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Dissertation
Communication entre médecins généralistes et spécialistes : point de vue du radiologue sur les prescriptions d'examens radiologiques des médecins généralistes
Author:
Year: 2004 Publisher: Liège : Université de Liège. Faculté de Médecine,

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PHYSICIAN'S ROLE


Book
Comment bien référer son patient

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Physician's Role


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Comment adresser un patient vers une psychothérapie en tant que médecin généraliste ? : Une thérapie ne se prescrit pas comme un médicament
Authors: --- --- ---
Year: 2016 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine,

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Abstract

En ce XXIème siècle, la santé mentale de nos patients est plus que jamais mise à mal. Ces problèmes de santé touchent un belge sur trois selon la dernière étude nationale de 2013. Nous, médecins généralistes, nous ne sommes pas formés à faire de la psychothérapie. Pourtant, nous sommes souvent le premier refuge du patient, qu'il soit conscient, ou non, de son problème psychique. Malgré nos lacunes en psychothérapie et notre rythme effréné imposé par la pénurie de notre spécialité, notre rôle est alors d'être à l'écoute et réceptifs aux besoins cachés de nos patients. Si la plupart des omnipraticiens ont aujourd'hui admis que le psychisme avait un rôle à jouer dans la maladie et dans la guérison, tous n'ont peut-être pas encore trouvé la bonne méthode et les bons outils pour prendre en charge ces troubles psychiques. Mon sondage auprès des médecins généralistes sur le terrain en témoigne. La littérature médicale, souvent d'une aide précieuse dans notre pratique, n'est pas d'une grande aide pour la prise en charge de ces troubles. Ce travail insiste sur la place du psychisme et l'utilité des psychothérapies chez un soignant spécialisé et distinct du médecin traitant. Il existe des pistes et des outils concrets pour ouvrir une place dans le cabinet de médecine générale aux plaintes mentales. Par exemple, l'anamnèse avec questions ouvertes, l'utilisation de la reformulation et le comportement non-verbal adapté sont de réelles pistes. L'enjeu est cependant de rester vigilant en gardant en tête l'impact du transfert et contre-transfert. Ensuite, une fois le problème mis à nu, il s'agira d'expliquer au patient qu'une psychothérapie pourrait lui être bénéfique et que ce n'est pas du ressort du médecin généraliste. En collaboration avec lui, il faudra alors réfléchir à la manière de réaliser au mieux le transfert du lien. Enfin, le patient deviendra acteur à part entière de la thérapie vers laquelle il sera orienté ; et cela, aussi bien que possible, de façon « EBM » (Evidence Based Medecine). En conclusion, en adoptant quelques bons réflexes et en s'informant davantage sur les différents courants, mais aussi en se créant un réseau proche de spécialistes en santé mentale, nous devrions pouvoir répondre aux besoins de nos patients même si la structure habituelle de prise en charge est quelque peu bouleversée. Le problème du coût assez élevé des thérapies et le manque de systèmes de communication mis en place entre psychologues et médecins généralistes sont à prendre comme des challenges pour l'avenir.


Book
Vivre pleinement... malgré sa maladie
Authors: --- --- ---
ISBN: 2070701093 9782070701094 Year: 1984 Publisher: Paris: Gallimard,

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Dissertation
Préparation du patient à l'anesthésie générale, mise au point d'une démarche d'information
Author:
Year: 1990 Publisher: Liège : Université de Liège. Faculté de médecine (ULg). Département de clinique et pathologie médicales,

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Le médecin en chef : médecin expert et/ou médecin manager ?

