has been baptized an architectural world wonder, exposing one of the worlds most magnificent collections of Islamic art.

Keywords

Portrait --- Musée --- Islam --- Doha --- Qatar --- Palais de l'Alhambra --- Cordoue --- Espagne --- Le Caire


Book
L'architecture Renaissance sous Charles Quint au XVIe siècle : influences et comparaison des styles architecturaux en Belgique et en Espagne

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Abstract


Film
Architectures. 5
Authors: --- ---
Year: 2007 Publisher: Paris: Arte,

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Ce DVD contient 6 épisodes de la série "Architectures". Chaque film analyse un bâtiment à travers des prises de vue réelles, des plans, des maquettes, et en retrace l'histoire tout en le situant dans le contexte de la production architecturale de son époque :1-L' Alhambra de Grenade :Les sultans nasrides, hantés par la disparition inéluctable de leur dynastie, ont fait de leur palais de Grenade une sorte d'éden perdu, dédié à la poésie et à la beauté. Le palais de L'Alhambra, nom qui dérive du mot arabe "Al-Hamra", "rouge", et qui est aussi celui du fondateur de la dynastie nasride, est le dernier bastion maure à tomber aux mains des Rois Catholiques, en 1492, après sept siècles de pouvoir musulman en Espagne. Charles Quint, petit-fils des monarques catholiques conquérants, fera construire son palais à côté de celui des rois nasrides. Autant l'architecture Renaissance semble massive et martiale, autant le palais mozarabe paraît léger et gracieux. Quel que soit l'angle sous lequel on le regarde, il semble replié sur lui-même : pas de grands effets de façades, pas d'entrées monumentales. C'est une architecture qui se développe depuis l'intérieur. Tout l'édifice est une confrontation de pleins et de vides, de compressions et de dilatations, qui participent à la mise en scène du pouvoir.2-La maison Sugimoto :La maison Sugimoto, au centre-ville de Kyoto est un chef-d'oeuvre de l'architecture japonaise traditionelle. Construite en 1743, c'est une grande maison de ville - plus de 15 pièces - avec un programme complexe, lié à l'activité familiale. Elle a été détruite dans le grand incendie de 1870. Heureusement, dans une petite cache en excavation, sous le plancher, les propriétaires avaient eu le temps de déposer l'autel des ancêtres et de plonger dans l'eau du puits le livre des Nen-Chu-Gyoji, livre dans lequel sont consignées les obligations de la maison. Ce livre a permis de reconstruire la maison à l'identique.Nous sommes à Kyoto, dans le quartier sud-ouest qui expose les chars majestueux de la fête de Gion, un des rares quartiers préservés de Kyoto : un quadrillage de la ville en îlots, selon des axes Nord/ Sud et Est/ Ouest, un quadrillage emprunté au VIIIème siècle à la capitale chinoise Chang'An.C'est la maison de la famille Sugimoto qui a construit sa fortune sur le commerce des tissus pour kimono. Aujourd'hui encore c'est un Sugimoto qui y demeure, un professeur d'université3-Le palais des réceptions et des congrès de Rome :Le palais des réceptions et des congrès de Rome : dans le bâtiment le plus ambitieux du régime mussolinien, Adalberto Libera tente l'impossible synthèse entre fascisme et modernité. En 1937, Mussolini décide de lancer un immense chantier d'un nouveau quartier situé au sud de Rome, en vue de l'exposition universelle. Dénommée les Olympiades de la civilisation, l'exposition doit se tenir dans la capitale italienne en 1942, année qui marque le vingtième anniversaire de la Marche sur Rome. Pionnier de la modernité architecturale et fasciste convaincu, Adalberto Libera remporte le concours du Palais des réceptions et des congrès de Rome, qui fait partie du projet. L'architecte a conçu l'édifice comme une « basilique vaste comme un temple », dont la salle des réceptions représente l'aboutissement spatial. Ce cube de 38 mètres de côté, qui peut contenir le Panthéon, est surplombé d'une voûte tenue par une structure en métal fixée aux angles. Aujourd'hui, le bâtiment regroupe plusieurs administrations, des entreprises, des musées nationaux et des habitations privées4-Les gymnases olympiques de Yoyogi :Architecte et urbaniste, Kenzo Tange est l'un des architectes les plus influents de sa génération; il a initié le Japon à l'architecture moderne, découverte dans le travail des maîtres. Il fut, en 1987, le premier Japonais à recevoir le prix Pritzker, la plus haute distinction mondiale en architecture.Il faut remonter à la défaite du Japon après la deuxième guerre mondiale et aux années qui ont suivi : l'occupation du Japon par les Américains (pendant près de 10 ans), son absence de la scène internationale, sa lente reconstruction économique après les destructions massives de la guerre pour comprendre la vraie origine des 2 gymnases olympiques construits par Kenzo Tange pour les Jeux Olympiques de 1964. Il est rare qu'un bâtiment incarne autant d'ambitions : celles d'un architecte et d'une équipe de 25 jeunes architectes et urbanistes, celles d'une ville, celles d'un pays décidé à redevenir une puissance mondiale. Une manière de revanche.5-La villa Barbaro :Ancien tailleur de pierre, l'architecte invente un nouveau type de résidence rurale, moitié palais, moitié ferme. La villa palladienne est une révolution. Pour la première fois, la grande architecture se préoccupe de fonctions et d'habitat, cherchant à lier le beau et l'utile, la colonne de temple et la grange...6-Phaeno, le bâtiment paysage :À la fin des années 1990, la ville de Wolfsburg, située entre Berlin et Hanovre (Allemagne), commande la construction d'un nouvel équipement : un centre des sciences, que l'on appellera Phaeno (comme phénomène, -Phaenomen- en allemand). Ce projet est marqué d'une double ambition : celle d'une femme architecte, Zaha Hadid dont c'est l'une des premières grandes réalisations, et celle de la ville qui veut affirmer sa propre identité face à son puissant contribuable Volkswagen. Un grand triangle de béton repose sur d'étranges pattes, des cônes où sont logées les fonctions secondaires : l'accueil, le restaurant, la boutique, etc. Le triangle, un plan libre d'un seul tenant, est le lieu d'exposition des 250 expériences ludiques et pédagogiques pour enfants et adultes. Le bâtiment propose un trajet, un enchaînement de points de vue, une manière d'être au monde et d'éprouver l'espace, une expérience à vivre au même titre que les expériences sur la vision, la matière ou l'énergie. Comme le dit Zaha Hadid : « Le paysage, c'est le plan. »

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