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Qui ne ressent, à la vue du chaos universel où sombre l'humanité, le besoin de comprendre par le fond les événements et les personnes, de saisir les principes naturels et surnaturels qui sont en jeu et qui donneront les solutions aux maux actuels ? Quelle est donc la nature de la société politique ? Quel en est le but, ce fameux « bien commun » que l'on invoque pour justifier les causes les plus contradictoires ? L'observation méthodique de l'univers et de la vie humaine va nous faire découvrir la beauté du bien commun politique, qui est la santé de la communauté et son opération la plus noble. Elle dénoncera également la perversité révolutionnaire qui n'est, en définitive, qu'une « tyrannie de l'ego » qui échoue dans le désespoir. À l'inverse, la philosophie réaliste établit la vie politique et sociale dans la lumière de la vérité et dans la joie du dévouement filial. Le bien commun y apparaît non pas comme un trésor à piller, mais un héritage à recevoir, à imiter, à perfectionner activement et à transmettre. L'étude du bien commun, celui de la France en particulier, ouvre des perspectives enthousiasmantes et pratiques Une étude consacrée à la notion de bien commun abordant, en quatorze chapitres, des thèmes tels que le bien particulier, la communauté politique, la politique de Lucifer ou encore la tyrannie.
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Les Annales de l'AES rassemblent chaque année les travaux menés par l'Académie sur un thème majeur de l'actualité sociale et politique. En 2019-2020 et 2020-2021, l'AES a d'abord examiné la question du bien commun dans son lien avec une vision juste de l'enracinement. Elle a cherché ensuite à la confronter à quelques grands défis actuels de civilisation, qui préexistaient à la crise sanitaire du Covid mais que celle-ci a exacerbés, donnant ainsi à la réflexion d'ensemble une profondeur supplémentaire. Première partie : Enracinement et bien commun Besoins de l'âme et besoins du corps : pour un nouvel enracinement, ou relire Simone Weil aujourd'hui, Emmanuel Gabellieri La famille, une institution à protéger, Grégor Puppinck Culture, transmission et ouverture, Éric Mestrallet Notre rapport à la terre, pierre de touche de l'équilibre social et humain, TRP abbé François You Les corps intermédiaires, leur médiation dans l'histoire et aujourd'hui, réflexion à deux voix : Joseph Thouvenel et Roland Hureaux. Échange de vues animé par Pierre-Henri de Menthon Deuxième partie : Le bien commun aujourd'hui Le bien commun dans Laudato si' et Fratelli tutti, Pierre de Lauzun Écologisme, écologie et nouveau paradigme, Chantal Delsol, de l'Institut Un moment catholique en vue du bien commun, Jean-Luc Marion, de l'Académie française Comment orienter la finance vers le bien commun ? Don Pascal-André Dumont
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L’Afrique est soumise à un défi gigantesque : intégrer en une génération 1 milliard d’individus supplémentaires dans un contexte de faible productivité, de quasi-absence d’industrie, d’urbanisation accélérée, le tout coiffé par une crise climatique devenue permanente. Cette « urgence africaine » impose d’inventer un nouveau modèle économique. Car l’Afrique a trop souvent été un continent cobaye, soumis à toutes sortes de prédations. Le huis clos inattendu de la crise du Covid-19 lui a permis de redécouvrir la richesse de son patrimoine. Forte de cette leçon, elle doit désormais réinventer son développement en s’appuyant sur ses biens communs. Mettre en place un néoprotectionnisme africain et préserver ses ressources propres (terres, biens numériques…), assurer sa souveraineté – alimentaire en développant l’agroécologie, monétaire et financière avec la création d’une agence de la dette – sont autant de pistes pour que l’Afrique se réapproprie son destin. Avec cette conviction : en promouvant une économie du partage, les biens communs sont aussi profondément ancrés dans la réalité sociale africaine.
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Gaston Fessard (1897-1978) fait partie des penseurs politiques qui se sont livrés à une actualisation de l'antique notion de bien commun. Cette actualisation, qui s'opère au croisement de la philosophie hégélienne et de la théologie chrétienne, confère à la notion de bien commun une fonction à la fois de compréhension historique et de discernement politique. Fessard montre par exemple en quoi la dialectique des catégories du bien commun explique la destinée des sociétés depuis la Révolution française jusqu'au conflit des idéologies qui traversent le XXe siècle. Il expose également la manière dont la dialectique de ses contenus fournit des critères pour juger du gouvernement de Vichy et fonder une résistance en conscience au pouvoir du maréchal Pétain. Cet ouvrage présente la pensée du bien commun de Fessard à travers ses sources (Thomas d'Aquin, Hegel et Marx) et concepts, son application durant la Seconde Guerre mondiale, les controverses dans lesquelles elle fut impliquée (avec Kojève et Mounier) ou par rapport auxquelles elle mérite d'être située (querelle du personnalisme).Il propose aussi une actualisation critique de cette pensée politique, quant au rôle international de l'Eglise ou encore aux exigences de la démocratie. Car Fessard n'invite pas seulement à jeter un regard rétrospectif sur de "sombres temps", mais également à examiner notre propre actualité historique.
Bien commun. --- Fessard, Gaston, --- Bien commun --- Fessard, Gaston --- Fessard, Gaston (1897-1978) -- Critique et interprétation --- Bien commun -- Philosophie --- Common good
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Santé publique --- Bien commun --- Intérêt général. --- Aspect moral. --- Aspect politique. --- Santé publique. --- Bien commun. --- Droit médical
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L'impôt peut-il être juste ? Et peut-il être raisonnable ? La question de la justice fiscale agite la société quand les prélèvements fiscaux et sociaux deviennent si prégnants qu'ils peuvent menacer l'équilibre de la cité et la liberté des citoyens. Mais il ne sert à rien de contester l'importance des charges publiques sans s'interroger sur les raisons qui ont conduit les États à enfler jusqu'à devenir parfois impotents. Il convient ainsi de montrer le processus qui a conduit les États à accaparer la vie civile, sacraliser la notion de bien public, avec pour résultante l'asphyxie des citoyens par des impôts excessifs et souvent injustes. Non content de dénoncer un système inique, l'auteur se propose de remonter aux sources du droit et de la justice pour jeter les principes d'une nouvelle justice fiscale. Il existe en effet des voies qui permettraient de retrouver la balance de la justice fiscale plutôt que de l'abandonner à la volonté hasardeuse du législateur. La justice peut se mesurer à l'aune de la responsabilité et de la liberté réelles laissées à chacun d'atteindre ses fins, de s'accomplir en les accomplissant. Dans cette optique, le rôle de la collectivité serait redéfini et plus limité. La justice fiscale trouverait là un critère utile et équitable de sa mesure. Le lien indéfectible de l'impôt et du bien commun ne saurait faire oublier que le bien commun n'existe pas pour lui-même, mais pour permettre aux hommes de bien vivre ensemble.
Politique fiscale --- Impôt --- Bien commun. --- Philosophie. --- Impôt
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Common good --- Public interest --- Bien commun --- Intérêt public
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Encycliques sociales --- Bien commun --- Église catholique - Doctrine sociale
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Common good --- Culture --- Bien commun --- Culture --- Philosophy --- Philosophie
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