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La loi sur les hôpitaux coordonnée par l’arrêté royal du 7 août 1987 (M.B. 7 octobre 1987) a donné un nouveau cadre légal à l’’activité hospitalière et a fondamentalement redéfini les relations entre gestionnaire et corps médical. La volonté politique présidant à cette nouvelle législation était sans nul doute, en réponse notamment à des impératifs économiques et budgétaires, d’intégrer davantage le corps médical au sein d’un concept hospitalier nouveau, dénommé « l’hôpital intégré ». La responsabilité globale et finale de toute l’activité hospitalière était confiée au gestionnaire, tandis que le corps médical se voyait confirmer sa responsabilité et sa liberté dans l’exercice de l’art de guérir et renforcer sa participation au processus de décision.
Cette loi a crée, dans cet esprit, une nouvelle fonction, celle de médecin en chef, chargé de l’organisation et de la coordination du département médical. Il s’agissait de confier à un médecin, issu de la direction, mais jouissant de la confiance du corps médical, une mission d’intermédiaire entre les gestionnaire et le corps médical. Cela permettrait aussi au gestionnaire d’avoir enfin accès par ce biais au contenu de l’activité médicale, qui lui échappait jusqu’à présent au nom du « secret médical », et de pouvoir y procéder à une évaluation qualitative et quantitative. L’arrêté royal du 15 décembre 1987 portant exécution des articles 13 à 17 inclus dans la loi sur les hôpitaux, coordonné par l’arrêté royal du 7 août 1987 (M.B. 25 décembre 1987) a défini par la suite les rôles et fonction de ce médecin en chef, en veillant bien à le mettre en relation étroite avec le conseil médical, les médecins-chefs de service, le directeur et les membres du comité de direction. Le règlement médical enfin définira les relations au sein du staff médical et influencera le cadre de l’activité de ce médecin en chef.
A l’évidence, la création de cette nouvelle fonction a introduit bien des bouleversements dans l’équilibre traditionnel des forces établi entre le conseil d’administration, le directeur, le conseil médical et son président, le chef du département infirmier, les médecins-chefs de service.
Nous disposons aujourd’hui d’un recul d’environ 5 ans depuis l’entrée en vigueur de la législation. Le moment est peut-être venu d’évaluer cette nouvelle fonction, à la lumière du monde hospitalier contemporain et des orientations perceptibles à l’avenir dans l’environnement interne et externe des hôpitaux. Les mutations sont multiples et le médecin chef y occupe de plus en plus une position-clé. Citons particulièrement l’évolution de l’activité médicale et de la culture médicale ; l’évolution du profil et de l’organisation de l’hôpital : l’évolution du cadre légal et réglementaire ; et l’évolution du contexte socio-économique et politique.
la fonction de médecin en chef se construit petit à petit et varie très fort d’un hôpital à l’autre suivant la culture et l’histoire spécifique de celui-ci. Chaque institution l’a définie d’une manière particulière en se référant aux exigences minimales prévues dans la loi, mais en la dotant dans certains cas d’attributions complémentaires inscrites dans le règlement médical ou accordées en vertu d’une délégation de pouvoir de la part du gestionnaire.
Le médecin-chef a un rôle moral vis-à-vis de la profession médical dont il doit bien connaître la déontologie et la culture. Il a également un rôle d’agent de changement dans un cadre hospitalier en mutations. Il a enfin un rôle de garant, en ce qui concerne les matières de son ressort, à l’égard du respect des lois et règlements, qu’il doit donc bien connaître.
Nous assistons essentiellement à deux phénomènes : d’une part, l’accroissement des missions qui sont confiées au médecin en chef et des charges qui pèsent sur lui ; et d’autre part une confusion de plus en plus présente entre deux rôles, à savoir celui d’expert en assurance de la qualité, et celui de responsable de la direction du département médical. L’activité du médecin-chef menée au départ à temps très partiel, a rapidement exigé un mi-temps et beaucoup s’accordent aujourd’hui à dire que c’est insuffisant. Les médecins-chefs nommées les plus récemment l’ont toujours été à titre d’occupation principale, dans la perspective d’exercer cette fonction comme un véritable métier.
L’heure semble venue d’aller plus loin dans la structuration du département médical et dans la définition du management hospitalier.
L’objectif du présent travail est de situer l’environnement de la fonction du médecin-chef et d’y cerner les principales évolutions perceptibles ; de décrire très précisément la législation et les règlements de référence ; de discuter les thèses en présence dans la volonté générale d’adapter ce dispositif légal et réglementaire à l’hôpital d’aujourd’hui et de demain.
Ce travail visera ensuite à confronter les textes de base avec la réalité quotidienne du terrain. De nombreuses interviews réalisées auprès de personnalités du monde hospitalier, de même que la référence aux discussions menées sur le sujet au sein des réunions du C.M.D.H. (Club des médecins directeurs des hôpitaux), et de la « Commission d’organisation médicale » de la F.I.H.-W. ont permis de mettre en lumière la grande diversité des situations et des opinions mais aussi des tendances communes qui se dégagent.
Nous développerons le volet essentiel de l’action du médecin-chef que représente l’assurance de la qualité.
Nous situerons enfin la fonction de médecin-chef dans le cadre d’une structuration nouvelle de l’activité médicale au sein de l’hôpital et dans l’optique d’un système de gestion hospitalière intégré. Nous développerons la description d’un système de gestion du département médical et détaillerons les responsabilités du médecin-chef, que nous appellerons alors directeur médical afin de bien souligner l’orientation managériale qui est donnée à sa fonction. Nous émettrons pour finir quelques réflexions sur le profil du candidat à la fonction, sur la fonction requise et sur le statut contractuel et pécuniaire de celle-ci.
Les conclusions pourront inspirer des éventuels développements à apporter au cadre légal et réglementaire, par le biais de modifications de la loi sur lez hôpitaux, d’arrêtés royaux ou de précisions introduites dans le règlement médical.


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Les rôles du généraliste envers les aidants proches des personnes âgées dépendantes vivant au domicile
Authors: --- ---
Year: 2016 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine,

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Ce travail définit les aidants proches, leurs tâches et les difficultés auxquelles ils peuvent être confrontés. Cela, pour permettre aux généralistes de les comprendre et de les accompagner au mieux. Différents outils pratiques sont ainsi décrits tout au long de ce TFE pour faciliter le travail du praticien : anticiper, dépister et remédier les difficultés rencontrées. La reconnais­ sance légale des aidants proches et, dès lors, les facilités qui leur sont proposées, sont égale­ ment détaillées pour aider le médecin généraliste. Il est basé sur une revue de la littérature et une revue des différents organismes officiels belges qui se penchent sur la place des aidants proches et propos,ent des avantages. Il s'attache à décrire les démarches concrètes à effectuer pour en bénéficier. Les formulaires sont disponibles dans les annexes.Une nuance éthique ponctue les différents paragraphes et boucle ce travail en offrant une petite réflexion


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Le bioterrorisme, pour le médécin de première ligne ... : au cas où ...
Authors: ---
Year: 2004 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Les alertes à l’anthrax qui ont suivi les évènements du 11 septembre 2001, nous ont malheureusement rappelé la réalité du bioterrorisme. Il n’est pas impossible que nous y soyons un jour confrontés. Les médecins de première ligne se doivent d’être prêts à cette éventualité. Pour se faire, il est important de nous rappeler quelques notions indispensables concernant l’usage d’armes biologiques.
Au premier rang des micro-organismes susceptibles d’être utilisés avec succès se trouvent l’anthrax, la variole, la peste, la tularémie, la toxine botulinique et les fièvres hémorragiques virales. La voie de dispersion la plus clairement redoutée est l’aérosolisation.
L’anthrax, la peste et la tularémie semblent bien répondre aux quinolones et sont toutes trois susceptibles de donner un tableau de pneumonie grave. La variole est redoutable de part sa haute contagiosité, nécessite un isolement strict et l’administration précoce du vaccin. La vaccination systématique a été arrêtée en 84.
Le botulisme contracté par aérosolisation provoque des symptômes neurologiques non précédés de signes gastro-intestinaux. Il existe des antitoxines spécifiques pouvant diminuer l’intensité de la maladie. Son évolution peut s’étendre sur plusieurs mois et peut nécessiter dans sa phase aiguë un support en USI.
Les fièvres hémorragiques virales sont provoquées par quatre familles de virus. Leur tableau clinique commun est un syndrome grippal suivi de manifestations hémorragiques intenses pouvant mener à la mort. Ils feraient des armes biologiques redoutables. Il n’existe pas de traitement spécifique, ils ont une haute contagiosité et la mortalité va jusqu’à 70% pour le virus Ebola.
Lorsqu’il y a une menace biologique, des experts mènent une enquête et déterminent la gravité de celle-ci. Les personnes exposées sont prises en charge par le personnel de la Santé Publique qui commence les prophylaxies et les traitements.
Le médecin généraliste, de part sa position de première ligne, a un rôle très important dans l’identification des maladies. Il peut être le premier à suspecter un cas de pathologie infectieuse rare et doit dans le doute contacter les Autorités Supérieures.
Une bonne connaissance des pathologies facilite également la mise en route précoce de la prophylaxie adéquate. Sa place fait de lui un informateur qui doit à la fois, mettre en garde, et rassurer la population …
Il a une grande responsabilité …


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Médecins et politique (XVIe-XXe siècles) : études d'histoire des idées politiques et sociales
Author:
ISBN: 284874829X 9782848748290 Year: 2019 Publisher: Bordeaux: LEH,

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Quatrième de couverture : "Le cœur du métier de médecin est la guérison de ceux qui présentent des troubles physiques ou psychiques. Il n’en demeure pas moins que ses territoires d’intervention s’étendent bien au-delà. Le serment du Conseil de l’Ordre des médecins affirme ainsi la nécessité « de rétablir, de préserver et de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et moraux, individuels et sociaux ». Médecine et politique n’auraient rien d’antagoniques, bien au contraire… Du XVIe au XXe siècle, il s’est trouvé des disciples d’Esculape pour recourir à l’empirisme médical et au lexique de la profession, convaincant ainsi leurs contemporains de la nécessité de conjurer le spectre des guerres religieuses qui ravageaient l’Europe, de lever le joug des despotes et des idéologies pernicieuses, bref d’agir contre toutes les menaces qui pèsent sur la société et l’État. D’autres, dans la plus pure tradition, se sont faits conseillers du prince, pour tenter d’infléchir le cours des ­­­­événements. Il y en a même eu pour composer des livres ou battre le pavé de la Cité pour restaurer par la santé et la prévention la dignité de l’homme. Ce fut – et c’est encore – leur honneur."


Dissertation
Médecin I.M.S. et responsabilité professionnelle : rapports entre médecins I.M.S. et médecins traitants
Author:
Publisher: Liège : Université de Liège. Faculté de médecine (ULg). Département de clinique et pathologie médicales.

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